Tout comme le Vizzavi désiré par Jean-Marie Messsier en son temps, zaOza ambitionne de marier les différents contenus accessibles sur le Web aux différents moyens d'y accéder, de l'ordinateur au téléphone mobile. Vivendi y placerait sans doute les productions de ses différentes filiales, telles Universal Music et Canal+, mais ne se fermerait pas aux contenus générés par les utilisateurs ou aux productions d'autres fournisseurs qui souhaiteraient participer à son portail.
Reste à savoir quels seront les contenus proposés aux internautes, et quelles seront les éventuelles fonctionnalités d'échange et de partage censées conférer à ce portail une valeur de réseau social. Vivendi pourrait tenter de concurrencer des services populaires comme YouTube ou Dailymotion tout en veillant à ce que les intérêts des ayant-droits soient protégés. Volontairement nimbé de flou, zaOza ouvrira en version bêta restreinte dans les jours à venir.