Dans un communiqué l'Arcep explique que : « L'Autorité poursuit activement ses travaux afin de préciser dans les meilleurs délais certaines modalités détaillées de mise en œuvre des décisions précitées, en particulier les modalités de co-investissement ».
Outre le précédent Bouygues-SFR, cette mesure vise à réduire le poids de l'investissement financier supporté par les opérateurs mais nécessaire au déploiement de la fibre. Ainsi, le président de l'Arcep, Jean-Ludovic Silicani a estimé ce coût à 24 milliards d'euros. La charge pourrait être ainsi répartie sur une base de 50/50 entre privés et l'Etat.
La seconde mesure du régulateur des Télécoms vise à fixer les conditions d'éligibilité au Fonds d'aménagement numérique du territoire (Fant). Par ce biais, les opérateurs vont pouvoir bénéficier d'aides « pour la réalisation d'infrastructures et de réseaux permettant d'offrir du très haut débit ». L'architecture du déploiement se met en place...