Du coup, les syndicats craignent que la hausse soit répercutée sur le personnel des opérateurs. Ces derniers pourraient être tentés de limiter le coût de cette hausse en augmentant les tarifs de 2 à 3 euros. D'un autre côté, les syndicats craignent également une nouvelle volée de délocalisations.
La CFE-CGC et l'UNSA évoque alors une véritable « pression sur le personnel afin de limiter l'augmentation de l'abonnement auprès du consommateur. Free a implanté son centre d'appel au Maroc. Au sein d'Orange, après 20 heures ou le dimanche, le service clients est délocalisé car l'heure supplémentaire en France coûte cher ». Le collectif invite donc d'autres syndicats à se joindre à leur mouvement.