Le Black Friday est de retour, ce vendredi 24 novembre, fort d'une notoriété au plus haut en France, nourrie par le boom des ventes en ligne.
Tradition typiquement américaine, le Black Friday, ou vendredi noir, s'est imposé comme un rendez-vous incontournable jusqu'en France, peut-être même comme l'événement de l'année pour tout amateur de shopping, commerçant et e-commerçant. Idéalement placé dans le calendrier, à peine à un mois des fêtes de fin d'année, il ne fait aucun doute que son édition 2023 sera, une fois de plus, un très bon cru. Voici pourquoi, chiffres à l'appui.
Le Black Friday a pris sa place d'événement incontournable en quelques années
Le succès commercial du Black Friday, bien qu'il ne convainc pas encore tout le monde, ne peut pas être nié. L'an dernier, les Français ont été 5,8 millions à en profiter, pour un total de 15 millions d'articles achetés, et 389 millions d'euros de chiffre d'affaires, rien qu'au rayon mode !
Ces chiffres, livrés par une étude de l'institut Kantar, témoignent de l'engouement des Français pour le Black Friday. En outre, le chiffre d'affaires réalisé pendant l'événement a grimpé de 22 % ces cinq dernières années. 36 % des consommateurs du pays projettent de faire leurs achats en promotions, c'est toujours plus pratique. Et c'est justement tout bon pour le Black Friday.
La fièvre du Black Friday, sous le prisme des produits high tech
Selon une autre étude, réalisée par Idealo, le Black Friday devrait une fois de plus faire la part belle aux produits high tech. L'an dernier, le comparateur a constaté que 6 des 10 produits issus des catégories les plus plébiscitées par les Français étaient des produits liés aux nouvelles technologies. Cette tendance devrait se poursuivre cette année.
Le Black Friday, c'est un peu l'événement qui fait le bonheur de tous : des commerçants et des consommateurs. Qui plus est, le rendez-vous intervient à tout juste un mois des fêtes de Noël, l'occasion donc de dépenser un peu plus d'argent en cadeaux. Pour le bonheur des petits, et des grands !
Source : Kantar