Google commercialiserait les livres n'étant plus ré-édités mais toujours sous protection des droits d'auteurs et une partie de ces revenus serait reversée aux maisons d'édition ainsi qu'aux auteurs. Pourtant cette initiative n'est pas au goût de tout le monde et les libraires craignent que Google ne casse les prix à l'image de l'iTunes Store face aux disquaires. Par ailleurs, la Commission Européenne estime que cet accord n'est pas réellement juste et plutôt que d'être punie pour avoir enfreint les règles de droits d'auteurs, la firme de Mountain View bénéficierait d'une occasion inespérée d'entrer sur un nouveau marché.
Contrairement à Amazon qui décide principalement du prix de vente des livres digitaux et oblige une lecture via le Kindle, Google laisserait les éditeurs décider du prix des oeuvres, lesquelles seraient accessibles depuis n'importe quel appareil connecté à Internet. Selon plusieurs rumeurs, le service serait dévoilé avant la fin de l'année.