L'expert explique que les sociétés dépensent plusieurs millions de dollars afin d'empêcher leurs employés de regarder des vidéos de YouTube, de visiter des sites communautaires ou de faire leur shopping. « Ils avancent des pertes de plusieurs millions de dollars en terme de productivité, pourtant ce n'est pas toujours le cas », explique-t-il.
Selon le rapport, sur 300 salariés, 70% d'entre eux se connecteraient à Internet sur leur temps de travail. La recherche d'informations est en tête des activités ainsi que la consultation des sites d'actualités. En revanche, les parties de jeux en ligne n'arrivent qu'en cinquième position et la lecture des vidéos de YouTube en septième place.
Pour M. Coker, il s'agirait pour l'employé de se remettre en condition de concentration en prenant brièvement de la distance avec son travail en cours. Le spécialiste souligne tout de même que cette pratique doit être faite avec modération afin de ne pas inverser le problème. En effet, selon plusieurs études, « 14% des internautes australiens montreraient des signes d'addiction - ils ne prennent pas leurs pauses aux heures convenues, passent beaucoup de temps à surfer la Toile et peuvent être facilement irritables lorsqu'ils sont interrompus ».