Des artistes comme Jason Mraz, Steve Winwood et Heat ont ainsi clamé que : "de nombreux artistes étaient en mesure de tirer profit du P2P, une technologie qui permet de s'ouvrir au monde. Les bénéfices liés à cette technologie surpassent largement les risques liés au piratage [...] Fermer un service P2P revient à priver les musiciens d'un espace de publicité qui permet de générer davantage de bénéfice [...] avant le P2P tout était "contrôlé" par de grosses maisons de disques et par quelques labels indépendants".
Reste à voir maintenant si ces propos seront en mesure de "sauver la peau" de Grokster. Dans cette affaire, d'autres audiences devraient avoir lieu pendant le mois de mars.