Tout de noir vêtu, le Nightblade affiche un design anguleux, surligné de rouge par endroit, avec les mensurations suivantes : 175,7 mm de large pour 345,8 mm de profond et 277,33 mm de haut. En façade, on retrouve un bouton de mise en marche, deux jacks audio, quatre ports (deux en USB 3.0) et quelques diodes en sus d'un bouton d'overclocking OC Genie. Avec un poids de 7,8 kilogrammes, le Nightblade renferme une alimentation 600 Watts certifiée Gold et une carte mère maison, le modèle Z87I Gaming ici légèrement adapté. Compatible avec les processeurs Intel Core de quatrième génération, la Z87I Gaming bénéficie d'un contrôleur réseau Gigabit, le Killer E2200.
Côté châssis, on appréciera la possibilité d'intégrer une carte graphique double-slot, d'une dimension maximale de 29 centimètres. De quoi installer sans souci une Radeon R9 290X ou une GeForce GTX 780 Ti. On pourra placer un lecteur optique de type Slim, un disque dur 3,5 pouces et deux disques 2,5 pouces. Le refroidissement est assuré par deux ventilateurs, l'un en 92mm et l'autre en 120mm. Si MSI évoque le silence de son Nightblade, il communique également sur une vitesse de ventilation à 4000rpm... ce qui nous rend sceptique pour le moins en ce qui concerne l'aspect silence. A noter également, l'accessoire MSI Super RAID pour combiner faire un volume RAID avec deux volumes SSD mSATA.
Côté tarification il est question d'un prix public conseillé de 450 euros TTC pour la version sans lecteur optique et 499 euros TTC pour la version avec lecteur. Un tarif somme toute élevé alors que MSI évoque une disponibilité pour ce mois-ci.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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