Pour prendre le contrôle d'une machine avec ce programme, il faut se connecter à un port Firewire depuis un système tournant sous Linux. Baptisé Winlockpwn, le programme permet de contourner l'identification Windows. Mais avant de jeter la pierre à Microsoft, il faut savoir que la faille utilisée par le chercheur fait partie des spécifications OHCI-1394 du bus Firewire. Si les concepteurs de la norme Firewire sont parfaitement au courant de la vulnérabilité, les utilisateurs ne le sont pas. De fait, Windows n'est pas la seule cible et en 2005 des démonstrations d'accès à des machines tournant sous Linux ou MacOS X, via le port Firewire, avaient déjà été effectuées. Microsoft n'a pour l'heure fait aucun commentaire sur le sujet.
Firewire : pirater Windows en quelques secondes
Par Julien Jay
Publié le 10 mars 2008 à 18h33
Pour prendre le contrôle d'une machine avec ce programme, il faut se connecter à un port Firewire depuis un système tournant sous Linux. Baptisé Winlockpwn, le programme permet de contourner l'identification Windows. Mais avant de jeter la pierre à Microsoft, il faut savoir que la faille utilisée par le chercheur fait partie des spécifications OHCI-1394 du bus Firewire. Si les concepteurs de la norme Firewire sont parfaitement au courant de la vulnérabilité, les utilisateurs ne le sont pas. De fait, Windows n'est pas la seule cible et en 2005 des démonstrations d'accès à des machines tournant sous Linux ou MacOS X, via le port Firewire, avaient déjà été effectuées. Microsoft n'a pour l'heure fait aucun commentaire sur le sujet.
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