Offrir une qualité d'affichage irréprochable et des performances robustes tout en se maintenant sous la barre des 1 000 euros en prix de départ. C'est l'objectif du nouvel ultraportable Acer Swift Go 14, annoncé au CES 2023 et lancé sur le second trimestre pour prendre la relève d'un Swift 3 OLED plutôt bien accueilli l'an dernier. Voyons si ce nouveau produit parvient à surclasser son prédécesseur et si Acer n'aurait pas trouvé, au passage, l'équilibre idéal entre performances et compacité.
- Un bon rapport performances-encombrement
- L'écran OLED et 90 Hz quasi parfait
- Connectiques nombreuses
- Webcam 1440p et charge rapide efficace
- Souvent chaud au toucher
- Pas de carte graphique dédiée
- Léger manque de soin sur les finitions
- Autonomie un peu courte (7 heures)
À l'instar de son compatriote et rival ASUS, Acer est l'une des marques à avoir franchement embrayé sur l'OLED ces dernières années. Et comme ASUS, le constructeur taïwanais ne propose pas cette technologie d'affichage uniquement sur ses ultraportables les plus haut de gamme. C'est ainsi qu'arrivait l'an dernier un certain Swift 3 OLED, équipé, pour moins de 1 000 euros en prix de départ, d'une dalle OLED 2,8K de 14 pouces avec une qualité d'affichage habituellement réservée à des machines plus coûteuses.
Bien accueilli par la presse spécialisée en son temps, l'appareil était remplacé en début d'année par un nouveau modèle : le Swift Go 14 qui nous intéresse aujourd'hui. Ce produit reprend les mêmes fondations, mais avec quelques ajouts en plus. Nous allons voir s'il vaut votre attention, mais avant de poursuivre, voici la configuration complète du modèle qu'Acer France nous a fait parvenir en prêt.
Fiche technique Acer Swift Go 14
Processeur | Intel Core i5-13500H |
Taille de la mémoire | 16Go |
Carte graphique | iGPU Intel Iris Xe |
Taille de l'écran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 90Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Intel Core i5-13500H |
Type de processeur | 12 coeurs / 16 threads |
Fréquence du processeur | 4.7Hz |
Finesse de gravure | 10nm |
Taille de la mémoire | 16Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 6,400Hz |
Carte graphique | iGPU Intel Iris Xe |
Taille de l'écran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 90Hz |
Type de dalle | Dalle AMOLED |
Type d'écran | OLED |
Résolution d'écran | 2.8K |
Format de l'écran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Non |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 1 To |
Disque secondaire | 1 slot M.2 NVMe |
Lecteur optique | Aucun |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Micro SD |
Connectiques disponibles | Thunderbolt 4/USB-C, USB 3.2, S/PDIF (Jack 3.5mm), HDMI 2.1, USB 3.2 Type C |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.2 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - Couleur unique |
Pavé numérique | Non |
Lecteur d'empreinte digitale | Oui |
Épaisseur | 1.49cm |
Longueur | 31.3cm |
Largeur | 21.8cm |
Poids | 1.25kg |
La configuration qu'Acer nous a envoyée n'est malheureusement pas commercialisée telle quelle sous nos latitudes. Pour l'instant, le modèle vendu dans l'Hexagone est moins intéressant. Il se limite en effet à un processeur basse consommation Intel Core i5-1335U, à une dalle IPS et à 512 Go de stockage pour un prix fixé à 999 euros. Un modèle 16 pouces du Swift Go existe également, avec un prix de départ de 1 099 euros. Notons enfin que le très bon Swift 3 OLED reste proposé sur certains sites marchands à un prix avoisinant les 1 000 euros.
Design : sobre et efficace… mais attention aux finitions !
Avec 31,3 x 21,8 x 1,49 centimètres pour 1,25 kilo, le Swift Go est un ultraportable d'apparence légèrement trapue, mais relativement léger, et donc pas désagréable à transporter du tout. L'appareil se glisse dans un sac sans difficulté et paraît suffisamment robuste dans sa conception pour encaisser des déplacements fréquents sans être endommagé trop vite ou trop facilement. Avec sa construction, Acer inspire confiance, ce qui n'est évidemment pas négligeable, même si le constructeur taïwanais néglige un peu trop les finitions à notre goût sur ce produit.
En la matière, le Swift Go 14 est plutôt « rustique » si on le compare à certains ultraportables concurrents, comme le Honor MagicBook 14, le Dell XPS 13 ou l'Apple MacBook Pro 13 M2, tous trois nettement plus soignés (mais aussi légèrement plus chers). Au rang des petites déconvenues : un pourtour en plastique noir assez vilain autour de l'écran, mais aussi et surtout des découpes de connectiques mal peaufinées.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Non seulement ces dernières « accrochent » les doigts quand on passe la main sur les flancs du produit, mais Acer ne les a pas taillées tout à fait à la bonne taille. Pour ajuster ces emplacements aux connectiques correspondantes, de petits morceaux de plastique ont donc été installés sous les ports USB-A et HDMI, par exemple. Ce n'est ni handicapant ni fragile, mais ce n'est pas esthétique du tout, et cela nous étonne d'Acer, habituellement plus méticuleuse. On regrette par ailleurs qu'il ne soit pas possible d'ouvrir le capot d'une main sans que toute la partie clavier ne se soulève. Signe d'une mauvaise répartition des poids, ce petit défaut s'avère casse-pied au quotidien, mais sans être rédhibitoire pour autant.
Heureusement, Acer se rattrape sur à peu près tout le reste. Son Swift Go est sobre, il dispose d'un design basique, certes, mais efficace. Les connectiques y sont nombreuses et variées (deux ports USB-C Thunderbolt 4, une sortie HDMI 2.1, deux ports USB-A 3.2 Gen 2, un lecteur de cartes microSD et une prise casque jack de 3,5 millimètres), même si l'on aurait préféré un lecteur SD pleine taille plutôt qu'un emplacement microSD trop peu utile. On apprécie aussi l'ajout d'une webcam 1440p offrant une qualité d'image valable, même lorsque la lumière manque un peu.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Côté clavier, Acer fait aussi du bon travail dans l'ensemble, en dépit de touches un peu exiguës auxquelles il faudra s'habituer. La frappe est ici très rapide, grâce à une course vraiment courte des touches et à un retour tonique. Ce clavier est par ailleurs silencieux, à l'exception notable de la barre d'espace et de la touche Entrée. On y retrouve enfin un lecteur d'empreinte digitale, logé directement dans le bouton de mise sous tension.
Bien que trop petit pour les standards de 2023 et un peu bruyant, le trackpad est lui aussi satisfaisant. Sa réactivité et la précision de ses clics appuyés sont appréciables. Dommage qu'Acer n'ait pas profité de l'espace visible autour de ce pavé tactile pour en accroître la diagonale.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
L'accès aux composants se fait quant à lui en retirant les 9 vis cruciformes visibles sous le châssis. On peut ensuite retirer la plaque inférieure de la carlingue pour laisser apparaître au grand jour deux haut-parleurs, une batterie de 65 Wh ainsi qu'un système de dissipation axé sur deux petits ventilateurs et deux caloducs. La batterie peut être remplacée facilement, au même titre que le modem Wi-Fi et le SSD M.2. La mémoire vive (au format LPDDR5) est en revanche soudée à la carte mère, comme souvent sur les ultraportables.
Écran : la beauté de l'OLED, avec du 90 Hz en prime
Pour son Swift Go, Acer ne mégote pas. Le constructeur se paye en effet les services d’une dalle OLED 16:10 de 14 pouces, avec une définition 2,8K (2 880 x 1 800 pixels) et une fréquence d'affichage allant jusqu'à 90 Hz. Cet écran profite de la certification DisplayHDR True Black 500 et offre sur le papier une couverture à 100 % du spectre DCI-P3. Aidé de nos outils de mesures et du logiciel Calman Ultimate, nous avons pu vérifier ces données.
En premier lieu, nous recueillons une luminance maximale typique de 369,5 cd/m2 et un pic de luminosité de 407,6 cd/m2 en SDR. Ces valeurs sont bonnes dans l'ensemble pour la technologie OLED, qui n'est pas aussi lumineuse que le Mini-LED, par exemple. Nous ne sommes jamais vraiment gêné par le revêtement brillant de la dalle, et la lisibilité reste excellente dans la vaste majorité des cas avec le Swift Go 14. Un excellent point, d'autant qu'en HDR, ces valeurs sont plus élevées. Nous nous concentrons toutefois sur les données recueillies en SDR, au sortir du carton : l'expérience que la majorité des utilisateurs auront.
Quoi qu'il en soit, cet écran OLED s'avère assez bien calibré, avec une température des couleurs mesurée à 6 505 kelvins par notre sonde. C'est tout simplement la valeur idéale, puisque nous sommes pile au niveau des 6 500 kelvins du standard vidéo. Le Delta E est en revanche un peu décevant, on relève cette fois un indice de 4,1 en lieu et place du Delta E égal ou inférieur à 3 que l'on devrait idéalement trouver pour profiter d'une expérience visuelle parfaitement fidèle.
La couverture des principaux espaces colorimétriques est en revanche parfaite, avec un spectre sRGB couvert à 147,1 % et une prise en charge à 99 % du gamut DCI-P3. Rien à redire. Enfin, OLED oblige, le contraste est inattaquable. Les noirs sont d'une profondeur abyssale, ce qui confère à la fois du relief à l'image et une excellente dynamique.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Dernier point : le 90 Hz. Agréable, mais pas indispensable (la différence avec le 60 Hz étant relativement modeste), ce mode souffre principalement de sa relative difficulté d'accès. Pour le trouver, Windows 11 nous force toujours à une expédition dans les réglages (Système > Écran > Paramètres avancés de l'écran). Un manque d'accessibilité d'autant plus frustrant que le Dynamic Refresh Rate (DRR), qui permet de passer de manière dynamique d'une fréquence à l'autre, n’est disponible sur Windows 11 que sur les écrans d'au moins 120 Hz. Notre Swift Go n'est donc pas éligible.
Performances : plus de puissance qu'il n'en faut pour le quotidien (mais du bruit)
Comme évoqué plus haut, le Swift Go 14 que nous avons reçu en prêt était équipé d'un processeur Intel Core i5-13500H (12 cœurs et 16 threads cadencés à un maximum de 4,70 GHz, 18 Mo de cache et 45 watts de TDP). Face aux puces à basse consommation de 15 watts « plus classiques », que l'on trouve habituellement sur les ultraportables de 14 pouces, ce processeur Tiger Lake « H » de 45 watts permet une meilleure polyvalence au quotidien et offre un peu plus de puissance pour les usages avancés. Du moins sur le papier.
Une thèse qui se confirme bel et bien en benchmarks, où nous recueillons 10 514 points en multi-core sur Cinebench R23 et quelque 1 775 points en calcul single-core. Ces performances, plutôt flatteuses, permettent à la puce d'Intel de faire globalement mieux que le Core i7-1355U d'un ASUS ZenBook S13 OLED (7 960 points en multi-core sur le même outil, contre 1 827 points en single-core) ou qu'un MacBook Pro M2 (8 726 points en multi-core et 1 582 points en single-core).
Attention en revanche à la comparaison avec le Core i5-12500H. Sur le très bon Honor MagicBook 14, cette puce d'ancienne génération, que notre 13500H est censé remplacer, offrait en effet un très bon bilan : 1 729 points en calcul single-core et quelque 10 329 points en multi-core, toujours sur Cinebench R23. Autant dire que le gain d'une génération à l'autre est faible… et c'est ce que l'on regrette principalement ici.
Ces performances malgré tout solides s'obtiennent grâce à un système de dissipation efficace, axé sur deux petits ventilateurs placés l'un contre l'autre, et deux caloducs. Bien que basique, ce dispositif s'avère suffisant et relativement discret quand il est fortement sollicité. En utilisation intensive sur AIDA64, peu de bruit est à déplorer, et pourtant, les températures sont maintenues à 77 °C en moyenne sur le processeur. Nous n'avons d'ailleurs pas eu à constater de thermal throttling ici. Les fréquences restent donc stables, dans un contexte de charge CPU intensive et prolongée.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Au toucher toutefois, la chaleur se ressent assez vite, surtout au-dessus du clavier et sous le châssis. Un léger inconvénient à l'usage, doublé d'une activation intempestive des ventilateurs quand on reste sur le bureau, ou même dans le cadre d'une utilisation bureautique et multimédia pourtant peu intensive. Sur ces deux points, Acer devrait faire mieux.
Notez enfin que si les performances sont au rendez-vous sur le plan CPU, il n'y a pas de quoi s'extasier sur le plan GPU. Avec sa petite partie graphique intégrée Iris Xe (80 unités de calcul à 1,45 GHz), le Core i5-13500H n'ira jamais bien loin en jeu ou sur les logiciels de création tirant parti de l'accélération graphique. C'est dommage, car sur ce point, le Honor MagicBook 14 fait mieux en embarquant une RTX 2050 dédiée… pas transcendante, certes, mais bien plus polyvalente qu'un simple iGPU.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Terminons avec les performances du stockage. Le SSD M.2 de 1 To installé à bord de notre Swift Go 14 fait du bon travail pour un produit de ce type, mais sans vraiment impressionner face aux autres SSD PCIe 4.0. Ses vitesses de transfert se limitent en effet à 3 619,77 Mo/s en lecture et à 3 464,39 Mo/s en écriture. Honnête, sans plus.
Autonomie : c'est là que le bât blesse ?
Sans être un champion de l'autonomie, le Swift Go 14 s'en sort honorablement compte tenu de son processeur hautes performances, plus gourmand en énergie que les puces habituellement installées sur ultraportables. En gros, comptez 6 à 7 heures en fonction du mode d’affichage choisi (90 ou 60 Hz).
Dans le cadre de notre test d'autonomie habituel (lecture vidéo 1080p sur YouTube jusqu'à épuisement complet de la batterie), en 60 Hz, avec la luminosité de l'écran poussée à fond, le rétroéclairage du clavier coupé, un casque branché et les paramètres d'alimentation réglés sur la meilleure efficacité énergétique, nous avons réussi à tenir 7 heures et 10 minutes avant de voir l'ordinateur s'éteindre faute de jus. De quoi tenir une (petite) journée de travail sur batterie, même si le chargeur devra idéalement vous accompagner afin d'éviter toute panne sèche prématurée.
Quant au chargeur, justement, disons qu'il a du mordant. Ce bloc USB-C de 100 watts offre une charge rapide efficace qui compense au moins en partie les lacunes du Swift Go côté autonomie. En partant d'une batterie complètement déchargée, on regagne en effet un peu plus de 50 % d'autonomie en une demi-heure, tandis que la charge complète se fait en une 1 heure et 20 minutes environ.
Audio : des haut-parleurs correctes en dépannage
Avec ses deux petits haut-parleurs installés sous le châssis, le Swift Go ne brille pas côté audio, il se contente plutôt de nous dépanner. Mal logés, ses deux speakers offrent une qualité sonore modeste, comme souvent, mais délivrent un son suffisamment puissant. L'expérience audio n'est vraiment pas bonne, mais elle suffit pour regarder quelques vidéos sur YouTube sans brancher d'écouteurs. Les aigus sont imprécis, les médiums trop présents et les graves en bonne partie oubliés… mais en dépannage, c'est correct.
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
La prise casque s'avère pour sa part très honnête. À l'oreille, le son diffusé est à la fois puissant et détaillé. Si vous disposez d'un bon casque audio à y brancher, vous ne devriez pas être déçu.
Acer Swift Go 14 : l'avis de Clubic
Bonne pioche que ce Swift Go. À défaut d'être irréprochable, l'appareil fait du bon travail sur pratiquement tous les points réellement importants. Outre son excellente qualité d'affichage et des performances gratifiantes compte tenu de son encombrement réduit, le Go 14 tire parti d'un assortiment généreux de connectiques et d'une bonne webcam pour finir de convaincre. Sa charge rapide est également un plus, même si elle sert surtout à compenser l'autonomie malheureusement un peu trop juste de ce nouveau Swift.
Nous aurions par ailleurs apprécié qu'Acer soigne mieux les finitions de son PC. C'est un très bon ordinateur malgré tout, mais attention, il pourrait souffrir de la confrontation avec le vénérable Honor MagicBook 14, un modèle concurrent positionné peu ou prou sur le même créneau tarifaire, avec le même format de 14 pouces, un écran OLED en moins… mais une carte graphique dédiée en plus.
- Un bon rapport performances-encombrement
- L'écran OLED et 90 Hz quasi parfait
- Connectiques nombreuses
- Webcam 1440p et charge rapide efficace
- Souvent chaud au toucher
- Pas de carte graphique dédiée
- Léger manque de soin sur les finitions
- Autonomie un peu courte (7 heures)
Concurrence : quelles alternative à l'Acer Swift Go 14 ?
- L'impeccable prestation de la puce M2 (performances et silence admirables)
- Écran IPS "Retina" toujours convaincant
- Clavier et trackpad irréprochables
- Autonomie généreuse (12 heures, voire plus)
- Design rigoureusement inchangé et vieillissant
- Connectique pauvrette (2 USB-C Thunderbolt 3 seulement, pas de MagSafe…)
- Recharge un peu trop lente
- Webcam 720p indigne
- Bonnes performances dans l'ensemble
- L'écran OLED de notre modèle de prêt
- Design réussi, compacité agréable
- Un trackpad haptique (presque) parfait
- Connectiques peu nombreuses
- Les couleurs de l'écran manquent de fidélité
- Autonomie assez limitée (8 heures)
- Bouton de démarrage peu pratique
- De solides performances et une marge de manœuvre en jeu
- Autonomie au niveau (9 à 10 heures)
- Qualité d’assemblage satisfaisante
- Bon clavier avec capteur d’empreinte
- Luminosité de l'écran parfois trop juste
- Pas de connectique Thunderbolt 4 en dépit du CPU Alder Lake
- Webcam 720p à la rue et touchpad raté
- Design vu, vu et revu (mais on chipote)