« Tel que nous voyons les choses, notre nouvel algorithme Edison fera d'Ask.com un moteur édité par cinquante millions de personnes », explique Lanzone, qui n'hésite pas à comparer le projet à la célèbre encyclopédie collaborative Wikipedia. Chaque utilisateur laisserait ainsi des « miettes de pain », utilisées par le moteur pour déterminer l'ordre des résultats qu'il retourne lors d'une requête.
Ask.com se doterait également d'une dimension sociale, les internautes ayant la possibilité de rejoindre des groupes de recherche, éventuellement capables de modifier les résultats du moteur en fonction de leurs centres d'intérêt. Ces groupes, construits en fonction d'affinités, permettraient également aux internautes de disposer de résultats personnalisés, où la thématique directrice du groupe serait mise en exergue.
Lanzone a par ailleurs indiqué que la firme avait entamé les négociations relatives à son prochain partenariat publicitaire, l'actuel contrat passé avec Google arrivant à son terme d'ici la fin de l'année, sans préciser quel serait la firme choisie.