Le service proposait un catalogue de 500 titres, pauvre en blockbusters et mettant l'accent sur l'animation japonaise, le cinéma de Bollywood, le cinéma indépendant et le documentaire. On trouvait malgré tout quelques films du distributeur Lions Gate, tels que « Precious », « Brothers », « 3 h 10 pour Yuma » ou encore la série « Saw ». Tous ces films étaient loués pour 48 heures en échange de 0,99 à 3,99 dollars. Le paiement passait par le système de paiement maison, Google Checkout, similaire à son concurrent PayPal.
L'emploi de l'imparfait est de rigueur puisque la page d'accueil du vidéo club virtuel a néanmoins été retirée dimanche, sans autre forme de procès. Nul ne sait donc quand Google se lancera pour de bon sur le marché de la vidéo à la demande payante, tout juste sait-on qu'il y travaille activement.