Avast a sorti deux déchiffreurs gratuits, un pour les ransomwares LockFile et AtomSilo et un deuxième pour Babuk.
Le 22 octobre, le compte du développeur du package NPM populaire UA-Parser-JS a été hacké.
Un driver, signé électroniquement par Microsoft, s'est révélé être un rootkit, tel que l'ont découvert les chercheurs de Bitdefender.
Un rapport parlementaire sur le statut de la cyberassurance propose d'interdire aux assureurs de couvrir les rançons sous prétexte, entre autres, que ce sont ces mêmes rançons qui alimentent la cybercriminalité.
D’après de nouvelles accusations, Microsoft OneDrive serait un repaire à malwares depuis de nombreuses années.
Dans un texte interne, la marque à la pomme se félicite de subir beaucoup moins de malwares que les appareils Android. Elle explique son succès grâce à sa politique stricte de contrôle.
Les chercheurs d'ESET ont décrit le fonctionnement d'un virus qu'ils ont surnommé « FontOnLake » et qui cible les systèmes sous Linux.
ESET, principal éditeur européen en solutions de cybersécurité, a publié un nouveau rapport délivrant les principales statistiques issues de ses systèmes de détection.
HTTP est un protocole de transmission permettant d'accéder à des pages web. HTTPS, sa version sécurisée, vérifie quant à lui l'identité du site via un certificat d'authentification. Attention, ce n'est pas un protocole infaillible : aujourd'hui, 9 malwares sur 10 transiteraient par ce canal chiffré.
Masslogger est un malware aux multiples variantes utilisé pour subtiliser des informations d’identification via des navigateurs Internet et des clients de messagerie populaires tels que Microsoft Outlook, Google Chrome, Discord, Thunderbird et bien d’autres. Depuis le début de l’année 2021, des experts en sécurité ont repéré des nouvelles variantes du cheval de Troie qui ciblait les utilisateurs de Windows à travers des campagnes de phishing.
Les chercheurs de Zimperium zLabs ont découvert un trojan, présent sur plus de 200 applications du Google Play Store, qui vise à faire souscrire ses victimes des services payants récurrents.
Voilà un nouveau rapport qui fait froid dans le dos. Alors que de nombreux établissements médicaux font régulièrement face à des malwares les empêchant d'exécuter certaines de leurs missions efficacement, les virus vont bien au-delà que causer des perturbations et engendrer des pertes financières.
Les chercheurs de Kapersky ont découvert un trojan, nommé BloodyStealer, vendu sur le darknet et créé pour voler les comptes des joueurs sur les plateformes de jeux vidéo populaires.
Lundi, Microsoft a alerté de l'existence d'un nouveau malware sur mesure utilisé par Nobelium, surnommé « FoggyWeb ».
WannaCry, Ryuk, Locky… Tous des ransomwares très connus qui ont fait de gros dégats dans des systèmes informatiques. Les ransomwares sont aujourd'hui un moyen populaire pour se faire de l'argent dans le monde de la cybercriminalité. Malgré tout, de plus en plus de victimes ne payent pas la rançon. Alors comment les criminels inversent la tendance en 2021 ? Analysons leurs nouvelles pratiques.
Voilà une excellente nouvelle pour les victimes du ransomware-as-a-service (RaaS) REvil. Bitdefender annonce avoir mis au point un outil de décryptage dès à présent utilisable par celles et ceux qui n'auraient pas eu l'opportunité de débloquer les données piratées par le malware.
Les sites liés à REvil sont soudainement redevenus actifs, deux mois après leur disparition du devant de la scène.
Le groupe criminel Ragnarok, à l'origine du ransomware éponyme, a tiré sa révérence… tout en mettant à disposition de ses victimes la clé de déchiffrement maîtresse.
Après les processeurs, ce sont les GPU des cartes graphiques qui sont à présent susceptibles d'être la cible de menaces de type malware. Fourbe, le virus se niche directement dans la mémoire cache de la puce et prospère incognito au sein de l'intégralité de votre appareil.
Une URL ou même un fichier à télécharger ne vous inspire pas confiance et vous ne voulez pas prendre le risque d'infecter votre machine avec un virus ? Le service VirusTotal s'occupe de tout.
Un cheval de Troie serait employé depuis plusieurs mois par un groupe de pirates informatiques au service du gouvernement chinois afin de récolter des données sensibles sur plusieurs États. Une dizaine d'attaques ont ainsi été recensées depuis le début de l'année 2021. C'est ce qu'affirme l'entreprise spécialisée dans la cybersécurité FireEye.
Plus de 112 Go de données volées sur ses serveurs internes seraient entre les mains des hackers.
2021 est encore loin d’être terminée, mais déjà, le nombre d’attaques par ransomware a dépassé celui de toute l’année 2020.
MosaicLoader est un malware dangereux pour les appareils sous Windows. Il peut pénétrer une machine après un simple clic sur un lien sponsorisé affiché par un moteur de recherche.
Le groupe de cybercriminels TA456, réputé affilié à l'État iranien, visait directement un sous-traitant en défense aérospatiale, par le biais d'une campagne malicieuse dont « Marcella Flores », un faux profil Facebook, était l'instrument.
Depuis quelques jours, l’affaire Pegasus soulève de très nombreuses questions, aussi bien politiques que techniques. Le mode opératoire du virus « sans clic » inquiète tout particulièrement. D’autant plus que ce logiciel malveillant, développé par la société israélienne NSO, agit aussi bien sur des smartphones Android que sur des iPhone, pourtant réputés pour leur haut niveau de sécurité.
Face au danger que représente la cybercriminalité, Jean Larroumets, le président de French Tech Toulon, et Bitdefender nous prodiguent leurs conseils simples pour partir en vacances l'esprit tranquille.
Pegasus a bien frappé, mais pour savoir si ce spyware a infecté votre téléphone portable, il convient d'agir avec prudence face à la démultiplication des « tests » pour vérifier si votre smartphone est concerné.
Edward Snowden, l'un des lanceurs d'alerte les plus célèbres du monde connu pour avoir rendu publique une surveillance de masse via des programmes américains et britanniques, s'est positionné contre les logiciels d'espionnage.