Toshiba, qui jusqu'ici produisait des puces de 32 Gbits en 43 nanomètres, indique que cette finesse de gravure supérieure permettra de répondre à la demande croissante du marché en mémoire Flash, avec des modules plus petits, plus économiques, et moins gourmands en énergie. Empilées à raison de huit exemplaires par module, ces puces permettront de constituer des unités de 32 Go, explique Toshiba.
Devancé par Samsung, numéro un mondial de la mémoire Flash, Toshiba espère ainsi démontrer son avance technologique. La production de masse de ces puces en 32 nanomètres débutera en juillet. Viendront ensuite, d'ici la fin de l'année, des modules de 16 Gbits (2 Go), également produits dans l'usine japonaise de Yokkaichi.