Greenpeace explique avoir disséqué un iPhone et découvert que l'appareil contenait des agents ignifuges bromés, concentrés dans l'antenne jusqu'à représenter 10% de son poids total, ainsi que des phtalates toxiques, localisés dans le revêtement plastique des écouteurs. L'organisation remarque par ailleurs que la batterie de l'iPhone, collée à l'intérieur du boitier, se prête particulièrement mal à l'extraction, ce qui risque de poser problème au moment du recyclage des combinés usagés.
En conséquence, Greenpeace appelle Apple à respecter les engagements formulés par Steve Jobs et à faire au moins aussi bien que ses concurents Nokia, Motorola ou Sony Ericsson, qui ont déjà avec succès évincés certaines substances dangereuses de leurs téléphones mobiles.