Cette deuxième journée du Computex a été marquée par la présentation, par Asus, du Projet Precog : un PC intelligent capable de s'adapter et d'anticiper les besoins des utilisateurs.
Le nouvel ordinateur portable premium d'Asus, le Zenbook Pro, intègre une innovation spectaculaire : en lieu et place du touchpad sous le clavier, Asus propose un écran tactile de 5,5 pouces, soit la taille d'un écran de smartphone en position horizontale.
Dévoilée d'abord au Computex puis à l'IFA, la ZenPad S 8.0 d'Asus est une tablette de 8 pouces au rapport qualité/prix particulièrement intéressant. Annoncée à 349 euros dans sa version avec 4 Go de RAM et 64 Go de stockage, on la trouve aujourd'hui à 260 euros. Une rivale sérieuse à un iPad mini ?
Asus profite de la fin de ce mois de juillet pour annoncer une nouvelle variante de GeForce GTX 750 Ti dans sa gamme Strix. Cette nouvelle carte graphique GeForce est annoncée comme overclockée et silencieuse.
Déçu par les chiffres de ventes de sa tablette VivoTab RT, Asus pourrait bien ne jamais sortir de nouveaux terminaux dotés de Windows RT. Dans une interview donné à All Things Digital, le président de la firme a expliqué n'avoir aucun projet en ce sens.
On ne savait pas exactement sur quel critère les fabricants de moniteurs allaient mener leur prochaine bataille. Avec le VG248QE, Asus lance une offensive en dopant la fréquence de rafraîchissement à 144 Hz, au lieu des 120 Hz habituellement rencontrés sur les écrans 3D. Suffisant pour s'attirer en masse les faveurs des joueurs ?
Boosté par les ventes de la tablette Nexus 7, le taïwanais Asus a vu son chiffre d'affaires et ses bénéfices progresser fortement ce trimestre. Sur le segment PC, le fabricant réussit aussi à tirer son épingle du jeu avec des ventes en hausse, malgré un marché global atone.
Asus pourrait finalement racheter ASRock, un fabricant de cartes mères qu'il a fondé il y a dix ans et qui est depuis passé, d'une certaine manière, de main en main. Asus renforcerait ainsi sa position de numéro un.
Le site Digitimes rapporte qu'Acer et Asus seraient sur le point de quitter le marché des netbooks, au profit des terminaux tactiles, aujourd'hui plus faciles à vendre et à valoriser aux yeux du public.
La plainte déposée contre Asus par la marque de jouets Hasbro en décembre dernier n'aurait finalement pas aboutie : le tribunal de Los Angeles a déclaré que le fabricant informatique pouvait continuer de vendre sa tablette sous le nom de Transformer Prime, n'en déplaise aux amateurs de robots extraterrestres.
Le CES n'a pas encore démarré officiellement, que déjà les constructeurs dévoilent leurs nouveautés. Asus ouvre le bal et présente sa nouvelle gamme de tablettes. Des tablettes que l'on avait déjà pu voir, dans l'esprit ou dans la forme, il y a six mois à l'occasion du Computex. Se comparant souvent à Apple pour la qualité ou l'innovation de ses produits, Asus souhaite se distinguer en offrant plus de choix. C'est peut être pour cette raison que le constructeur a présenté pas moins de quatre nouveaux modèles. Parmi ceux-ci, il convient de distinguer l'offre en Android, constituée de trois nouvelles tablettes et l'offre Windows 7 avec un seul modèle.
Après les annonces de différents constructeurs autour des premières cartes mères compatibles Sandy Bridge, le nom de code des prochains processeurs Intel, c'est au tour d'Asus de présenter ses cartes. Le fabricant réunissait tout récemment la presse à Paris et exposait quatre de ces nouvelles cartes mères basées sur le chipset Intel P67 et le nouveau socket LGA-1155. Pour ces nouveaux modèles, Asus met en avant de nouvelles fonctionnalités comme le DigiVRM+ que l'on retrouvera sur les cartes Deluxe. Il s'agit d'un nouveau design d'étage d'alimentation visant à améliorer la stabilité des cartes via un micro-processeur programmable capable d'ajuster automatiquement les fréquences des VRM et de gérer plusieurs signaux PWM sans perte notamment. Ce regain de stabilité obtenu du côté de l'alimentation pourrait permettre des overclockings un peu plus fiables sur Sandy Bridge, un exercice qui s'annonce par avance extrêmement périlleux. Sur les systèmes de test présents nous avons pu atteindre de manière stable les 106 MHz de fréquence système pour démarrer Windows : au-delà à 109 MHz la machine freezait.
