Comme d'autres avant lui, NEC entend bien faire entendre que la virtualisation du poste de travail (VDI) n'est pas réservée aux grands comptes. Le fabricant vient pour se faire de lancer deux nouvelles offres tout-en-un baptisées « VPCC in a box » et « FlexVPCC », adressées respectivement aux TPE (moins de 20 postes) et PME (de 50 à 200 utilisateurs), qui se veulent abordables, aussi bien sur le plan technique qu'au niveau des tarifs pratiqués.
Avec VPCC in a box, NEC propose de réunir sur un unique serveur physique les outils d'administration à distance et l'hébergement d'un maximum de 20 postes de travail virtuels. Utilisable avec VMware ESX ou Hyper-V de Microsoft, la solution sera commercialisée à partir de 400 euros hors taxe (hors licences Microsoft VDA). Un prix plancher, calculé pour motiver la transition vers une architecture virtualisée, en permettant à la fois de recycler une partie de son parc informatique et de compléter ce dernier à l'aide de clients légers économiques.
Plus ambitieuse, la solution NEC FlexVPCC se présente quant à elle comme une appliance complète, susceptible d'être intégrée dans une infrastructure plus globale. Administrable en direct ou par le biais d'un contrat de services, elle offre la gestion dynamique des ressources, sur base ESX, avec la possibilité de monter jusqu'à 200 postes de travail virtualisés. Entre autres arguments, NEC avance logiquement la simplicité du déploiement, et un ticket d'entrée accessible, établi à 350 euros hors taxe pour la configuration de base. « Les PME n'ont pas souvent le temps de faire plusieurs "proof of concept" des solutions VDI du marché, c'est ce temps que nous souhaitons ici leur faire économiser », commente Sylvaine Dekeyrel, responsable marketing des offres virtualisation de NEC en Europe.
Les bénéfices du VDI selon NEC...