Acer lance deux pico projecteurs autonomes à connectique USB
L'« Acer C110 » repose ainsi entièrement sur sa connectique USB, tant pour son alimentation électrique que pour la transmission vidéo, à l'image de certains moniteurs informatiques. Il abrite pour ce faire sa propre carte graphique, adaptée à la diffusion d'une présentation, beaucoup moins à celle d'une vidéo, en raison de la bande passante insuffisante de l'USB 2.0.
L'« Acer C112 » offre en plus un port USB hôte, auquel on peut connecter une clé USB. Le lecteur multimédia qu'il abrite pourra en décoder les photos (JPEG ou PDF converti), les fichiers audio (MP3, WMA, OGG) et les vidéos (MJPEG, MPEG-4 et H.264 de définition non précisée). Une entrée A/V composite permet par exemple d'y connecter un iPhone ou iPod Touch, tandis qu'une sortie audio permet de le relier à des haut-parleurs.
Capable de fonctionner sans ordinateur, ce pico projecteur peut même fonctionner en option sur une batterie lui conférant une autonomie de 2 heures.
Les deux vidéo projecteurs miniatures partagent par ailleurs le même système de projection, reposant sur une puce DLP de 0,3 pouce et d'une définition WVGA (854 x 480 pixels), et sur un projecteur à LED revendiquant une luminosité fort modeste de 70 lumens et un contraste de 1000:1.
Il conviendra donc d'être dans l'obscurité complète pour espérer projeter en 100 pouces, la diagonale maximale, la minimale étant de 12 pouces. Un écran de projection pliable de 25 pouces est en outre proposé en option.
L'« Acer C110 » et l'« Acer C112 » seront prochainement commercialisés pour respectivement 200 et 240 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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