Elon Musk vient de révéler le nombre de salariés qui restaient encore dans les locaux de Twitter.
Depuis la reprise de Twitter par le milliardaire sud-africain, de nombreuses personnes se demandent combien d'employés continuent d'exercer leur profession au sein du réseau social. Eh bien, d'après Elon Musk, ce ne serait même pas la moitié de l'effectif présent à son arrivée qui serait encore en place !
Elon Musk, l'homme qui renvoyait plus vite que son ombre
Les premiers mois d'Elon Musk à la tête de Twitter ont été symbolisés par de nombreuses polémiques, dont celle des licenciements massifs au début de son règne. En effet, à peine arrivé, le patron de Tesla et de SpaceX avait tout simplement décidé de licencier la moitié des personnes travaillant au sein de l'entreprise fondée par Jack Dorsey.
Et si cette coupe drastique dans la masse salariale avait été brutale, elle avait été suivie peu de temps après par des licenciements sporadiques. Au point de se demander : combien reste-t-il encore d'employés au sein du réseau ? Une question à laquelle la CNBC vient de répondre : 1 300. Ce que le patron de Twitter a rapidement réfuté.
1 300, ou 2 300 salariés encore présents ?
Deux versions s'affrontent. Pour le média américain, qui aurait eu accès à des sources internes, seules 1 300 personnes sur les 7 500 travaillant pour Twitter au début du mois de novembre dernier seraient encore actives. Parmi elle, à peine encore 550 ingénieurs. Et l'équipe Trust & Safety (Confiance et Sécurité), chargée de conseiller Twitter sur ses produits et ses règles pour assurer la sécurité compterait à ce jour moins de 20 personnes à temps complet.
Elon Musk de son côté a démenti directement sur son compte Twitter. Il affirme que le réseau compterait encore 2 300 salariés actifs, dont plusieurs centaines travaillant sur les sujets de la Confiance et de la Sécurité. Il ajoute par ailleurs que seule une dizaine de collaborateurs de ses autres entreprises, comme Tesla, travaillerait pour Twitter.
Si Twitter avait fait les gros titres de l'actualité à l'automne dernier pour ces vagues de départ, l'ensemble du secteur de la tech a depuis rejoint le mouvement. Amazon va ainsi licencier 18 000 personnes, alors que Microsoft devrait pousser 11 000 personnes vers la sortie.