En effet, la loi LCEN ou loi sur la confiance en l'économie numérique oblige un hébergeur à retirer dans les plus brefs délais des contenus reconnus comme contraires à la loi. Sinon, il est passible d'amendes pour contrefaçon. YouTube, appartenant à Google a en effet été souvent impliqué dans des actions juridiques concernant des ayants droit et des mises en ligne indues de vidéos (Premier league, TF1, Warner...)
Concernant l'affaire de l'INA, l'organisation avait relevé en 2006 pas moins de 3 000 contenus non-autorisés postés sur le site. L'institut a également signé en octobre dernier avec le site Dailymotion pour publier 50 000 vidéos. Il faut croire que le chat échaudé craint désormais l'eau froide.