Essai Toyota Yaris Cross : que vaut le RAV4 de poche ?

14 septembre 2021 à 15h11
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Soufyane Benhammouda pour Clubic
Soufyane Benhammouda pour Clubic

Comme tous les autres constructeurs, Toyota cède aux sirènes du segment des SUV et crossovers. La nouvelle Yaris se décline désormais en Yaris Cross. Plus qu’une simple évolution de carrosserie, il apporte une nouvelle transmission intégrale unique sur le marché.

Récemment renouvelée sous une toute nouvelle génération, la Toyota Yaris donne un second souffle au fabricant japonais. Au premier semestre de l’année, la citadine s’est écoulée à 17 800 exemplaires, dont près de 90% des ventes réalisées par la motorisation hybride. Mais l’heure n’est plus vraiment aux citadines, la clientèle préférant de loin leurs déclinaisons surélevées. C’est ce qu’avoue le marché : les SUV et crossovers représentent près de 40% des ventes de voitures neuves !

Difficile alors pour Toyota de bouder plus longtemps le segment, et notamment celui des B-SUV, autrement connus sous le nom des crossovers urbains. Et ce malgré le mauvais souvenir laissé par le Toyota Urban Cruiser, la première tentative de la marque japonaise dans le segment. Arrivé en Europe en 2009, ce SUV basé sur un châssis de Toyota Yaris de deuxième génération n’a pas rencontré le succès escompté. Pourtant, à mi-chemin entre monospace urbain et crossover, il était seul dans ce segment qui n’existait pas encore vraiment. Mais en automobile, avoir raison trop tôt c’est avoir tort.

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Et Toyota en a eu rapidement conscience, prenant ensuite son temps pour revenir dans le segment qu’il a abandonné depuis 2014. C’est désormais au Toyota Yaris Cross que revient la lourde tâche de représenter la marque dans la catégorie des crossovers. Un segment particulièrement peuplé avec les Peugeot 2008 et Renault Captur, les deux ténors du segment, mais aussi le Citroën C3 Aircross, l’Opel Mokka, les Hyundai Bayon et Kona, ou le Ford Puma. Du beau monde déjà bien établi, mais le Yaris Cross a quelques atouts pour se démarquer.

Une plateforme de Yaris, pour le meilleur et pour le pire

A commencer par sa plateforme TNGA-B directement reprise de la citadine, ainsi que sa motorisation hybride, qui occupera exclusivement le catalogue. Cela lui permet ainsi de réduire le nombre de concurrentes en face de sa calandre surélevée, puisque seuls les Kona et Captur proposent une motorisation électrifiée. Un cran en dessous, la Honda Jazz Crosstar semble être une concurrente plus naturelle pour la Yaris Cross, mais elle ne cultive pas aussi bien sa silhouette et joue à la lisière du segment inférieur avec une longueur de 4,09 m.

Le Yaris Cross se montre comme l’une des propositions les plus affirmées du segment : profitant d’une garde au sol de 16 cm et habillée de tous les gimmicks stylistiques habituels avec des sabots de protection et des passages de roue en plastique noir, le crossover semble prêt à affronter la jungle urbaine. Et pour mieux y arriver, ses dimensions augmentent sensiblement par rapport à la Yaris qui lui offre sa base. L'empattement est parfaitement similaire avec une valeur de 2,56 m, mais la longueur totale passe de 3,94 m à 4,18 m, avec des gains notamment réalisés sur le porte-à-faux arrière. Cela lui permet donc de libérer de l’espace dans le coffre. 

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

De 286 litres dans la Yaris, la soute grimpe à 397 litres dans le Cross. Une capacité d’emport finalement dans la moyenne de la catégorie, entre les 450 l du Puma et les 350 l du Mokka. La modularité est bien pensée, à l’image du double plancher en deux parties ou de la banquette rabattable en trois parties 40/20/40, mais ne propose pas toutefois de banquette coulissante comme c’est le cas dans le Captur. Revers de la médaille, l’empattement inchangé n’améliore pas l’habitabilité aux places arrière : l’assise est correcte, mais l’espace aux jambes reste celui d’une citadine de moins de 4 m de long. Dommage !

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Toujours plus de connectivités à bord

Dans l’habitacle, peu de changement par rapport à la Toyota Yaris hybride. Le crossover embarque la même planche de bord, à l’exception de quelques détails : un insert noir laqué a été ajouté au dessus des commandes de climatisation physiques et le combiné d’instrumentation est spécifique. Faisant toujours confiance à des aiguilles pour les informations latérales (niveau de charge à l’accélération, température moteur et réservoir), le bloc est équipé d’une dalle de 7 pouces au centre. Plus complète et relativement lisible, elle présente toutefois des graphismes assez sommaires.

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Au centre trône toujours un écran offrant l’accès au système d’infodivertissement. D’une taille de 9 pouces, il en profite pour effectuer une légère mise à jour technologique. Un peu plus rapide dans ses réactions, il embarque de nouvelle fonctionnalités connectées. Grâce à une carte SIM 4G embarquée (offerte pendant les 4 première années), le SUV propose une multitude de services. Il est ainsi possible de profiter d’un avertisseur de radar dans la navigation ou même de pouvoir régler en avance un plein d’essence avec le réseau Avia.

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Toujours au rayon des technologies embarquées et équipements, le Cross s’équipe dès les premiers niveaux de finition de la connectivité Apple CarPlay et Android Auto sans fil, de la caméra de recul ou du démarrage sans clé. Selon les options ou niveaux de finition cochés, il est possible d’équiper le crossover de l’Adaptative Highbeam System avec les fonctions anti-éblouissement, le faisceau d’éclairage variable selon la vitesse et les phares directionnels, ou de l’Advanced Park, un système de parking automatique capable de mémoriser une place de parking et de s’y garer en 30 secondes. L'affichage en 3D de cette fonction est diamétralement opposé à celui de la caméra de recul, qui ne prend pas la peine d'afficher les lignes directionnelles.

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Sur la route, la douceur prime

A plateforme similaire, motorisation similaire : le Yaris Cross reprend le même tandem hybride de la Yaris. Ce dernier est composé d’un 3 cylindres 1,5 l fonctionnant selon un cycle Atkinson avec un rendement thermique record de 40% et d’un moteur électrique (on écarte le moteur servant de générateur pour la batterie, qui n’est pas inclus dans la chaîne de transmission), pour un total de 116 ch. L’ensemble est relié à une transmission à train épicycloïdal de type CVT. Son fonctionnement est toujours déroutant, mais son emballement caractéristique est bien plus maîtrisé que par le passé. 

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Il n’en demeure pas moins que la sonorité à bord, parfois bien présente lors des fortes charges sur l’accélérateur, n'est pas en phase avec l’accélération procurée. D’autant que le Yaris Cross n’est pas un foudre de guerre. Nous ne l’attendions pas spécialement au tournant en matière de chronos, mais son 0-100 km/h en 11,2 s ou son 80-120 km/h en 8,73 s en moyenne ne font pas mieux que la Honda Jazz Crosstar, pourtant moins puissante (- 7 ch) et plus lourde (+ 35 kg). Preuve d’une douceur de distribution qui se ressent à la conduite.

Privilégiant le fonctionnement électrique en ville (voire 100% électrique sur une poignée de kilomètres avec le EV Mode), le Yaris Cross aime être mené avec un pied léger. La direction légère et le bon champ de vision participent à cette quiétude d’évolution en milieu urbain.

Des consommations particulièrement basses

La partition est toutefois moins douce en dehors des cités. Certes, le toucher de route est similaire, mais le Toyota Yaris Cross se montre particulièrement sec sur les aspérités, notamment à basse vitesse. C’est le prix à payer pour une suspension affermie pour mieux contenir les mouvements de caisse, forcément emportés par un centre de gravité plus haut perché. Et ces percussions sont notamment mises en lumière avec la belle monte de 18 pouces : leur taille, dégradant naturellement le confort, s’accompagne de tarages de suspension spécifique encore un peu plus fermes. L'ensemble améliore agréablement le dynamisme sur chaussée lisse, mais le confort n'est pas vraiment à la hauteur sur les routes défoncées.

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Mené paisiblement ou plus rapidement, le SUV gratifiera rapidement le conducteur qui respecte son mode d’emploi avec des consommations particulièrement basses. Au terme de nos deux boucles d’essai, nous avons relevé une consommation moyenne de 4,5 l/100 km. Le résultat d’un circuit davantage urbain (4,1 l/100 km), où nous avons notamment profité du mode de récupération B de la boîte (qui mériterait sans doute plus de force), et d’une autre virée extra-urbaine avec quelques portions d’autoroute (4,9 l/100 km).

Dans la catégorie, aucun ne fait mieux : les Renault Captur e-Tech et Hyundai Kona Hybrid sont régulièrement crédités d’une consommation supérieure de 1 l/100 km en moyenne. Pour faire moins, il faudra alors chercher du côté de chez Honda avec une Jazz imbattable à ce jeu : son 4,0 l/100 km en moyenne se décroche avec une facilité déconcertante.

Une inédite version à quatre roue motrices

Singulier avec sa motorisation hybride dans le segment, le Toyota Yaris Cross enfonce le clou avec une inédite version à transmission intégrale. Grâce à la technologie électrique, celle-ci est formée par la présence d'un moteur sur le train arrière et se passe d’arbre de transmission traditionnel. Un schéma technique similaire à celui du Toyota RAV4 4WD. Un avantage qui permet de limiter le développement d'un système classique sur cette petite plateforme, mais aussi de maîtriser la surconsommation et le niveau de rejet de CO2.

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Le moteur arrière ne propose que 5,3 ch pour 52 Nm. Un maigre apport qui permet de venir épauler le tandem hybride avant dans de rares situations. C’est notamment le cas en mode normal, où il apporte son aide pour élancer le véhicule jusqu’à près de 20 km/h, selon le profil de la route et la charge exercée. Et si son intervention profite aux consommations, il n’améliorera pas les performance en raison de son poids : la faible puissance supplémentaire s'incline sous les 90 kg de plus du système. Le SUV dégringole donc à 11,8 s sur l’exercice du 0-100 km/h et les reprises sont plus lentes.

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

En revanche, il permet au Yaris Cross de profiter d’une molette permettant de sélectionner le mode Neige ou Gravier. Ces configurations ne transformeront pas le SUV en « franchisseur » pour autant, mais la gestion du couple permettra de s’extirper de quelques situations hasardeuses bien plus facilement qu’avec tous les autres dispositifs électroniques pour crossover à roues avant motrices.

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Mais il a aussi l’avantage de faire disparaître l’essieu de torsion arrière au profit d’un train multibras à double triangulation. La partie dynamique n’est pas sensiblement améliorée, mais le train arrière du Yaris Cross se montre alors moins paresseux. 

Ces avantages se paient toutefois au prix fort : en s’installant à l’arrière, le moteur empiète le volume du coffre. Ce dernier perd 77 l, tout de même, avec la disparition d’un niveau supplémentaire, pour atteindre les 320 l de volume. Aussi, la masse supplémentaire impacte directement les consommations. Sur un trajet strictement similaire à celui d'une version traction, le modèle AWD-i a avoué une surconsommation de 0,7 l/100 km sur notre première boucle, et de seulement 0,2 l/100 km sur la seconde boucle plus rapide. Ce qui, comme sur la fiche technique, se traduit par un surplus moyen de 0,5 l/100 km.

Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Prix du Toyota Yaris Cross

Le Toyota Yaris Cross ouvre sa gamme au prix de 25 500 € en finition Dynamic. Il embarque à ce niveau le système de démarrage et ouverture sans clé, la caméra de recul, l’écran de 8 pouces avec connectivité smartphone et la climatisation automatique. C’est à partir de la version Design au prix de 27 500 € que la transmission intégrale est disponible (+ 2 000 €). Elle apporte aussi les feux LED, l’écran de 9 pouces et les 6 haut-parleurs.

Les versions Trail et Collection grimpent à 30 500 €. Elles ajoutent l’affichage tête-haute de 10 pouces, les radars de stationnement, la climatisation bizone, les sièges chauffants ou l’avertisseur d’angles morts. A noter que la version de lancement Première toute équipée s’affiche au prix de 34 500 €, avec la transmission intégrale fournie d’office.

  • Toyota Yaris Cross Dynamic : 25 500 €
  • Toyota Yaris Cross Design : 27 500 €
  • Toyota Yaris Cross Trail : 30 500 €
  • Toyota Yaris Cross Collection : 30 500 €
  • Toyota Yaris Cross Premiere : 34 500 €
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Fiche technique Toyota Yaris Cross

Fiche technique Toyota Yaris Cross

Résumé

Puissance moteur thermique
90 ch
Couple moteur thermique
140 Nm
Puissance moteur 2
80 ch
Couple moteur 2
200 Nm
Vitesse maximale
170km/h
0 à 100 km/h
11,2s
Consommation (WLTP)
4.50 à 4.70 l/100km
Autonomie (WLTP)
3km
Catégorie de voiture
SUV
Nombre de places
5

Performances et consommation

Puissance moteur thermique
90 ch
Couple moteur thermique
140 Nm
Nombre de moteurs
2
Puissance moteur 2
80 ch
Couple moteur 2
200 Nm
Vitesse maximale
170km/h
0 à 100 km/h
11,2s
Consommation (WLTP)
4.50 à 4.70 l/100km
Consommation constatée
4,5 l/100 km

Batterie

Type de batterie
Lithium-ion (Li-Ion)
Autonomie (WLTP)
3km
Puissance batterie
1.5 kWh

Pneumatiques

Taille des roues avant
18 pouces
Taille des roues arrière
18 pouces
Roues motrices
Avant

Équipement

Démarrage sans clé
Oui
Modes de conduite
Antipatinage
Ventilation
Filtre à pollen
Régulateur de vitesse
Régulateur adaptatif
Capteurs de distance au stationnement
Caméra, Radar
Rétroviseurs chauffant
Oui
Réglage électrique des rétroviseurs
Oui
Sièges chauffant
En option

Sécurité

Système détection de collision
Freinage automatique, Détection de piéton
Airbags
Avant, Arrière, Latéraux
Avertisseur de franchissement de ligne
Oui

Système audio

Nombre de Haut-parleurs
6

Caractéristiques physiques et habitabilité

Catégorie de voiture
SUV
Longueur
4,18m
Largeur
1,77m
Hauteur
1,6m
Empattement
2,56m
Garde au sol
17cm
Poids à vide
1 170kg
Nombre de places
5
Volume du coffre minimal
397l
Volume du coffre maximal
1 097l
Essai-Toyota-Yaris-Cross © Soufyane Benhammouda pour Clubic

Faut il craquer pour le Toyota Yaris Cross ?

Toyota a fait le choix d’arriver tard dans une catégorie bouillonnante. Mais malgré son arrivée tardive, la marque parvient à s’offrir une bonne place dans le segment en proposant l’un des rares crossovers urbains équipés d’une motorisation hybride. Et ils sont rares à s’électrifier pour le moment, la majorité d’entre eux préférant les petits moteurs essence ou, au mieux, une micro-hybridation pour faire les yeux doux à l’administration.

Ne surpassant pas ses concurrents en matière de modularité, d’habitabilité, de performances et de confort, le Yaris Cross se positionne en haut du classement en matière de comportement dynamique avec des liaisons au sol travaillées, sa transmission intégrale unique dans le segment et des consommations parmi les plus basses. Mais c’est au moment de signer le chèque qu’il prendra réellement l’avantage, avec une grille tarifaire plus intéressante que celle de ses concurrents : tous démarrent à 27 000 € ou plus quand le Yaris Cross ouvre sa gamme à 25 500 € (hors prime Toyota de 2 000 €). Et l’écart se creuse tout en haut de la gamme aussi, avec une différence moyenne proche de 2 600 €.

Soufyane Benhammouda

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Commentaires (12)

banumbirr70
Espérons qu’elle recevra, à l’image de sa sœur la Yaris (normale) le label «Origine France Garantie».<br /> Car oui, elle est aussi made in France !!
Nevroska
La fiabilité est excellente chez Toyota, pour en avoir plusieurs à mon boulot, ce sont les seules qui vont au garage uniquement pour l’entretien ou quelques rappels constructeurs, par contre les Renault…
zoup01
question de chance…<br /> j’ai eu 2 rav4.3, et ce sont les voitures qui m’ont posé le plus de problèmes…
Nevroska
diesel? pas étonnant… Essence/hybride ce serait surprenant.
DavYoshi
Svp arretez d’utiliser le mode B à tout va sur les hybrides Toy. Lisez le manuel. Il est fait pour une grande descente, au dessus de 40km/h il declenche le thermique pour générer du frein moteur en + d’une regen intensifiée. Si vous appuyez légèrement sur le frein vous récupérerez +.<br /> D’après ce même manuel, ce mode entraine une surconsommation si utilisé tout le temps
zoup01
Problèmes électriques électroniques, donc pas liés au diesel.
Nevroska
Pas de bol alors
moimeme
Toyota Yaris Cross Premiere : 34 500 € le prix d’une Tesla modèle 3, quel blague
DirtyShady
Non les Toyota sont réputés pour leur grande fiabilité. Question de malchance…
Palou
Pas tous les modèles, loin de là, une très grosse série d’emmerdes avec leur moteur 2.2L par exemple alors que leur 2L était très bien
TNZ
Ok, va te prendre une Tesla (autos parmi les moins fiables de la planète) … après, ne te vexe pas si tout le monde se moque de toi une fois que tu n’en voudras plus.
FabriceV
Plus de 27000€ pour une voiture moyenne, ça ne vous choque pas ? Je trouve que les prix des voitures hybrides et électriques sont devenus délirants.
Blackalf
Ce n’est pas nouveau. <br /> Ma femme a eu plusieurs Toyota Corolla, et lorsque en 2008 nous avons voulu changer celle que nous avions, elles étaient devenues trop chères alors nous avons pris une Yaris 2.<br /> Les catégories évoluent, elles montent en gamme et deviennent plus équipées et plus perfectionnées à chaque génération, et ça se ressent forcément sur le prix.<br /> Nous achetons toujours des citadines, Corolla G6 (la plus chère de la gamme à l’époque) 1998 : 12.500 €<br /> Yaris 2 2008 : 15.000 €<br /> Mazda 2 2016 : 21.500 €<br /> Et ça va continuer dans les années à venir, ceux qui voudront remplacer une familiale prendront une compacte, ceux qui voudront remplacer une compacte prendront une citadine.
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