La tablette Xperia Tablet Z originale proposée par Sony dispose déjà de la particularité d'être étanche jusqu'à 1 mètre pendant 30 minutes : une caractéristique que l'on retrouve dans la Kitchen Edition, dévoilée il y a quelques jours par le constructeur nippon. Comme son nom l'indique, cette mouture de la tablette est principalement destinée à être utilisée dans la cuisine, à l'instar de la Qooq ou encore de la ChefPad d'Archos.
La Xperia Tablet Z Kitchen Edition est elle aussi étanche jusqu'à 1 mètre et jusqu'à 30 minutes d'immersion, et résiste à la poussière, ce qui permet d'utiliser de la farine et autres ingrédients du même type à proximité sans problème. Elle dispose d'un écran tactile LCD de 10,1 pouces, affiche une définition de 1920 x 1080 pixels, intègre un processeur quatre cœurs Qualcomm Snapdragon S4 Pro APQ8064 cadencé à 1,5 GHz, 2 Go de RAM, 32 Go d'espace de stockage, un port microSD et du NFC. La tablette est propulsée par Android 4.1 Jelly Bean.
Le modèle est donc similaire à celui déjà proposé dans le commerce : ce qui distingue réellement cette Kitchen Edition du modèle de base, c'est la présence d'applications dédiées à la cuisine préchargées - BigOven, Evernote Food... - mais également d'un support pour la tablette, et d'un thermomètre iGrill. Ce dernier se connecte en Bluetooth à la tablette et permet de mesurer la cuisson des aliments, tout en fonctionnant aussi comme un minuteur indépendant.
La Xperia Tablet Z Kitchen Edition est annoncée au tarif de 650 dollars, un tarif plus élevé que la version standard, proposée quant à elle à 600 dollars. Néanmoins, il est possible de trouver la version standard de la Xperia Tablet Z aux environs de 550 euros à l'heure actuelle. La Kitchen Edition pourrait donc être proposée aux environs de 600 euros.
10 ans plus tard… Google a engrangé des milliards, assis sa domination et ses situations de monopoles… et ne versera qu’une petite broutille …
Quant à l’effacement des données, qui va y croire. D’autant plus que la plupart doivent etre totalement obsolètes.
Notre laxisme nous tuera
Non, encore la même faute !!
C’est 13 MILLIONS et pas milliards !!
Effectivement, c’est mieux comme ca…
ca me paraissait énooorme.
Pourtant c’est pas comme si c’était difficile a traduire…
10 ans après Gogle devra effacer les données. C’est une blague ? Après avoir tranquillement pu exploiter les données, ils peuvent enfin liberer la place sur leurs serveurs, ces datas sont obsolètes.
En Europe où ils n’ont pas été inquiétés pour la même chose, il y a sans doute longtemps que ces données ont été remplacées par de nouvelles plus fraîches et pertinentes.
“Ces données non cryptées qui pouvaient être des e-mails, des mots de passe ou tout autre fichier non sécurisé, étaient captées par les systèmes de Google et conservées sur les serveurs de la société.”
Je pige toujours pas comment c’est techniquement possible…
C’est même en principe impossible puisqu’il faudrait intercepter les données entre un PC ou autre et le serveur extérieur.
Or même en se connectant sur les hotspot ce n’est pas possible de détourner le flux réseau d’une IP vers une autre sans que ça soit intentionnel (et c’est du piratage du coup)…
Si quelqu’un à l’info d’un point de vue technique ça m’intéresse.
C’est la que le scandale démarre… récupérer de telles données relève d’une volonté spécifique et malveillante !
Tout le monde peut “sniffer” les réseaux wifi ouverts.
Comme à l’époque le HTTPS n’était pas vraiment démocratisé, du coup tu avais un tas d’information qui transitaient en clair, sans cryptage.
Tout le monde, dont Google, n’avait donc qu’à ce servir.
Si mes souvenirs sont bons, les données récoltées et utilisées étaient relativement limitées et utilisées pour la localisation: Id réseau, périphériques visibles, … Bref ce que tes voisins voient si ton id réseau n’est pas caché, ou pire quand tu laisses ouvert ton réseau. Les “mots de passe” et autres “fichiers” n’ont pas été récupérés.
Le gros problème, c’est que dans certains cas, il y a eu sniffage des données pour analyse du traffic, et là on peut imaginer avec beaucoup de temps et d’acharnement que des données sensibles aurait peu être utilisées. Mais bon Google en sait bien plus sur nous par le moteur de recherche et les smartphones, ça serait assez curieux qu’ils aient exploiter ces données là autrement que pour des statistiques…
Si faire du fric avec des données accessibles à tous c’est malveillant, alors oui…
Je suis fan.
Une voiture qui est là UNIQUEMENT pour cartographier/numériser les rues et qui se retrouve à sniffer les réseaux wifi de façon non intentionnelle ? J’essaie, mais alors vraiment, de trouver le rapport entre cartographier les rues et sniffer le réseau! Je suis mort xDDDD
@Exosia
La localisation par le Wifi est aussi précise que par le GPS, vu la portée du Wifi et le nombre de spots. Pour identifier un réseau, il faut son id, ou des stats sur ses données. Le fait de garder toutes les données est étrange, vu la quantité et la valeur ajoutée de celles-ci par rapport à des meta-données et c’est là qu’est le problème à mon avis.