Vitaliy Semenets, originaire de Gostomel (Ukraine), a perdu ses AirPods dans la première vague de l'invasion russe. Grâce à la fonction Find My AirPods, il suit désormais les déplacements des soldats russes.
Le groupe de lanceurs d'alerte Distributed Denial of Secrets (DDoSecrets) aurait déjà dévoilé 5,8 To de données concernant les administrations et entreprises russes depuis le début de la guerre en Ukraine.
La décision « injustifiée » et « unilatérale » de suspendre Apple Pay en Russie est une atteinte aux droits des consommateurs russes, selon un avocat.
Plusieurs comptes sur les réseaux sociaux ont avancé que Google, en réponse à l'invasion de l'Ukraine par la Russie, a rendu visibles publiquement sur Maps les bases et installations militaires du pays dirigé par Vladimir Poutine. Une information rapidement démentie par la firme de Mountain View.
Alors que Facebook, Instagram et plusieurs autres applications ont été bannis de la Russie pour « extrémisme », YouTube n’a toujours pas subi le même sort malgré les avertissements du Kremlin.
Les forces cyber ukrainiennes ont indiqué ce mardi avoir repoussé une attaque informatique visant directement des installations énergétiques. Elles ont notamment reçu le soutien de Microsoft et d'ESET.
Gabriel Weinberg, créateur du moteur de recherche, a rappelé aux utilisateurs que le credo de DuckDuckGo était la confidentialité et la pertinence des informations.
Dmitry Peskov, le porte-parole du gouvernement russe, a avoué utiliser un VPN pour contourner la censure internet qui sévit dans son pays.
Depuis des années, la liberté et dérégulation d'internet pose problème à la Russie de Poutine. Internet permet de fédérer l'opposition au régime rapidement et massivement, une menace pour la stabilité du gouvernement. La solution ? Un internet cloisonné et censuré.
La propagation de virus et malwares s’intensifie depuis le début de la guerre en Ukraine. Bitcoin, appareils Android et Windows, Mac… depuis plusieurs semaines tout y passe.
Ukrtelecom, l'un des plus importants fournisseurs d'accès à Internet (FAI) d'Ukraine, a reconnu une cyberattaque d'ampleur contre ses infrastructures le 28 mars 2022 .
Sale temps pour Yandex. Le « Google russe » serait en effet coupable de collecter, à leur insu, les données des utilisatrices et utilisateurs sur 52 000 applications sous iOS.
Le conflit actuel entre l'Ukraine et la Russie n'est pas seulement physique, mais occupe également divers acteurs du cyberespace. Et pour mieux répliquer aux offensives russes, la cyberarmée ukrainienne vous propose de les aider.
L'opérateur Free lance, en signe de solidarité avec l'Ukraine, un forfait mobile à 0 euro par mois pour les réfugiés.
Le ministère ukrainien de la Transformation numérique a lancé son Meta History Museum of War. Ce musée en ligne relate la guerre menée contre la Russie, mais par le biais de NFT.
Dans sa cyberguerre contre la Russie, le groupe activiste Anonymous vient de s’attaquer à trois grandes entreprises françaises.
Depuis deux deux jours, les habitants de la Russie n'ont plus accès à Google News. L'agence russe de contrôle des médias a annoncé le bannissement du service de Google dans le pays en réponse aux nombreuses sanctions imposées par l'entreprise et les États européens.
Dans le contexte actuel de risques de cybermenaces lié à la guerre en Ukraine, l’ANSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) et ses homologues en Europe recommandent aux utilisateurs de solution de sécurité russe de chercher une solution alternative, de confiance. Pourquoi ne pas opter pour Bitdefender Total Security ? La société européenne édite le meilleur antivirus du marché en 2022, tout en participant activement à la cyberdéfense de l’Ukraine et de ses habitants.
S'attaquer aux câbles sous-marins relève presque de la science-fiction, mais il n'empêche que cette éventualité, même effleurée, inquiète, et à juste titre.
Ce n’était qu’une question de temps avant que ce soit officiel. La justice russe a suivi les recommandations des services de sécurité : Facebook et Instagram sont désormais bloqués en Russie.
Dans le cadre d'une opération de solidarité européenne, le gouvernement français indique avoir acheminé, lundi, un premier lot d'équipement informatique à destination de l'Ukraine.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, le gouvernement russe bloque l'accès dans le pays à de nombreuses plateformes pouvant apporter des informations différentes des leurs. Wikipédia n'en est pas encore là, mais est menacé, si bien que de nombreux Russes se sont mis à télécharger les pages écrites dans leur langue pour préserver un certain accès à l'information.
Runet, l'internet russe, va-t-il être prochainement lancé ? Une information mal interprétée a conduit à croire que le gouvernement russe a préparé sa sortie du réseau internet mondial le 11 mars dernier.
Le collectif Anonymous affirme avoir piraté, cette semaine, les services secrets russes, prouvant ainsi sa volonté d'être un acteur majeur du conflit russo-ukrainien.
L'Agence spatiale européenne (ESA) a annoncé, à la suite d'un Conseil spécial, la suspension de la mission ExoMars, menée conjointement avec l'Agence spatiale russe Roscosmos. Cette décision a été prise après de nombreuses réflexions et fait suite évidemment à la guerre en Ukraine initiée par la Russie il y a trois semaines.
Les donations en crypto-monnaies pour soutenir l’Ukraine continuent d’affluer tandis qu’un nouvel appel aux dons, plus structuré et impliquant de gros acteurs de l’industrie crypto, vient d’être lancé. Pour l’exécutif ukrainien, les cryptos sont essentielles pour soutenir la résistance et « jouent un rôle significatif pour défendre l’Ukraine ».
Quelques jours après le déploiement de la version 98 de Firefox, Mozilla a sorti hier une nouvelle mise à jour pour le moins radicale : elle supprime deux des plus gros moteurs de recherche russes de son navigateur en répercussion de la guerre en Ukraine.
En soutien au peuple ukrainien, Avast suspend ses opérations en Russie.
L’Office fédéral de la sécurité des technologies de l’information (BSI), organisme chargé de la cybersécurité en Allemagne, conseille de retirer Kaspersky de son ordinateur et de trouver une alternative à l’antivirus russe.