Pour ses premières barrettes de DDR5, l’Américain Corsair n’avait pas jugé bon de changer de design et, qu’il s’agisse des Dominator ou des Vengeance, on retrouvait des kits proches de ceux de DDR4. La sortie des Dominator Titanum est l’occasion de mettre les points sur les i avec un design retravaillé et des caractéristiques techniques de haut niveau.
Numéro 1 mondial de la barrette mémoire, Kingston est une marque très en vue à l'heure actuelle, et ce, que l'on parle DDR4 ou DDR5. La Fury Beast constitue le modèle de référence de la société américaine pour tout ce qui touche au haut de gamme, mais sans artifices. Sans la moindre LED, notre kit du jour atteint la capacité de 64 Go en DDR5-6000, excusez du peu.
Lexar est un fabricant bien connu pour tout ce qui touche à la mémoire, et ce, qu'il s'agisse des puces de DRAM ou de la NAND comme sur le NM790, un très bon SSD NVMe que nous testions il y a quelques semaines. Aujourd'hui, nous nous penchons la DDR5 ARES, un modèle haut en couleur doté de performances très élevées. Enfin, sur le papier.
En toute logique, l'arrivée de la DDR5 a d'abord concerné la gamme Trident chez G.Skill. Aujourd'hui, la marque diffuse aussi de la RAM nouvelle génération en Ripjaws, sa gamme un peu plus accessible, c'est-à-dire un peu moins onéreuse. Pour autant, il ne semble pas question ici de réduire les performances, pour le modèle de la CL28 que nous testons.
Habitués aux capacités RAM en puissances de 2, nous avons vu débarquer des barrettes de mémoire DDR5 en 24/48 Go pour des kits de 24, 48 ou 96 Go. N’écoutant que notre inextinguible soif de connaissance, nous avons mis la main sur un ensemble Trident Z5 signé G.Skill. Tant qu’à faire, nous avons pris de la DDR5-7200 CL36.
Jusqu’à présent, tous les kits de DDR5 testés dans nos colonnes avaient comme point commun des performances de très haut niveau et un tarif particulièrement dissuasif. Après les tests de DDR5-6000 ou DDR5-6800, nous repassons sous les 5000 MT/s avec des timings en CL40… mais c’est pour la bonne cause.
L’arrivée de la DDR5 a permis de passer un cap côté fréquences et les records tombent un à un avec, par exemple, la commercialisation par G.Skill d’un kit de DDR5-8000. Sans aller aussi haut, notre cobaye du jour n’a pas à rougir : il plafonne certes à 6 800 MT/s, mais conserve des timings impressionnants de CL34.
Quelques jours après le test d’un kit DDR5 certifié EXPO, nous testons un second candidat, signé Corsair cette fois. L’idée n’est pas de multiplier indéfiniment les cobayes, mais plutôt de voir rapidement si un changement de crèmerie est de nature à bouleverser le système mis en place par AMD sur sa plateforme AM5. La DDR5-6000 CL30 reste donc de mise.
S’il n’est évidemment pas le seul, G.Skill est l’un des premiers fabricants de barrettes de DDR5 à proposer des kits de 2x 32 Go pour une remarquable capacité de 64 Go. Il matérialise ainsi la promesse de capacités plus élevées par rapport à la DDR4 et, même si cela ne concerne que peu d’usagers, nous avions à cœur de voir le résultat.
Au moment d’annoncer sa certification EXPO, AMD avait pris soin de rassembler autour d'elle quelques-uns des plus populaires fabricants de barrettes mémoire. Sans surprise, G.Skill était de la partie, et il ne lui a pas fallu bien longtemps pour distribuer ses Trident Z5 Neo EXPO que nous testons ici dans leur version DDR5-6000 CL30, rien que ça.
Quelques mois après avoir lancé sa gamme Dominator, Corsair convertit ses barrettes Vengeance à la DDR5. L’occasion pour l’Américain de changer un peu de design, d’apporter des illuminations sensiblement différentes, mais aussi d’offrir un nouveau boost côté fréquences. Pour ce test, ce sont effectivement les Vengeance RGB DDR5-6000 CL36 que nous passons en revue.
Sans doute parmi les plus actifs des fabricants de barrettes mémoires sur le segment DDR5, G.Skill repousse régulièrement les limites des premiers modèles mis sur le marché. Bien sûr, il cherche à doper les fréquences de ses modules, mais il ne s’arrête pas en si bon chemin et trouve matière à améliorer nettement les timings, pour des temps de latence toujours plus faibles.
Il y a quelques mois, HP faisait l’acquisition d’HyperX, la marque gaming de Kingston. Un rachat qui ne concernait pas tous les composants et Kingston a ainsi conservé le segment de la mémoire vive. Comme il l’a fait sur la DDR4, le fabricant propose diverses gammes de DDR5 avec, notamment des FURY Renegade et des FURY Beast, c’est cette dernière que nous testons aujourd’hui : des barrettes « pas trop coûteuses » au milieu de DDR5 en pleine pénurie.
G.Skill a été parmi les premiers fabricants à proposer des barrettes de DDR5. Son offre est toutefois relativement limitée pour le moment : il se contente de modules haut de gamme et qu’il s’agisse des RipJaws ou des Trident, il faut sacrifier sa tirelire pour se faire plaisir. Tant qu’à faire, nous avons jeté notre dévolu sur les Trident Z5. Attention les yeux.
Très présent depuis de nombreuses années sur le marché de la mémoire vive haut de gamme, Corsair ne pouvait évidemment manquer le train de la DDR5. Il assure sa présence au travers, principalement, de deux kits : les Vengeance et les Dominator Platinum. Ce sont ces dernières que nous avons retenues, pour leurs performances, mais aussi leur design.
Si la DDR4 est progressivement au crépuscule de son existence, de nouveaux modules sortent malgré tout régulièrement. Teamgroup affine son style avec la commercialisation des T-Force XTREEM ARGB DDR4, des barrettes aussi performantes qu’elles sont esthétiques.
À mille lieues des Trident ou même des RipJaws, la marque G.Skill distribue aussi des barrettes de mémoire à moindre coût. La gamme Aegis est ce que l’on peut appeler le premier prix du fabricant taïwanais qui cherche ici à allier honnêtes performances, stabilité de fonctionnement et petits budgets. Mission accomplie pour ce kit à moins de 100 euros les 16 Go.
D’abord moins en vue que certains spécialistes comme Corsair ou Kingston, G.Skill s’est spécialisé dans la mémoire vive au début des années 2000 avec des barrettes très performantes proposées à des prix agressifs. Aujourd’hui encore, il est particulièrement comme en témoigne ce kit de barrettes en DDR4-4400, excusez du peu.
Spécialiste des barrettes mémoires à destination des joueurs – mais pas seulement – G.Skill dispose d’un très large catalogue de modules particulièrement variés. Nous retenons ici les RipJaws 5 Series dans une variante conçue avant tout pour ses excellents timings. Bien sûr, sa fréquence de DDR4-3600 est un autre atout.
Suite au rachat d’HyperX par HP, l’ancienne maison-mère, Kingston, a gardé pour lui certains segments, notamment celui de la mémoire vive. Les FURY Renegade et FURY Beast sont les premiers produits distribués depuis cette séparation. Nous testons ici le second modèle dont il existe des barrettes de haute capacité à « pas trop cher ».
Corsair est un habitué des barrettes mémoires très haut de gamme avec des performances remarquables et un design particulièrement recherché. Sur ces Vengeance LPX, nous sommes complètement à l’opposé de cette philosophie : l’idée est plutôt d’aboutir à de la DDR4 plutôt compacte, bon marché et malgré tout correctement équipée.
Comparatif de 4 kits de mémoire vive haut de gammeSi les modules de mémoire DDR3 ont fait leur apparition au printemps 2007 avec le chipset P35 d'Intel, il a fallu attendre l'arrivée sur le marché de l'Intel Core i7, en fin d'année dernière, pour les voir davantage démocratisés.