Contrairement au Strike 7 annoncé simultanément par Mad Catz, dont l'écran surplombe le clavier, celui du « Razer DeathStalker Ultimate » remplace le pavé numérique.
Ce nouveau modèle intègre à son tour l'interface maison Switchblade, inaugurée par l'étonnant ordinateur portable pour joueur du fabricant, le Razer Blade, puis reprise par le clavier dédié à Star Wars: The Old Republic, dont il n'est en fait qu'une variante générique.
Cet écran LCD tactile d'une diagonale de 4,05 pouces (10,3 cm), surmonté de 10 boutons physiques personnalisables, offre une multitude de fonctions. Il peut émuler un pavé numérique standard, afficher des touches et/ou une interface dédiées à certains jeux vidéo, accéder à Gmail, Facebook, Twitter et YouTube mais aussi servir de pavé tactile (trackpad) grâce aux deux boutons physiques du dessous.
Le reste du clavier bénéficie par ailleurs des spécificités habituelles des claviers du fabricant, c'est-à-dire l'anti-ghosting permettant d'actionner 10 touches simultanément, le taux de rafraichissement de 1000 Hz du contrôleur USB, le rétroéclairage des touches, ici en 3 couleurs, le cordon tressé ou encore la prise en charge de l'utilitaire de configuration Synapse 2.0, permettant de stocker en ligne ses réglages personnalisés.
Il existe d'ailleurs une variante non Ultimate, troquant l'écran tactile pour un pavé numérique standard et le rétroéclairage à 3 couleurs pour un rétroéclairage exclusivement vert.
Contrairement aux claviers mécaniques de la gamme BlackWidow, les DeathStalker se contentent du procédé à membrane, en l'occurrence avec une disposition dite chiclet.
Le « Razer DeathStalker Ultimate » sera commercialisé à l'international à partir du mois de septembre au prix public de 250 euros, la variante non Ultimate à la même date pour 80 euros.