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Ce nouveau modèle passe tout particulièrement d'une plateforme AMD à la plateforme basse tension d'Intel, ce qui, à défaut de le rendre fin et léger, lui confère une meilleure autonomie. Sa batterie à 6 cellules l'affuble effectivement d'un certain embonpoint, puisqu'il accuse 2,15 kg sur la balance et une épaisseur qui varie de 2,63 à 3,96 cm de l'avant à l'arrière, mais le fabricant annonce en contrepartie une autonomie de 8 heures (testée Wi-Fi éteint). On aurait d'ailleurs préféré un fond plat, bien plus confortable lorsque l'ordinateur est utilisé en Tablet PC en orientation portrait.
Il s'articule donc, au propre comme au figuré, autour d'un écran tactile multipoint WXGA de 12,1 pouces. Celui-ci est d'ailleurs réactif au survol du stylet incorporé, tout comme une véritable tablette tactile, ce qui permet de saisir efficacement du texte à main levée. Le pavé tactile (touchpad) est lui aussi multipoint. La suite logicielle TouchSmart permet enfin de tirer parti de cette profusion de tactile.
Il abrite un processeur Intel Core 2 Duo SU7300 cadencé à 1,3 GHz et muni de 3 Mo de mémoire cache, une carte graphique ATI Mobility Radeon HD 4550 épaulée par 512 Mo de mémoire dédiée, 4 Go de mémoire vive DDR3 et un disque dur de 500 Go. Il présente en outre la particularité d'être livré en standard avec une unité optique externe, en l'occurrence un graveur de DVD multiformat. Connectique et accessoires conventionnels complètent cet équipement, y compris une sortie HDMI.
Le HP Pavilion TouchSmart tm2 sera commercialisé au mois de mars au prix public de 900 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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