Les trois quarts d'entre eux (74%) admettent en outre avoir la possibilité de contourner les dispositifs chargés de protéger la confidentialité de ces informations. Absence de scrupules au pays de la Direction des systèmes d'information (DSI) ?
Parmi les données les plus fréquemment accédées par les responsables IT figureraient les registres des ressources humaines, les bases de données clients, les projets de fusion acquisition, les données liées au marketing et... les listes de licenciements. En 2008, ils n'étaient selon Cyber-Ark que 33% à admettre un accès illégitime, et 47% à se dire en mesure de commettre l'acte.