Hitachi et Intel annoncent aujourd'hui la signature d'un partenariat en vue de mutualiser leurs ressources et développements relatifs aux disques SSD. Dans un premier temps, les deux firmes se focaliseront sur la conception de disques dotées d'interface SAS (Serial Attached SCSI) et FC (Fibre Channel) à destination du monde professionnel.
Micron, qui annonçait en août dernier la sortie de disques SSD capables d'afficher des débits de l'ordre de 250 Mo/s, ambitionne d'atteindre le seuil du Go par seconde dès l'année prochaine. Dans une vidéo, le fabricant fait la démonstration d'un dispositif capable de lire des données à 800 Mo/s, et se dit en mesure de proposer des périphériques capables de performances supérieures dans un avenir proche.
Annoncé il y a plusieurs mois déjà, le premier disque SSD d'une capacité de stockage de 256 Go vient d'entrer en production chez Samsung. Le fabricant, spécialiste des semi-conducteurs, rejoint ainsi Toshiba (voir Mémoire Flash : Toshiba annonce un SSD de 256 Go) alors que les caractéristiques de ce nouveau SSD sont pour le moins alléchantes. Outre son large espace de stockage, ce disque, d'un format de 2,5 pouces, utilisera de la mémoire NAND MLC et sera doté d'une interface Serial-ATA 3 Gb/s. Les débits annoncés par le fabricant sont de 220 Mo/s en lecture et 200 Mo/s en écriture pour une consommation électrique de 1,1 watt. Face aux disques SSD de 64 Go et 128 Go signés Samsung, ce nouveau disque est deux fois plus rapide. Pesant à peine plus de 81 grammes, aucun tarif n'a pour l'instant été annoncé par Samsung.
Le fabricant américain SanDisk a annoncé aujourd'hui une nouvelle technologie nommée ExtremeFFS (Flash File System) qui permettrait d'accélérer drastiquement les transferts vers un SSD. Le spécialiste de la mémoire flash indique avoir mis au point un procédé permettant de rendre l'écriture aléatoire 100 fois plus rapide qu'avec un SSD classique.
En matière de disques à mémoire Flash SSD, deux logiques s'opposent. D'un côté, les fabricants tentent de mettre au point les périphériques les plus abordables possibles, à l'image de Transcend qui vient d'annoncer un (actu:175778 modèle de 128 Go à un prix inférieur ou égal à 300 euros]. De l'autre, ils misent sur des cellules de meilleure qualité, aussi rapides qu'elles sont onéreuses, et sur des contrôleurs haut de gamme, pour mettre au point des disques SSD dont les performances sont nettement supérieures à celles des disques durs magnétiques traditionnels les plus efficaces du marché.
Un SSD économique, performant et fait maison ? C'est la proposition à laquelle souhaite répondre le fabricant Sharkoon avec son Flexi-Drive, un périphérique de stockage format 2,5 pouces, au sein duquel l'utilisateur pourra installer lui-même des cartes mémoire SDHC, pour disposer d'un « disque dur » à mémoire Flash de la capacité de son choix. Le Flexi-Drive se présente en réalité comme un PCB dont les deux faces disposent d'emplacements permettant d'y loger une carte mémoire. Au total, on pourra y insérer jusqu'à six cartes de 32 Go, l'ensemble étant géré par un contrôleur capable de reproduire une pile Raid 0, et relié à un ordinateur au moyen d'une interface SATA 3 Gbps. Il devrait prochainement faire son entrée sur le marché, à un prix indicatif de 80 euros.
Le spécialiste du stockage Toshiba annonce aujourd'hui le lancement imminent de la production de mémoires flash NAND gravées en 43 nanomètres. A titre de comparaison, les derniers processeurs d'Intel et d'AMD sont gravés en 45 nm et la plupart des mémoires flash sont gravées en 50 nm, en attendant les puces à 30 nm de Samsung. Les puces de Toshiba utilisent la technologie SLC (pour Single Level Cell), plus coûteuse mais également plus rapide que la technologie MLC (Multi Level Cell) employée dans la plupart des SSD commercialisés dans certains ordinateurs portables.
Buffalo Technology, fabricant spécialisé dans le stockage, lance en Europe un périphérique externe basé sur la technologie SSD. Nommé MicroStation en raison de ses dimensions et de son poids (89 x 57 x 11 mm pour 60 grammes), il se destine tout particulièrement aux ordinateurs portables. La technologie SSD s'appuie en effet sur de la mémoire flash et présente l'avantage, grâce à l'absence d'éléments mobiles, d'être moins gourmand en énergie tout en étant plus rapide et plus résistant que son homologue le disque dur.
La firme taïwanaise Transcend, qui entend bien accompagner la démocratisation de la mémoire Flash en tant que support de stockage, aurait selon Digitimes annoncé la sortie prochaine de nouveaux SSD déclinés en des capacités de 16, 32 et 64 Go, qui affichent des performances théoriques de 159 Mo/s en lecture et 136 Mo/s en écriture. Le fabricant ne donne aucune information sur le type de cellule utilisé (SLC ou MLC) mais il rappelle les avantages de la technologie Flash : outre ces débits rapides, ces disques présentent un poids réduit, en dépit de leur format 2,5 pouces, et offriraient une consommation électrique très basse. Equipés, au choix, d'une interface IDE ou SATA, de façon à assurer leur compatibilité avec tout type d'ordinateur portable, ces SSD embarquent par ailleurs un mécanisme de correction des erreurs de transfert (ECC). Aucun prix n'a encore été communiqué pour ces disques qui font en ce moment leur entrée sur le marché taïwanais.
Les capacités augmentent, et les prix diminuent petit à petit : la technologie SSD (Solid State Drive) serait-elle en passe de se démocratiser ? Le japonais Toshiba vient ainsi d'annoncer la mise au point d'un dispositif de stockage de type SSD, qui utilise donc des modules de mémoire Flash en lieu et place des plateaux magnétiques des disques durs traditionnels, affichant une capacité de 256 Go. Utilisant une interface de type SATA II (3 Gbps), ce disque adopte le format 2,5 pouces, et offrirait selon le fabricant des performances de 120 Mo/s en lecture, contre 70 Mo/s en écriture. Toshiba n'indique pas quel est le poids de ce disque, référencé sous l'appellation THNS256GE8BC, mais vante son extrême finesse : 3 millimètres, qui le prédisposerait à l'intégration dans des ordinateurs ultraportables comme son R500. Aucun prix n'a encore été communiqué pour ce modèle, dont la production devrait débuter dans le courant du quatrième trimestre.
Super Talent a dévoilé aujourd'hui deux nouvelles gammes de supports de stockage SSD dits de troisième génération. Ces derniers sont dénués d'éléments mobiles et disposent ainsi d'une durée de vie et de performances améliorées par rapport à leurs homologues les disques durs. Le fabricant de mémoire flash californien a donc lancé les MasterDrive PX et OX qui embarquent de nouveaux contrôleurs Serial-ATA II leur permettant d'augmenter sensiblement leurs vitesses de transferts.
Avec une capitalisation boursière de quelque trois milliards de dollars, Sandisk serait la plus grosse proie à laquelle s'est jamais attaqué Samsung. Actuel numéro un mondial sur le marché de la mémoire Flash, le sud-coréen aurait selon diverses publications financières américaines, dont Bloomberg, manifesté l'intention de se porter acquéreur de son concurrent Sandisk.
IBM développe en ce moment une technologie, nommée Quicksilver qui vise à améliorer drastiquement les performances des SSD. Big Blue aborde la problématique en s'attardant sur le contrôleur et sur la partie logicielle plutôt que sur le matériel lui même. Le spécialiste du serveur a ainsi présenté une machine équipée d'un peu plus de 4 téraoctets de mémoire, capable d'atteindre un taux de transfert soutenu d'1 million d'entrées/sorties par seconde, et dont les performances globales seraient 2,5 fois meilleures que les technologies concurrentes déjà déployées.
Les hypothétiques soucis d'optimisation de Windows Vista face aux supports de stockage SSD n'empêchent pas les fabricants de concevoir de nouveaux produits. Réputés plus performants et plus économes que leurs homologues les disques durs magnétiques, ces lecteurs de mémoire flash ont le vent en poupe ces dernière semaines. Ainsi après Intel qui a présenté lors de l'Intel Developper Forum une gamme complète de SSD, c'est au tour de Samsung de faire son annonce sur ce segment.
Alors que le Serial-ATA II commence à montrer quelques signes de faiblesses avec certains SSD notamment en RAID, le SATA-IO (Serial ATA International Organization) planche sur le Serial-ATA 3.0 qui devrait permettre de doubler les débits théoriques pour atteindre une bande passante maximale de 6 Gbits/seconde.
Une feuille de route Intel précise que le géant de Santa-Clara devrait proposer ses propres SSD (Solid State Disk ou Drive). Ces ensembles qui réunissent une importante capacité de mémoire Flash seront déclinés dans une gamme nommée X-series et offriront une vitesse de lecture de 240 Mo/seconde et de 170 Mo/seconde en écriture.
L'avenir du stockage élémentaire passe par le SSD, Microsoft et Samsung l'ont bien compris ainsi les deux firmes travailleraient main dans la main pour améliorer les performances de ces ensembles de mémoire de Flash de façon purement logicielle.
Partenaire d'Intel pour le développement de puces de mémoire Flash plus rapides que l'existant, Micron annonce cette semaine l'introduction prochaine de nouveaux disques de type SSD (Solid State Drive) affichant une vitesse de lecture théorique de 250 Mo/s, pour une vitesse d'écriture pouvant s'élever jusqu'à 100 Mo/s. Ces disques adoptent une interface SATA à 3 Gbps, et offrent une consommation électrique évaluée à 2,5W lorsqu'ils sont en activité, contre 0,3W lorsqu'ils sont au repos. Ils offriraient en outre un MTBF (temps moyen entre deux pannes) supérieur à deux millions d'heures.
Le PDG de la société SanDisk Eli Harari a affirmé pendant une conférence que Windows Vista n'était pas optimisé pour les SSDs, ajoutant que les nouveaux modèles utilisant la technologie MLC de 128, 160 et 256 Go étaient retardés jusqu'à ce qu'ils aient développés des contrôleurs qui compensent les lacunes de Vista.
Samsung a fait savoir que la production de masse de son disque de mémoire Flash ou SSD de 128 Go avait débuté. Pour rappel, ce SSD est basé sur des puces de type MLC (Multi Level Cell). Samsung proposera donc prochainement des SSD de 128 Go aux formats 1,8 et 2,5 pouces. Samsung devrait également débuter sa production de SSD 64 Go basés sur des puces MLC afin de réduire les prix de vente.
Du SSD pour tous ? La firme américaine OCZ a lancé cette semaine une nouvelle gamme de disques SSD, cette évolution du disque dur traditionnel avec laquelle les plateaux magnétiques sont remplacés par des cellules de mémoire Flash, qui affiche des tarifs nettement inférieurs à ceux pratiqués jusqu'ici sur ce marché naissant. Baptisée OCZ Core SSD, cette gamme comprend trois modèles affichant des capacités de 32, 64 et 128 Go. Au format 2,5 pouces, ces disques offriraient selon OCZ des performances de l'ordre de 120 Mo/s en lecture, et de 80 Mo/s en écriture. Le prix de détail suggéré par OCZ s'établit à 169 dollars pour le modèle 32 Go, 259 dollars pour le 64 Go et 479 dollars pour 128 Go. En admettant que la conversion euro / dollar soit respectée lorsque ces SSD traverseront l'Atlantique, il serait donc en théorie possible de se procurer un modèle 128 Go relativement performant pour un peu plus de 300 euros !
Certes, le grand public n'est, sauf exception, pas en mesure de profiter des joies de la technologie SSD (Solid State Disk), mais cela n'empêche pas les fabricants de rivaliser d'ingéniosité pour parvenir à démontrer la supériorité de la mémoire Flash sur les plateaux magnétiques des disques durs traditionnels.
Considérée par certains comme l'avenir du stockage, la technologie SSD (Solid State Disk) peine à se démocratiser, en raison du prix encore élevé des cellules de mémoire Flash, et les quelques modèles d'ordinateurs portables qui offrent aujourd'hui des disques de ce type se cantonnent à une capacité de 64 Go. Toshiba, actif aussi bien dans le domaine des ordinateurs portables que dans celui de la mémoire Flash, propose pourtant depuis quelques jours une version de son ultraportable Portégé R500 équipée d'un disque SSD de 128 Go. Le luxe a toutefois un prix : en l'occurrence, 3.000 dollars.
Sandisk a annoncé lors du Computex qu'il allait proposer des SSD (Solid State Drive ou Solid State Disk) interfacés en PATA (IDE - connecteur ZIF) pour les ordinateurs ultraportables économiques comme l'Eee PC d'Asus, ou le Wind de MSI.
Les contraintes d'assemblage de modules de mémoire Flash sur un PCB (circuit imprimé) ne sont pas tout à fait les mêmes que lorsqu'on parle des plateaux magnétiques de nos disques durs traditionnels, et les fabricants de disques SSD (Solid State Drive) ont donc toute latitude pour explorer les formats les plus inusités. En témoignent les efforts de Super Talent qui, non content de proposer les habituels disques aux formats 1,8 pouce et 2,5 pouces, explore des interfaces telles que le Micro SATA ou un format plus compact, le 1,3 pouce. Les boitiers de 3,5 pouces lui permettent enfin de monter jusqu'à une capacité de 256 Go, même si ceux-ci ne trouveront sans doute pas d'acquéreur immédiat, vu le prix des cellules de mémoire Flash.
A l'occasion d'un salon autour de ses technologies mobiles organisé à Taïwan, Samsung a annoncé l'arrivée prochaine sur le marché d'un disque SSD (Solid State Disk) d'une capacité de 256 Go qui serait capable d'atteindre des débits allant jusqu'à 200 Mo/s en lecture. Ce futur modèle, qui sera décliné en versions 1,8 et 2,5 pouces, devrait entrer en production avant la fin de l'année. La version 2,5 pouces, avec ses 9,5 mm d'épaisseur, atteindrait donc des débits allant jusqu'à 200 Mo/s en lecture, ou 160 Mo/s en lecture séquentielle. Des valeurs supérieures à celles du Velociraptor, récemment annoncé par Western Digital, qui offre de son côté des débits théoriques de l'ordre de 124 Mo/s en lecture... mais ne coûte que 300 dollars. Samsung n'a pour sa part pas dévoilé le tarif final de ce nouveau SSD.
Actif aussi bien dans le domaine des processeurs et des chipsets que dans celui du stockage avec lignes de production de mémoire Flash, Intel aurait selon divers fabricants de PC portables l'intention de profiter du lancement prochain de Centrino 2 pour mettre en avant ses disques SSD (Solid State Drive). Encore assez peu usités, du fait de leur prix prohibitif, les disques SSD se composent de mémoire Flash, ce qui permet d'obtenir des temps d'accès nettement inférieurs à ceux que l'on constate avec les disques magnétiques traditionnels, et offrent une bien meilleure résistance aux chocs, ainsi qu'une consommation électrique inférieure.
Super Talent a annoncé ce jour de nouveaux modules de stockage SSD qui permettent de remplacer les classiques disques durs. Rappelons que les SSD sont uniquement composés de mémoire Flash, à ce titre ils offrent davantage de performances, une meilleure fiabilité et ne dégage aucune nuisance sonore.
Le fabricant de mémoire Super Talent propose lui-aussi sa gamme de disques de mémoire Flash SSD. A ce sujet, la firme propose aujourd'hui un nouveau modèle de 256 Go se veut être le SSD le plus fin du marché. Le FSD56GC25H ne mesurerait que 12,5 mm et serait ainsi 40% plus fin que les modèles de la concurrence.
