Pourquoi jouer à Airline Commander ?
Cette application paraît conçue pour répondre aux attentes de celles et ceux qui souhaitent découvrir les joies d’un simulateur de vol.
Y a-t-il un pilote dans l’avion ?
Lorsque le jeu commence, nous devons fonder notre propre ligne aérienne. Auparavant, il est nécessaire de passer un examen pour obtenir une licence.
L’indicateur de vitesse et l’altimètre se trouvent à gauche, tandis que la commande des gaz est placée sur la droite. L’inclinaison de l’avion et sa direction varient en fonction de l’orientation que nous donnons à notre téléphone. Le didacticiel est assez bien fait et nous met rapidement en confiance. La première licence de décollage est facile à obtenir, il s’agit de simplement se positionner à la bonne altitude et de suivre le bon cap.
Une fois la première étape passée et le précieux sésame obtenu, nous devons trouver des contrats pour ouvrir de nouvelles routes. Pour parvenir à décrocher les offres proposées, il faut auparavant prouver sa capacité à atterrir…cela paraît logique ! Cependant, pour pouvoir obtenir la nouvelle licence, un temps d’attente est imposé par le jeu. Il reste malgré tout possible d’utiliser des crédits pour passer directement l’examen. Nous commençons à nous faire une idée sur les mécanismes de rentabilité d’Airline Commander ! La phase d’atterrissage est plus délicate que celle du décollage. Il faut maîtriser le cap, la vitesse, l’altitude et savoir doser les inverseurs de poussée au bon moment. Heureusement, l’application nous donne de précieux conseils. En outre, la présentation des différents instruments est claire et lisible.
De bonnes sensations
Les graphismes ne sont pas d’un réalisme à tomber par terre, loin de là. Ceci dit, il faut reconnaître que l’éditeur Rortos à particulièrement soigné la sensibilité des commandes. La prise d’angle est fluide. Le moindre effet d’orientation se ressent instantanément. Airline Commander procure un véritable plaisir. On a parfois l’impression de maîtriser un véritable avion. Preuve que la simulation est réussie !
Chaque contrat impose une ou plusieurs actions précises. On peut choisir le niveau de l’assistance pour parvenir à accomplir correctement notre mission. Pour un joueur novice, il est préférable d’opter pour la version facile, du moins sur les premiers vols.
Les récompenses obtenues dépendent de la difficulté du contrat. Les points d’expérience collectés tiennent compte de la qualité de notre pilotage. Le confort des passagers et la qualité de l’atterrissage sont aussi pris en compte. Si les premiers avions sont à hélices, on parvient assez vite à obtenir des jets à réaction. Notre flotte grandit ainsi petit à petit. Nous ouvrons de nombreuses routes. Cependant, les exigences de vol deviennent plus élevées. Les difficultés augmentent crescendo. Le réalisme n’est pas au niveau de la référence ultime : Flight Simulator. La jouabilité d’Airline Commander reste malgré tout remarquable et mérite d’être saluée.