Comme le précise le quotidien Les Echos, la société est désormais valorisée à 15 millions d'euros et les deux fondateurs ont cédé leurs titres, quittant pour certains l'entreprise. L'intérêt pour son acquéreur est de mettre la main sur de nouveaux actifs mais également sur une liste de clients conséquente puisque Phenix Systems s'adresse à des groupes tels que Michelin (moules pour pneumatiques) mais également au secteur médical, au luxe ou encore à l'aéronautique.
Toujours est-il que ce rachat tombe mal pour les défenseurs du made in France puisque le secteur de l'impression 3D est en plein développement. A ce titre, un salon consacré à ce marché s'ouvre même à Paris en cette fin de semaine.