Des chercheurs en cybersécurité sonnent l'alarme concernant un nouveau malware qui s'attaque aux services et données bancaires des utilisateurs du système d'exploitation Android. Il prend la forme d'une application légitime qui, une fois installée avec le consentement de l'utilisateur, s'introduit dans les comptes bancaires et peut voler des fonds.
La société Malwarebytes Corporation, spécialisée dans la sécurité informatique, se lance sur le marché des VPN. Avec Malwarebytes Privacy, elle espère séduire les utilisateurs, via deux formules : une à petit prix, avec des fonctionnalités classiques, et une plus onéreuse, qui met l'accent sur la sécurité.
Cognizant, l'une d'une plus importantes sociétés de la tech américaine, a récemment affirmé qu'elle avait fait face à un ransomware de type Maze, que l'on a déjà beaucoup croisé en 2019.
L'utilitaire américain Malwarebytes, spécialisé dans l'élimination de malwares, a publié cette semaine son rapport annuel State of Malware. Derrière ce titre assez peu inventif, un état des lieux complet pour l'année 2019, avec quelques révélations : les Mac auraient été, l'année dernière, presque deux fois plus touchés par les programmes malveillants que leurs cousins sous Windows.
© Pixabay Sébastien Gest, évangéliste technique de l'éditeur français, fait le point pour Clubic sur la menace du ransomware qui, tout en progressant dans l'industrie cybercriminelle, devrait poursuivre son évolution sous de nouvelles formes.
© Pixabay La métropole et la municipalité ont toutes deux été victimes d'une importante attaque informatique, ce week-end.
© Shutterstock Une variante du banking trojan « Cerberus », apparue en janvier dernier, est capable d'interpréter les codes générés par l'application de 2FA Google Authentificator. L'une des plus utilisées.
© shutterstock.com Connu sous le nom de xHelper, le malware fut découvert en 2019 par le spécialiste de la cybersécurité Malwarebytes. Et il est plutôt résistant, puisqu'il survit même à une réinitialisation complète de votre appareil.
De Joker à Once Upon a Time... in Hollywood, des sites frauduleux font miroiter des téléchargements gratuits.
Le groupe de pirates informatiques connu sous le nom de Maze serait à l'origine d'une cyberattaque par ransomware lancée contre Bouygues Construction, contraint de fermer ses systèmes informatiques.
Des pirates informatiques profitent du risque sanitaire mondial que constitue le virus 2019-nCoV pour répandre la peur et diffuser un malware via des liens infectés, envoyés massivement par e-mails.
Les opérations menées par les hackers à l'origine des ransomwares REvil/Sodinokibi ont été rentables. D'après un rapport publié par la société de télécommunications néerlandaise KPN, plus de 38 millions de dollars auraient été accumulés par les pirates au cours des cinq derniers mois
© Shutterstock.com Le cheval de Troie bancaire, poussé par le groupe TA542, a fait une pause pendant les fêtes. Le voici de retour.
© Pixabay Le célèbre logiciel malveillant aura encore marqué les esprits l'année dernière, en concentrant, à lui seul, près d'un quart des attaques de type rançongiciel.
Les smartphones infectés étaient remis aux Américains qui vivent dans des conditions précaires, dans le cadre d'un programme vieux d'une trentaine d'années.
La firme a confirmé, jeudi en fin de journée, avoir été victime d'un virus logiciel le 31 décembre, compromettant ses services.
© Bitdefender Le ransomware est à la mode chez les hackers, qui ont de plus en plus recours à ce procédé pour soutirer de l'argent à leurs victimes, notamment des entreprises.
L'année aura été marquée par une recrudescence des attaques de rançongiciel contre les municipalités. Les experts de Kaspersky évoquent une augmentation de plus de 60 % sur un an.
© Pixabay Clop, le rançongiciel, a été identifié par les services français au début de l'année. Il est principalement distribué sous forme d'une campagne d'hameçonnage, comme ce fut visiblement le cas pour le centre hospitalier normand.
© Shutterstock.com Dans un post de blog daté du 20 novembre, la société spécialisée en cybersécurité Cybereason raconte ce qu'elle nomme « l'histoire de Phoenix, le keylogger qui a ressuscité ».
La première vague de piratages utilisant la faille BlueKeep est en cours, rapporte le site Kryptos Logic. Cette attaque, à laquelle les experts en cybersécurité s'attendaient, semble en revanche moins dangereuse qu'attendu.
© Pixabay Deux rapports publiés en juin et en octobre montrent l'utilisation par des pirates du format audio WAV pour la dissimulation de code malveillant, et éviter ainsi les antivirus.
Des chercheurs de SophosLabs ont découvert la présence d'un malware niché dans 15 applications Android publiées sur le Google Play Store. Plus d'1,3 million d'appareils auraient au moins installé l'une d'entre elles.
Des chercheurs en sécurité informatique ont repéré une vulnérabilité critique dans l'utilitaire de mise à jour d'iTunes pour Windows. Un simple oubli de guillemets dans le code permettrait en effet à des hackers de placer un ransomware sur les ordinateurs de leurs victimes. Alertée par les auteurs de la découverte, Apple a corrigé l'anomalie dans la dernière version de son logiciel.
Des experts en cybersécurité de Talos ont fait de nouvelles découvertes sur le malware VPNFilter, parmi les meilleurs VPN du marché. Et elles ne sont pas rassurantes.
Une étude menée par la compagnie de sécurité informatique BitDefender montre que 38% des logiciels VPN gratuits contiennent des logiciels espions.
Malgré ses efforts pour resserrer le contrôle sur les applications du Play Store, Google n'a pas pu éviter la présence de 24 applications infectées par le malware « Joker ».
Très populaire, l'application CamScanner a été écartée de Google Play après la découverte d'un injecteur permettant d'insérer du code malveillant dans les smartphones.
Ce sont 850 000 ordinateurs infectés qui ont été nettoyés à distance par les actions de la Gendarmerie. Les machines étaient utilisées à l'insu de leurs utilisateurs pour miner de la cryptomonnaie ou dérober des informations à distance.