Un hacker nigérian a récemment tenté de soudoyer les clients d’une entreprise de cybersécurité, leur proposant d'installer un ransomware sur le serveur de leurs entreprises afin de récupérer une grosse somme d’argent.
Une quinzaine de jours après l'attaque de Gigabyte et le vol de 112 Go de données, les pirates mettent leur menace à exécution en rendant public une première portion des documents confidentiels dérobés.
Poly Network a annoncé que le pirate qui leur avait dérobé 600 millions de dollars en crypto-monnaie a fini par rendre l'intégralité de la somme.
Que les amateurs du Morse se rassurent, le code semble avoir encore de beaux jours devant lui. Ce dernier a été employé par des pirates du Web, entre autres méthodes, dans une tentative de phishing, comme l'annonce Microsoft sur son blog.
Un cheval de Troie serait employé depuis plusieurs mois par un groupe de pirates informatiques au service du gouvernement chinois afin de récolter des données sensibles sur plusieurs États. Une dizaine d'attaques ont ainsi été recensées depuis le début de l'année 2021. C'est ce qu'affirme l'entreprise spécialisée dans la cybersécurité FireEye.
Plusieurs ministres des Affaires Étrangères, diplomates, ainsi que diverses firmes nationales et internationales auraient été ciblés par des opérations de hacking au cours des trois dernières années.
La Commission européenne fait face à la mise en ligne illégale d'une base de données issue du projet Cybersecurity Atlas, son organe qui recense les spécialistes cyber de la zone.
Plus de 112 Go de données volées sur ses serveurs internes seraient entre les mains des hackers.
Le mois dernier, une affaire de cyberespionnage à l'échelle mondiale a été déterrée par un consortium composé de 17 médias. Mais cette semaine, de nouveaux détails effrayants autour du fameux Projet Pegasus ont été communiqués.
2021 est encore loin d’être terminée, mais déjà, le nombre d’attaques par ransomware a dépassé celui de toute l’année 2020.
MosaicLoader est un malware dangereux pour les appareils sous Windows. Il peut pénétrer une machine après un simple clic sur un lien sponsorisé affiché par un moteur de recherche.
Le groupe de cybercriminels TA456, réputé affilié à l'État iranien, visait directement un sous-traitant en défense aérospatiale, par le biais d'une campagne malicieuse dont « Marcella Flores », un faux profil Facebook, était l'instrument.
Hier, le patron de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) a attribué au groupe de hackers ATP31, proche du gouvernement chinois, une série de cyberattaques coordonnées sur un ensemble d’entités françaises. La campagne de compromission dont est victime l’Hexagone est jugée « particulièrement virulente ».
Depuis quelques jours, l’affaire Pegasus soulève de très nombreuses questions, aussi bien politiques que techniques. Le mode opératoire du virus « sans clic » inquiète tout particulièrement. D’autant plus que ce logiciel malveillant, développé par la société israélienne NSO, agit aussi bien sur des smartphones Android que sur des iPhone, pourtant réputés pour leur haut niveau de sécurité.
Face au danger que représente la cybercriminalité, Jean Larroumets, le président de French Tech Toulon, et Bitdefender nous prodiguent leurs conseils simples pour partir en vacances l'esprit tranquille.
Pegasus a bien frappé, mais pour savoir si ce spyware a infecté votre téléphone portable, il convient d'agir avec prudence face à la démultiplication des « tests » pour vérifier si votre smartphone est concerné.
Edward Snowden, l'un des lanceurs d'alerte les plus célèbres du monde connu pour avoir rendu publique une surveillance de masse via des programmes américains et britanniques, s'est positionné contre les logiciels d'espionnage.
Autour de l'organisme à but non-lucratif français Forbidden Stories, un consortium de 17 médias planétaires, dont Le Monde et Radio France, a révélé les méfaits du logiciel espion Pegasus, qui sévit sur smartphone. Celui-ci est à l'origine d'une surveillance massive de militants et journalistes spécialisés dans l'investigation et la corruption, pouvant aboutir à des actes dramatiques. En France, plus de 1 000 personnes auraient été visées.
Après le pétard mouillé qu'a été le rachat de Discord, Microsoft semble avoir ses yeux sur une autre entreprise dans un tout autre registre : RiskIQ.
Des pirates demandent 70 millions de dollars en Bitcoin (BTC) pour déchiffrer l’attaque « Kaseya » qui a touché plus de 1000 entreprises dans le monde.
Le Windows Print Spooler fait une nouvelle fois des siennes ! La firme de Redmond alerte ses utilisateurs : toutes les versions de son système d'exploitation pourraient être touchées par cette nouvelle faille.
Vendredi, de nombreuses entreprises ont eu une mauvaise surprise : elles ont été victimes d'un ransomware à travers une attaque dirigée contre Kaseya.
Une seconde vulnérabilité dans les My Book Live a été découverte, ce qui explique les suppressions de données dont ont été victimes des clients.
Microsoft a indiqué que l'un des ordinateurs de son service client avait été compromis par Nobelium.
Un analyste de G Data a découvert qu'un driver, nommé « Netfilter », était en réalité un rootkit.
Des chercheurs d'Avast ont déclaré avoir trouvé un malware qui désactive les antivirus et installe un logiciel pour miner de la cryptomonnaie.
Des utilisateurs dans le monde entier se sont rendu compte que toutes leurs données avaient été effacées de leur My Book Live.
D'après Distributed Denial of Secrets, une plateforme en ligne de l'OTAN aurait été compromise par des hackers.
Dans un rapport, SophosLab a indiqué avoir appris l'existence d'un malware destiné à empêcher ses victimes de télécharger illégalement.