Le calife à la place du calife est pour commencer strictement identique sur le plan extérieur. Il abrite en outre les mêmes composants. On retrouve donc le capteur CMOS EXR rétroéclairé à 16 millions de pixels, dont la diagonale d'un demi pouce est légèrement supérieure à celle habituelle. La plage de sensibilité reste comprise entre 100 et 3200 ISO en pleine définition, et jusqu'à 12800 ISO à définition réduite. Il photographie en RAW et filme en 1080p avec son stéréo. Le zoom stabilisé équivalent à un 24-360 mm plafonne quant à lui à une amplitude de 15 fois, certes honorable. La visée est enfin confiée au même écran LCD de 3 pouces à 460 000 points.
Le micrologiciel du « F600 EXR » inaugure donc de nouvelles fonctionnalités, tout en en améliorant d'autres :
- nouveau mode EXR Auto analysant la quantité de mouvements sur la scène pour déterminer la sensibilité appropriée, pour la maintenir la plus basse possible.
- zoom numérique optimisé appliquant un traitement différent aux zones contrastées et aux aplats.
- amélioration de la géolocalisation au travers du GPS, l'appareil proposera désormais d'associer aux photos le nom de lieux remarquables se trouvant à proximité, améliorant considérablement l'indexation des fichiers.
- l'appareil est dorénavant capable de refermer un panoramique à 360°, autour duquel on peut dorénavant tourner indéfiniment.
Le « Fujifilm FinePix F600 EXR » sera quoi qu'il en soit commercialisé en France à partir du mois de septembre au prix public inchangé de 300 euros.