Les hackers s'intéressent de plus en plus aux ordinateurs d'Apple bien qu'Android et Windows restent leurs cibles préférées. Moins fréquentes, les attaques contre macOS sont plus sournoises comme le montre la dernière recensée et confirmée. Elle a ciblé durant quelques jours, les téléchargements du logiciel gratuit d'encodage vidéo Handbrake.
Le groupe IBM a lancé une alerte à ses clients : plusieurs modèles de clés USB que la firme à vendus seraient infectés par un malware. IBM recommande de détruire les clés infectées et de procéder aux contrôles de routine et aux analyses antivirus classiques pour réduire tout risque d'infection et pour éviter que le malware ne se répande à d'autres supports.
Les utilisateurs de téléphones qui embarquent l'OS de Google Android doivent à nouveau redoubler de vigilance car une nouvelle menace a été identifiée par le spécialiste de la sécurité informatique ESET. Un trojan (cheval de Troie) permettrait aux pirates de prendre le contrôle du téléphone et d'installer d'autres malwares.
Alors qu'Apple et plusieurs éditeurs en sécurité viennent de publier des correctifs pour venir à bout du cheval de Troie Flashback, un nouveau malware s'invite actuellement sur Mac OS X. Son nom : Backdoor.OSX.SabPub.a.
Un virulent cheval de Troie se fait actuellement une place sur la Toile, et gagne progressivement l'Europe : nommé Trojan.Encoder, ce malware fonctionne sur le même principe que les « Winlock » et chiffre les données présentes sur l'ordinateur vérolé pour ensuite monnayer leur déblocage.
Alors qu'Apple vient de déclarer travailler sur un outil permettant de détecter et supprimer le cheval de Troie Flashback qui infecte des centaines de milliers de Macs, l'éditeur en sécurité Kasperky a, de son côté, lancé sa propre solution de désinfection.
L'éditeur en sécurité Kaspersky met en garde les utilisateurs de smartphones Android contre un nouveau trojan qui sévit dans plusieurs pays du globe. Ce dernier envoie des SMS surtaxés à l'insu des utilisateurs, leur garantissant des factures salées.
Microsoft met en garde contre un nouveau malware particulièrement envahissant, nommé Popureb : ce dernier ne nécessite ni plus ni moins qu'une restauration de Windows pour être éradiqué.
Le cheval de Troie ZeuS est utilisé par des pirates plutôt versés dans la cyber-fraude, notamment bancaire. Selon des experts, le code source du malware, également connu sous le terme Zbot, serait désormais disponible sur les forums spécialisés.
Suite aux attaques ayant touché les services de plusieurs ministères, des informations concernant des attaques similaires commencent à remonter. Certains évoquent notamment des tentatives d'incursion dans certains postes de l'association Reporters Sans frontières.
Le spécialiste de la sécurité Sophos annonce via son blog qu'un nouveau cheval de Troie cible les utilisateurs du système Mac OS X.
A en croire plusieurs spécialistes de sécurité, un nouveau malware serait à l'œuvre dans le milieu bancaire. Sévissant depuis l'Est de l'Europe, il attaquerait des comptes en banque situés aux Etats-Unis. Un cheval de Troie dont plusieurs variantes existeraient déjà.
Un trojan qui freine les adeptes des fichiers torrents dans leur élan : c'est l'étonnant malware qu'a repéré hier le site Webroot. Le cheval de Troie, qui appartient à la famille des logiciels malveillants Ponmocup, se charge, une fois exécuté sur un système, de bloquer l'accès à certains sites spécialisés dans le partage de fichiers Peer-2-Peer.
Alors que les éditeurs de sécurité dévoilent à tour de bras leurs solutions de protection à destination de Mac OS X, le cabinet SecureMac annonce avoir découvert un nouveau cheval de Troie baptisé trojan.osx.boonana.a. Ce dernier cible toutes les versions du système d'Apple jusqu'à Snow Leopard et se déploie au travers des réseaux communautaires dont Facebook, MySpace et Twitter. L'éditeur Intego explique de son côté qu'il s'agit d'une déclinaison du ver Koobface conçue pour Mac OS X.
L'éditeur de sécurité BitDefender met en garde contre l'arrivée d'un nouveau cheval de Troie. Il fonctionnerait sur les plateformes Windows x86. Il semble donc que les concepteurs de malwares aient déjà compris que l'OS de Google devenait de plus en plus populaire, notamment aux Etats-Unis.
L'éditeur Bitdefender met aujourd'hui en garde contre un email qui propose aux internautes de pirater facilement des comptes MSN.
Cinq personnes ont été inculpées dans une affaire de vol d'identité bancaire aux Etats-Unis, pour un préjudice estimé à 450 000 dollars. Les cinq accusés en question auraient utilisé des comptes bancaires en ligne pour siphonner l'argent du compte de la municipalité de Carson, une ville californienne située près de Los Angeles, en mai 2007.
Dans une alerte datée d'hier, BitDefender met en garde les internautes contre un trojan qui se fait passer pour un accès à la bêta d'Office 2010.
L'histoire est classique, selon le blog de BitDefender, l'éditeur roumain de solutions antivirus : un utilisateur du navigateur Google Chrome reçoit un email l'incitant à télécharger une nouvelle extension pour mieux organiser les documents reçus sur sa messagerie. Il suit le lien qui doit l'amener à la page de téléchargement, et arrive sur une page ressemblant à celle de Google Chrome Extensions. Il installe finalement le malware sans se douter qu'il est infecté.
Un cheval de Troie de type Ransomware sévit au Japon. Le trojan baptisé Kenzero est une sorte de prise d'otage qui menace de publier l'historique de navigation de ceux qui téléchargent des vidéos et des jeux porno piratés via le logiciel de P2P WinNY. Si l'internaute ne souhaite pas voir sa vie sentimentale exposée aux yeux de tous, il doit payer une rançon.
L'expansion rapide de l'outil informatique et la très grande multiplicité de ses usages ont très rapidement constitué une tentation pour des personnes aux scrupules dirons-nous limités. Si initialement les premiers virus comme « Brain », apparu en 1986, ou « Michaelangelo », apparu en 1991, étaient le fait de programmeurs amateurs en quête de reconnaissance par leurs pairs, la démocratisation des ordinateurs, la vague multimédia sans oublier l'arrivée de l'Internet ont constitué autant de vecteurs d'accélération de ce qu'il convient d'appeler la piraterie numérique, un terme il est vrai un peu fourre-tout qui peut regrouper plusieurs activités situées pour la plupart en bordure de la légalité. Et si la dite piraterie peut prendre plusieurs formes, le résultat pour l'utilisateur final est toujours le même : une insécurité croissante lors de ses activités numériques.