Par contre, le juge n'est pas revenu sur la facilité déconcertante avec laquelle Kernell, surnommé aussi Rubico, a consulté les e-mails de la candidate d'alors. Il avait simplement répondu à la question mystère nécessaire pour récupérer un mot de passe de connexion. Celle-ci était le nom de l'université de Sarah Palin, la réponse étant « Wasilla », une ville d'Alaska dont la candidate avait fait largement écho dans la presse...
Enfin, lors des premières constatations, la critique s'était concentrée sur le fait que Sarah Palin utilise un compte Yahoo pour traiter d'affaires de politiques publiques. Certains n'avaient alors pas manqué de rappeler que de telles pratiques n'allaient pas dans le sens d'une bonne sécurisation des informations publiques...