Tour d'horizon des kits 2.1 à moins de 60 euros

Si depuis quelques années déjà, la mode est au home cinema, de nombreux utilisateurs n'ont que faire des fameux DTS, 5.1 et autres effets surround. Difficile en revanche de se satisfaire des piètres haut-parleurs intégrés à nos portables ou de ces pauvres petites enceintes livrées avec les configurations vendues en grandes surfaces. Dans ces deux cas et sans pour autant aller taper du côté des ensembles multicanaux, un kit 2.1 peut être LA solution pour entendre sa machine d'une autre oreille, plus attentive.

Quand deux satellites et un caisson suffisent...

Si votre seul objectif est de profiter d'un son de meilleure qualité pour écouter quelques CD, inutile en effet d'investir des mille et des cents dans des systèmes dotés d'enceintes devant, derrière, sur les côtés, en diagonale... Les systèmes 5.1 sont très agréables dans le cadre d'une écoute home cinema, mais l'encombrement peut rapidement poser un problème et le surcoût occasionné n'est pas qu'une vue de l'esprit. Dès lors, « se rabattre » sur un ensemble 2.1 est loin d'être une mauvaise solution d'autant que les économies réalisées sur le nombre de satellites pourront tout à fait permettre de bénéficier d'enceintes de meilleure qualité.

Hélas, comme toujours en informatique, les fabricants font feu de tout bois et des compagnies telles qu'Altec Lansing, Creative ou Logitech n'hésitent pas à proposer des dizaines de modèles très similaires. Nous n'avons d'ailleurs pas la prétention de vous proposer un comparatif exhaustif des solutions qui existent aujourd'hui sur le marché, mais plutôt de retenir quelques-uns des produits les plus en vue de la fin d'année 2007 afin de vous permettre de mieux faire votre choix. Design, prix, richesse fonctionnelle et qualité de restitution sont autant d'arguments qui nous permettent de faire un véritable classement où les plus coûteux ne sont pas forcément les plus intéressants... Suivez le guide !

Altec Lansing VS2421

Petit dernier de chez Altec Lansing, le VS2421 est un produit dit d'entrée de gamme, et ce, même s'il ne s'agit pas d'un premier prix. Comme tous les autres modèles de notre comparatif, il s'agit donc d'un modèle composé de deux satellites associés à un caisson de basses dont la principale « extravagance » esthétique est la présence d'un liseré rouge violacé autour des différents haut-parleurs et de la console de contrôle. Très pratique, cette dernière intègre un micro, une prise casque, une prise auxiliaire et deux molettes : une petite pour les aigus et une, aussi imposante qu'agréable, pour le volume général.



Un regret toutefois puisque le contrôle des basses reste peu accessible, déporté qu'il est à l'arrière du caisson. Ce caisson sert d'ailleurs comme souvent de centrale de branchement. S'y connectent donc la console et les deux satellites pour lesquels il est possible de choisir entre une fixation murale et le maintien via les pieds livrés par Altec Lansing. Alors que le haut-parleur de ces satellites est protégé par une petite grille, on regrettera l'absence d'un tel dispositif sur le caisson. Certains regretteront également le relatif manque de puissance de l'ensemble : à 7 Watts par satellite et 14 Watts pour le caisson, nous sommes cependant tout à fait dans la moyenne des kits de ce type et la sonorisation d'une pièce moyenne ne posera aucun problème.

Qualité de restitution

Excellente surprise de bout en bout de nos tests d'écoute, le VS2421 confirme la très bonne réputation de son constructeur. La bête est à l'aise dans toutes les situations et nous n'avons en fait que très peu de reproches à formuler compte tenu de la cible visée par Altec Lansing : comme de bien entendu, un kit 2.1 n'est pas fait pour le home cinema. Homogène et neutre, le rendu sonore n'est entaché que par le léger manque de « rondeur » des basses. Celles-ci sont puissantes, mais « tremblent » un peu alors qu'à fort volume, ce sont les aigus qui saturent légèrement : il suffit donc de ne pas avoir la main trop lourde sur le volume pour que le VS2421 frôle l'excellence.





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Altec Lansing VS4121

Nouvelle entrée au catalogue 2.1 de l'Américain Altec Lansing, le VS4121 n'est pas exactement une nouveauté. Il s'agit effectivement d'un produit d'ailleurs déjà testé dans nos colonnes et qui nous revient dans une nouvelle livrée noire et, officiellement, un rapport signal / bruit passé à 97 dB. Quand on se souvient du 73 dB avancé à l'époque de l'ancien modèle, on est en droit de se poser des questions, mais avant d'y répondre, étudions d'abord l'esthétique générale de ce VS4121 qui conserve le design atypique des satellites : ceux-ci proposent effectivement un mélange microdrive / haut-parleur.



Si l'on en croit Altec Lansing, cette combinaison des deux technologies doit permettre de conserver élégance et qualité de restitution. Cette étonnante conception mise à part, il faut bien admettre que le VS4121 fait dans le classique. Le caisson, de bonne taille, intègre l'alimentation et permet le raccordement des deux enceintes via deux prises que l'on ne peut pas intervertir. En effet, les câbles de satellites sont très différents l'un de l'autre, la seconde enceinte servant également de console. On peut donc y régler le volume général, les aigus et, bon point, même les basses. Une prise casque est également disponible, mais c'est en fait la seule « fantaisie » que s'est permis un Altec Lansing visiblement très concentré sur le rendu audio : pas de micro, pas de prise iPod et pas de télécommande.

Qualité de restitution

À l'époque (fin 2003 / début 2004), nous avions bien apprécié le VS4121. Aujourd'hui hélas, la donne n'est plus la même et la cure de jouvence tentée par Altec Lansing n'est pas une franche réussite. Il n'y a rien à dire contre le caisson de basses, tout simplement excellent, mais le bilan des satellites est autrement plus mitigé. Si les microdrives ne nous ont jamais pleinement satisfaits, le résultat est ici insuffisant. Selon les réglages réalisés il faut faire avec des aigus trop présents et à la limite de la saturation ou alors faire avec un ensemble médiums / aigus trop sourd où les différents éléments ne se distinguent pas de manière suffisamment claire. Un rendu moyen donc qui ne satisfait guère.



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Creative Inspire A300

Depuis déjà de nombreuses années, la gamme Inspire de Creative a pour but de proposer des ensembles avec en tête un seul objectif : la meilleure qualité audio au meilleur prix. Cette phrase sonne évidemment comme un mauvais slogan publicitaire, mais force est de constater que Creative a toujours laissé de côté les « fioritures marketing » sur cette gamme de produits... L'objectif n'est cependant pas toujours atteint et la question est donc de savoir si le petit A300 y parvient. Notons tout d'abord qu'il s'agit du modèle le moins coûteux de notre comparatif, indéniablement un bon point.



Moins flatteur en revanche, la présence d'une alimentation externe alors que le caisson semblait largement capable d'intégrer la chose. Il sert comme souvent de centrale de branchement sur laquelle on connecte l'enceinte gauche. Certains regretteront toutefois que de plusieurs câbles soient « moulés » dans les périphériques : ainsi, l'enceinte droite est indissociable du caisson ! Cette dernière intègre le réglage du volume général, mais aucun potentiomètre n'est disponible pour les aigus et que celui des graves est présent sur le caisson : pas très pratique. Si ces « limitations » ne sont guères étonnantes compte tenu du prix de l'A300, on ne peut s'empêcher d'être déçus, et ce, d'autant plus qu'aucune télécommande ou prise « exotique » (seule une prise casque est de la partie) n'est là pour compenser.

Qualité de restitution

Fort heureusement, Creative ne déçoit pas question qualité de restitution. Son Inspire A300 ne peut évidemment se comparer à des ensembles deux ou trois fois plus chers, mais il remplit parfaitement son rôle. Il est là pour sonoriser des machines dans de petits espaces et est à peu près aussi à l'aise dans le jeu vidéo qu'en musique. Certains critiqueront une légère faiblesse dans les bas-médiums, mais il n'y a rien de rédhibitoire à signaler et, en réalité, on retiendra surtout la qualité plus que convenable et la très grande homogénéité de l'ensemble : pas de véritable force certes, mais pas de réelle faiblesse non plus pour ce kit « tout-terrain » à prix très étudié.



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Creative I-Trigue 3000

Autre grand nom des ensembles d'enceintes à destination de nos PC, Creative propose généralement deux gammes de produits pour ces kits : les Inspire et les I-Trigue. Alors que les premiers sont des ensembles axés sur le rapport qualité / prix, les I-Trigue se veulent plus branchés. C'est ainsi que, sur le papier, ils ajoutent une touche de fantaisie à une excellente qualité de restitution. Indiscutablement, la touche de fantaisie est bien présente sur le modèle qui nous occupe maintenant, l'I-Trigue 3000, et c'est avant tout l'incroyable caisson de basses qui nous taquine la rétine.



Remarquablement fin, il occupe un espace restreint participant ainsi à l'encombrement limité de l'ensemble. C'est sur sa face arrière que l'on branche les satellites, la console de contrôle, le câble qui relie le tout au PC et l'alimentation externe. Ce dernier choix nous déçoit, mais l'espace à l'intérieur du caisson devait être compté. Enfin, on notera en façade un rond dont le pourtour s'illumine de bleu lorsque l'ensemble est allumé. Toutes menues, les enceintes sont classiques pour des I-Trigue et on retiendra surtout la présence de trois microdrives. Enfin, la console est basique, mais elle remplit son rôle à la perfection : l'énorme bouton de réglage du volume est pratique et un potentiomètre est là pour les basses (pas pour les aigus hélas) alors qu'une prise casque complète le tout.

Qualité de restitution

Sans doute l'une des déceptions de ce comparatif, l'I-Trigue est passé à côté de son sujet. Nous ne sommes pas tendres, mais il ne faut pas perdre de vue qu'il s'agit d'un des plus chers de notre sélection et qu'un design réussi ne fait pas tout. Commençons par le bon point : le caisson. Malgré sa petite taille, il a une pêche certaine et n'a de difficultés que dans les sons les plus graves. Nous serons moins indulgents avec les satellites qui prouvent les limites des microdrives. Leur nombre (x3) ne fait rien à l'affaire et nous avons trouvé la restitution trop confuse. Les aigus sont nasillards tandis que les médiums brillent... par leur absence. Un très joli ensemble à n'envisager que pour une écoute « en dilettante ».



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Hercules XPS 2.1 Lounge

Produit phare de l'automne pour le Français Hercules, la série Lounge se décline en deux produits : un 2.0 et un 2.1. Pour notre comparatif, c'est évidemment cette seconde variation que nous avons retenue et grand bien nous en a pris. Avant d'entrer toutefois dans des détails par trop « sonores », faisons un rapide tour du propriétaire. Une chose est effectivement sure, les enceintes dites Lounge d'Hercules ne laisseront pas indifférents, nous ne sommes vraiment pas fan de leur taille et cette forme « branchouille », mais nous avons pu remarquer qu'elles avaient leurs amateurs.



Du côté du caisson, Hercules est cependant resté beaucoup plus sage en nous proposant un « vulgaire » parallélépipède qui intègre heureusement l'alimentation. Comme nombre de ses concurrents, il sert de centrale de branchement et sur sa face arrière, nous retrouvons donc les connecteurs pour les deux enceintes et celui de la console de contrôle. Très imposante, cette dernière peut recevoir un baladeur MP3 de type iPod ou Zune (NdA : et mon , il pue ?). Hélas assez moche, elle est heureusement très complète : commande du volume, niveau des basses, sortie casque, entrée micro et même un petit bouton très pratique pour choisir entre l'entrée audio classique et celle du baladeur MP3 ! Quel dommage toutefois qu'Hercules n'ait pas jugé bon d'intégrer un réglage des aigus.

Qualité de restitution

Cet « oubli » de la part du Français n'est pas un problème dans la mesure où les aigus ne sont pas le point fort du XPS 2.1 Lounge. Après bien des essais, nous avons remarqué une tendance à la saturation et un son légèrement nasillard. Rien de catastrophique heureusement, mais le contraste avec des médiums de très bonne tenue est certain. Du côté des graves, on ne peut pas parler de déception, mais nous attendions mieux de ce caisson aux dimensions généreuses : à « haute fréquence », il semble avoir un peu de mal à suivre et les basses ne sont pas assez « rondes » à notre goût. Le XPS 2.1 Lounge est donc un kit plus qu'honnête, mais la qualité de restitution n'est pas sa plus grande force.



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Logitech X-240

Au déballage du Logitech X-240, difficile de ne pas « se moquer » de ce lilliputien. Il faut dire que le caisson de basses est vraiment « kromignon » et que ses satellites paraissent un peu légers pour réellement fournir quelque chose d'intéressant. Logitech dispose cependant d'une très bonne réputation dans le domaine des 2.1 d'entrée de gamme alors pourquoi ne pas donner sa chance au X-240 ? Comme sur pratiquement tous les modèles de notre comparatif, le caisson de basse sert, malgré sa toute petite taille, de centrale de branchement et, bravo Logitech, il intègre également l'alimentation.



Cela peut paraître un détail pour certains, mais compte tenu des objectifs de ces ensembles (le faible encombrement notamment), c'est important. Question branchement, il n'intègre en revanche qu'une seule prise, le second satellite venant se connecter directement sur le premier. On regrettera que le câble de la console de contrôle soit moulé dans le caisson et que cette même console ne propose finalement qu'un seul potentiomètre (volume général) : les aigus ne peuvent être réglés et les basses se modifient depuis le caisson. Cette même console est en fait décevante à plus d'un titre puisqu'elle ne propose finalement qu'une prise casque... et ce n'est pas la possibilité de poser un iPod qui relativise véritablement un jugement encore renforcé par le design très quelconque des satellites.

Qualité de restitution

Fort heureusement, si le premier contact n'était pas des plus engageants, le X-240 se rattrape au niveau de la restitution audio. Autant être clairs d'entrée de jeu, nous avons tout simplement été bluffés par ce « Petit Pimousse » sur son PC. Le slogan « petit, mais costaud » du fameux bonbon convient effectivement à la perfection pour ce Logitech. Le fabricant suisse s'est donné les moyens et nous propose un caisson étonnamment « pêchu » compte tenu de sa taille et l'aise sur toutes les fréquences de graves. Les satellites sont moins à la fête, notamment dans les aigus, mais restent très convenables et il ressort une excellente homogénéité d'ensemble qui permettra de conseiller le X-240 à n'importe quel type d'écoute.



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Philips SPA7300

Principalement présent sur les ensembles à moins de 100 euros, Philips propose une gamme de produits complète sur laquelle nous n'avons hélas que trop rarement l'occasion de nous pencher. L'erreur est aujourd'hui partiellement réparée avec le SPA7300, un kit 2.1 donc, que Philips positionne à la limite entre l'entrée et le milieu de gamme. Sans doute un peu trop cubiques à notre goût, les satellites et le caisson de cet ensemble arborent pour ainsi dire le même design avec cette barre noire disposée à la verticale et qui vient « couper » l'espace réservé aux différents haut-parleurs.



De manière très classique, le caisson fait office de centrale de branchement avec toutefois une différence de taille puisqu'un seul connecteur est présent pour les deux satellites : après quelques centimètres, le câble prévu par Philips se divise en deux pour rejoindre les enceintes, une solution que nous ne trouvons finalement pas très pratique à l'usage. La seconde prise sur l'arrière du caisson sert à brancher la console de réglages, mais celle-ci est hélas très limitée. Le niveau des graves se règle sur le caisson et la console ne permet de modifier que le volume général. Une entrée ligne est bien présente en plus de la sortie casque, mais ce petit boîtier fait décidément trop « camelote » pour que l'on s'en contente.

Qualité de restitution

Les plus gros problèmes surviennent toutefois avec nos tests pratiques. Difficile effectivement de comprendre l'attitude de Philips qui commercialise son SPA7300 à un tarif dans la moyenne, mais qui ne lui donne aucunement les moyens de s'imposer. S'il ne fallait retenir qu'un élément positif, nous garderions le caisson de basses à peu près correct malgré un manque de pêche évident et un problème concernant les limites qu'il est censé atteindre. Le bilan de satellites est bien plus calamiteux avec des aigus nasillards et des médiums qui « parlent du nez ». On note également comme des chuintements sur certains sons alors qu'à fort volume l'ensemble est tout simplement hors jeu du fait d'un net souffle.



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Conclusion

Notre article touche maintenant à sa fin et si notre sélection n'est évidemment pas complète, elle permet déjà de se faire une bonne idée de l'offre en matière d'ensemble 2.1 tournant autour des 40-60 euros. À l'avenir, nous serons peut-être amenés à intégrer d'autres modèles, et ce faisant, à procéder à quelques ajustements, mais pour l'heure nous retenons clairement deux kits : le VS2421 d'Altec Lansing et le X-240 de Logitech. Finalement assez proches l'un de l'autre, ces deux modèles mettent l'accent sur la qualité de la restitution et sur l'homogénéité du rendu.

Altec propose un design un peu plus élaboré alors que Logitech tente de faire pencher la balance en sa faveur avec une console qui peut recevoir un baladeur. Dans un cas comme dans l'autre, ces « fonctionnalités » ne sont pas l'atout principal. Heureusement pour leur fabricant respectif, car sur ces points de vue là, Hercules fait nettement mieux. Son Lounge ne sera sans doute pas du goût de tout le monde, mais la recherche esthétique est autrement plus audacieuse alors que le réceptacle pour baladeur MP3 est plus ouvert (iPod et Zune sont acceptés) et plus complet.

Hélas, Hercules pêche un petit peu niveau restitution audio et sans que cela ne soit mauvais, nous préférons le rendu des deux vainqueurs. L'Inspire A300 est en quelque sorte le Petit Poucet de la bande puisqu'il est commercialisé à un tarif très légèrement au-dessus des 30 euros. Impossible dans ce cas d'être trop exigeant, mais la qualité de restitution et plus particulièrement l'homogénéité des différents éléments lui permet de très bien se classer : sans réelle force, mais sans vraie faiblesse, c'est l'archétype du kit pour « tout un chacun ».

Enfin, notre sélection se referme sur trois produits décevants. L'Altec Lansing VS4121 est un produit que l'on qualifie de moyen. Si le caisson de basses est une totale réussite (il s'agit du meilleur caisson de notre comparatif), les satellites sont en net retrait avec un manque de clarté dans la définition des aigus / médiums. Nous ne nous étendrons pas davantage sur les cas finalement inintéressants des Creative I-Trigue 3000 et Philips SPA7300 : trop chers, trop mauvais, ils ne pourront que décevoir leurs acheteurs et ne méritent donc pas vos euros.

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