Pour rappel, en juillet 2010, des responsables indiens avaient critiqué les terminaux de la firme canadienne au motif qu'ils chiffrent les données automatiquement, ce qui constituerait une « menace pour la sécurité nationale ». Il faut dire que le pays est beaucoup plus attentif aux communications à l'intérieur de ses frontières depuis les attentats de Mumbai qui avaient été organisés via un réseau de portables.
Par contre, RIM n'aurait pas autorisé d'accès aux e-mails des clients professionnels. Toutefois, l'Inde peut désormais soumettre le nom d'un suspect d'une enquête. La firme lui transmettra les messages déchiffrés envoyés ou reçus par cet individu mais également les informations qui ont transité via le service de messagerie instantanée BlackBerry Messenger.