Si cette interdiction est temporaire, elle reste également circonscrite au réseau informatique américain (.mil) et aux installations militaires présentes sur l'archipel (notamment la base d'Okinawa). Une « mesure exceptionnelle » selon les autorités.
De son côté, la Chine a censuré les termes « fuite nucléaire » sur certains portails comme sina.com (un service similaire à Twitter). Une mesure destinée à éviter la propagation de rumeurs sur la situation, nous informe-t-on. Selon l'AFP, une recherche de ces termes sur le site de micro-blogging aboutirait actuellement sur un message des plus clairs : « selon les lois en vigueur, le résultat de votre recherche ne peut être communiqué ».