Logitech Performance Mouse MX

Julien Jay
Publié le 19 août 2009 à 10h00
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Le fabricant suisse Logitech lève aujourd'hui le voile sur deux nouvelles souris résolument haut de gamme inaugurant la technologie Darkfield. Pratiquement trois longues années se sont donc écoulées depuis le lancement de la Logitech MX Revolution, la dernière souris haut de gamme en date de Logitech. Trois années qui auront permis au constructeur de développer la première souris optique fonctionnant sur des surfaces en verre !

Logitech franchit ainsi le dernier obstacle rencontré communément avec les souris optiques. Des souris, qui nous ont certes apporté plus de précision tout en nous débarrassant définitivement des corvées de nettoyage du mécanisme de la souris, mais qui en contrepartie se montrent généralement tatillonnes quant au choix de la surface sur laquelle elles évoluent.

C'est ainsi que les toutes premières générations de souris optiques avaient par exemple du mal avec les bureaux dont le revêtement affichait des répétitions trop prononcées du même motif. Avec le temps, les progrès technologiques ont rendu les capteurs optiques bien plus conciliants. A tel point que Microsoft annonçait il y a un an sa technologie Bluetrack qui permet à ses dernières souris de fonctionner sur un large éventail de surfaces : marbre, granite, tapis, moquette mais... hélas pour Microsoft, toujours pas le verre.

Avec la Performance Mouse MX, Logitech propose la première souris optique capable de fonctionner sur des bureaux en verre, en plus bien sûr de fonctionner sur des surfaces traditionnelles. Et Logitech de proposer également sa nouvelle technologie Unifying permettant d'utiliser un seul récepteur radio compatible avec ses nouvelles souris et claviers. Tour d'horizon !

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Sommaire

Technologie Darkfield : explications de texte !

Lorsque les premières souris optiques, ne requérant aucun tapis spécifique, ont vu le jour, les fabricants se sont trouvés face à divers problèmes. Avant même d'évoquer le verre, il faut en effet se rappeler que les aspérités trop insuffisantes de certaines surfaces posaient des soucis sérieux aux premiers systèmes optiques qui utilisaient une simple diode pour éclairer la surface de déplacement. C'est alors que la technologie d'illumination laser est apparue : avec un flux lumineux beaucoup plus concentré, le capteur de la souris peut voir des détails bien plus nombreux. Ainsi les souris optiques se jouaient enfin du type de surface sur lequel elles évoluaient, à l'exception notable du verre !

Contrairement à d'autres surfaces, le verre a bien du mal à renvoyer le signal lumineux émis par la souris. Difficile dès lors pour le capteur d'interpréter les mouvements effectués. Les ingénieurs de Logitech ont donc travaillé, en partenariat avec une startup américaine, Avago Technology (spin-off d'Agilent), à la mise au point d'une technologie résolvant ce problème. Si le verre est un matériau solide transparent, de nature non organique, sa structure atomique est plus désordonnée que celle du bois par exemple. Et puisqu'une surface vitrée est pratiquement parfaite, du moins en théorie, il est bien difficile pour le capteur des souris de trouver des points de repère afin d'opérer des déplacements du curseur. Toutefois, dans un environnement vivant, aucun verre ne s'avère réellement parfait. Il comporte des micro-rayures, des empreintes de doigts et des salissures de tous ordres. C'est en tirant profit de ces défauts que Logitech peut proposer la première souris fonctionnant sur une surface en verre.

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Premier prototype Darkfield


Pour ce faire, Logitech s'est tout simplement inspiré de la technologie « Dark field » utilisée en optique par des microscopes dont le but est d'augmenter le contraste des échantillons qui leur sont soumis. Dans les premières étapes de son développement, la technologie Darkfield de Logitech faisait appel à trois faisceaux laser illuminant la surface du bureau. Constatant que le troisième laser n'avait au final que peu d'importance, et probablement aussi pour des raisons évidentes de coût, Logitech n'a gardé que deux lasers.

Les lasers viennent illuminer la surface vitrée alors que l'angle de récupération de la lumière est différent. La partie optique consistant à récupérer le flux de lumière envoyé sur la surface a en effet été retravaillée, pour bloquer la zone centrale afin d'en faire une chambre noire où seuls les rayons de lumière pénètrent. Le contraste obtenu est de fait bien meilleur avec une image constituée d'un fond toujours sombre et de particules brillantes, semblables à un ciel étoilé. C'est grâce à ces étoiles, comme vues par le capteur de la souris, que vos mouvements seront interprétés et transformés en déplacements du curseur à l'écran. Le surface d'analyse consiste en un carré de 1mm de côté soit environ 900 pixels.

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Technologie Darkfield : des précisions supplémentaires

Quelques précisions supplémentaires s'imposent. Puisque la technologie Darkfield repose sur les imperfections d'une surface vitrée, plus le verre est sale et rayé... meilleur sera le fonctionnement de la souris ! C'est assez paradoxal, mais il en va ainsi. De plus, il s'avère que la surface en verre doit faire au minimum 4mm d'épaisseur, faute de quoi la souris ne fonctionnera vraisemblablement pas. Pas de panique toutefois la plupart des tables, bureaux et autres revêtements en verre ont par défaut une épaisseur supérieure à 4 mm.

Lorsque la technologie Darkfield est utilisée sur une surface standard, comme un bureau en bois, un seul des deux lasers entre en fonction, ceci en vue de préserver l'autonomie de la souris. Qui plus est, le capteur Darkfield dispose d'une résolution optique qui s'ajuste automatiquement selon la surface : de 200 dpi à 1500 dpi. Et si Darkfield fonctionne effectivement sur le verre, il n'en va pas de même pour les miroirs, mais c'est un autre sujet !

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Tests automatisés de souris avec capteur Darkfield


Logitech Unifying Technology

Parallèlement à la mise en œuvre de sa technologie Darkfield, Logitech profite de la sortie de sa Performance Mouse MX pour inaugurer une nouvelle technologie de transmission radio. Baptisée Logitech Unifying Technology, il s'agit ici de proposer un seul et unique récepteur radio, capable de fonctionner avec toutes les souris, claviers et pavés numériques Logitech compatibles Unifying Technology et identifiés par le logo correspondant. L'idée est louable, d'autant qu'il s'agit ici d'une liaison radio utilisant la plage de fréquences des 2,4 GHz alors que le récepteur est extrêmement compact et pèse moins de 2 grammes (le même donc que sur certaines souris à destination des ordinateurs portables de Logitech comme la VX Nano).

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Le récepteur Unifying Technology


Par défaut, la souris est associée avec le récepteur l'accompagnant. Au cas où celui-ci doit être configuré pour piloter de nouveaux périphériques, Logitech propose un logiciel spécifique, qui se greffe par-dessus les pilotes SetPoint. Ce dernier va permettre d'appairer un nouvel équipement avec le récepteur. Attention si le récepteur peut fonctionner avec plusieurs dispositifs sans fil (six au maximum), les dispositifs en question ne peuvent fonctionner qu'avec un seul récepteur, en l'occurrence le dernier avec lequel ils ont été couplé. A noter, Logitech propose une prise en charge Mac de sa technologie Unifying.

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Ecrans de configuration Unifying Technology


Si l'idée de mettre un terme à la multiplication des récepteurs est bonne, quoi qu'encore discutable puisque pour l'heure le nombre de périphériques compatibles est très limité, Logitech ne serait-il pas là en train de réinventer le Bluetooth ? Car au final... c'est justement ce qu'offre le Bluetooth ! Certes le champ d'application de ce dernier est plus vaste mais l'idée est la même : un seul et même récepteur/émetteur compatible avec tous les dispositifs Bluetooth. On retiendra tout de même que dans le cas d'un ordinateur portable, l'idée d'avoir un seul récepteur compatible à la fois avec la souris et un futur clavier est plutôt intéressante.

Logitech Performance Mouse MX : premiers contacts

Reprenant une robe semblable à celle de la récente MX 1100, la Performance Mouse MX est une souris de bureau haut de gamme. Adoptant une robe de plastique mat de couleur anthracite, la souris offre un revêtement caoutchouc sur son côté droit, alors qu'une large zone offrant un toucher doux est prévu sur le côté gauche pour votre pouce, une zone délimitée par un liseré chromé. Destinée aux utilisateurs droitiers, la souris offre une prise en main somme toute très confortable convenant aux grandes mains.

Question boutons, on retrouve naturellement le clic gauche et le clic droit ainsi que la molette Micro-Gear introduite avec la MX Revolution. Toutefois... surprise ! Si ladite molette offre bien un défilement libre et un défilement cranté, elle ne propose pas de bascule automatique entre ces deux modes de défilement. Pour des questions de coût, exit donc la micro-caméra et le micro-moteur de la roulette micro-gear. On actionnera donc le bouton situé juste en dessous de la molette pour passer d'un mode à l'autre. Histoire de nous consoler, Logitech propose un défilement horizontal dynamique pour sa roulette multidirectionnelle maintenant baptisée Micro-Gear 2 : en poussant la roulette vers la gauche ou vers la droite la vitesse de déplacement des ascenseurs est ajustée en fonction de l'intensité de votre pression. Pratique pour les interminables tableaux Excel !

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Logitech Performance Mouse MX


Avec deux boutons page suivante et page précédente, la souris comporte un bouton spécifiquement dédiée à la fonction de zoom. Logitech remplace donc le raccourci de recherche des MX Revolution par une fonction zoom... Pourquoi pas, d'autant qu'à l'usage, sur la MX Revolution, on se souvenait de l'existence de ce bouton... en l'effleurant par erreur ! Pas sûr toutefois que le bouton zoom soit plus utile. La zone où logera votre pouce est pour sa part cliquable (comme sur la récente MX 1100 d'ailleurs). Une pression activera une des toutes nouvelles fonctions des SetPoint qui, sous Windows Vista et Windows 7, affiche, à l'instar d'Exposé de MacOS, une représentation de toutes les fenêtres des divers programmes en cours d'exécution afin de basculer de l'un à l'autre.

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Enfin, en retournant la souris, on découvre trois patins en téflon, un bouton permettant de couper l'alimentation électrique ainsi que la trappe donnant accès au logement de la pile.

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Logitech Performance Mouse MX : upside down

Logitech Performance Mouse MX : plus en détails

Parmi les particularités de la Performance Mouse MX, citons la présence de trois diodes sur l'extrémité gauche de la souris. Celles-ci indiquent le niveau de charge de la batterie, que ce soit lorsque l'on utilise la souris pour savoir quelle autonomie il reste, ou encore lors de la charge à proprement parler. Ces mêmes diodes servent de témoin lors de l'ajustement manuel de la résolution optique du capteur.

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Sans fil, et rechargeable, la Performance Mouse MX innove là aussi face à la MX Revolution, la précédente référence haut de gamme de Logitech. Et l'innovation ne vas pas forcément dans le bon sens... à nos yeux. Ainsi, point de batterie Lithium-Ion mais une simple pile rechargeable Sanyo de 2000 mAh. Côté autonomie Logitech évoque 20 jours avec une seule recharge. Et les surprises ne s'arrêtent pas là puisqu'au contraire de la MX Revolution, la Performance Mouse MX n'est pas livrée avec une base permettant sa recharge. Logitech a en effet revu son système de recharge et déploie ce qu'on avait déjà pu apercevoir sur la MX 1100 : un chargeur secteur avec connectique USB qui se connecte à la souris via un câble USB vers micro-USB. Le tout étant proposé dans une espèce de trousse censée permettre de transporter les accessoires de la souris lors de ses déplacements. A noter que Logitech livre également une rallonge pour son récepteur radio. Inutile de préciser que nous aurions préféré le système de chargement des anciens mulots Logitech, histoire d'éviter de sa baisser sous le bureau pour retrouver le cordon USB, ce qui arrivera forcément tôt ou tard. Enfin, dernière déconvenue : la seconde roulette de la MX Revolution est ici aux abonnés absents. Rappelons que sur la MX Revolution il était possible de passer d'une application à l'autre via le Flip 3D de Windows Vista et Windows 7 au moyen d'une seconde molette située à proximité du pouce. Reste à savoir si c'est une réelle perte... mais tout de même !

Logitech Setpoint : rapide présentation

Compatibles avec Windows 7, les pilotes SetPoint 4.8 livrés avec la Logitech Performance Mouse MX n'évoluent guère. Certes ils incorporent la fonctionnalité Unifying Technology, certes ils offrent le nouvel aperçu des fenêtres en cours d'exécution façon MacOS... mais leur interface reste particulièrement datée et pas franchement intuitive ni même ergonomique.

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Logitech SetPoint 4.80


Quant à la nouvelle prévisualisation des applications en cours d'exécution elle n'est pas sans comporter quelques bugs. Ainsi sous Windows 7, version finale, le lecteur Windows Media Player apparaît plusieurs fois avec à chaque fois une barre grise plutôt que le contenu du lecteur. Rappelons pour le reste qu'il sera possible depuis les pilotes de modifier les divers raccourcis de la souris, d'ajuster la vitesse de déplacement du curseur, de consulter l'autonomie restante ou encore de créer des profils. Ces derniers permettront de réaffecter le rôle de certains boutons en fonction de l'application en cours d'exécution.

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Comme un goût d'Exposé !


Logitech Performance Mouse MX : à l'usage

Avec un look racé, et une prise en main des plus confortables, la Performance Mouse MX séduit d'emblée. Son poids de 145 grammes, batterie incluse, est raisonnable et la glisse tout à fait agréable. Pas de reproche particulier au sujet des divers boutons si ce n'est peut être la hauteur des boutons suivant et précédent qui oblige à une certaine amplitude de mouvement et leur trop grande proximité avec le bouton zoom : on peut cliquer sur ce dernier en voulant passer à la page précédente...

Passons maintenant à ce qui concerne la précision des mouvements du pointeur. Par rapport à une MX Revolution, la différence sur une surface standard est à l'usage imperceptible : ici la Performance Mouse MX se comporte parfaitement. Sur une surface vitrée en revanche, les choses changent quelque peu. Tout d'abord, oui, la Performance Mouse MX a parfaitement fonctionné sur notre bureau en verre, un verre du reste légèrement sablé sous le dessous (modèle Galant de chez Ikea pour les connaisseurs). Sur cette surface propre, on ressent une réactivité moindre du pointeur avec des déplacements parfois plus lent. Mais la souris reste parfaitement utilisable y compris avec des jeux vidéos comme Anno 1404 par exemple. Logitech insiste toutefois sur le fait que cette souris ne se destine pas aux joueurs ce qui se confirme après quelques parties de Crysis.

Mais revenons-en au déplacement sur le verre : nous précisions que nos tests avaient été conduits sur une surface propre (comprendre nettoyée fraîchement à l'Ajax vitres). Ces tests mettent en lumière l'un des défauts de la technologie Darkfield : on peut parfois observer un décrochage du pointeur qui soudainement se déplace de manière erratique. Le phénomène est assez rare mais il faut le noter. La bonne nouvelle : en laissant la surface s'encrasser, ce qui arrive toujours très vite sur un bureau en verre, le problème disparaît totalement. Gageons que les prochaines évolutions de la technologie Darkfield remédieront à cette petite lacune. En attendant, on remerciera Logitech de nous avoir enfin trouvé une excuse valable pour ne plus nettoyer notre bureau, puisqu'en laissant ce dernier s'encrasser, on s'apercoit rapidement que la souris répond a nos moindres mouvements. Merci Logitech !

Conclusion

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Au final que penser de la Performance Mouse MX ? Inaugurant une toute nouvelle technologie optique, proposant un niveau de performance similaire sur surface standard à la MX Revolution, la Performance Mouse MX innove et surprend par sa capacité à fonctionner sur du verre ! Une première technologique assez impressionnante qui s'avère plus que convaincante. Certes dans certains cas nos tests ont mis en avant quelques défauts, somme toute minimes, du suivi du pointeur. Il n'empêche... la Performance Mouse MX a fonctionné sur nos diverses surfaces en verre là où jusqu'à présent toutes les souris optiques ne fonctionnaient tout simplement pas, y compris les dernières souris Microsoft avec technologie Bluetrack.

Reste un détail... si la technologie Darkfield constitue une avancée technologique indéniable... elle n'a d'intérêt en fin de compte que pour ceux qui disposent de bureaux en verre ! Selon les études de Logitech, cela représente tout de même 40% de la population, des chiffres qui sont bien entendu à manier avec précaution. A défaut donc d'avoir un bureau en verre, la Performance Mouse MX perd bien entendu de son charme... Sa déclinaison mobile, sous le nom de Anywhere Mouse MX, aura en revanche pour argument de pouvoir fonctionner sur tout type de surface y compris sur les surfaces vitrées, un argument pour les voyageurs qui se retrouvent fréquemment dans des hôtels à travailler sur des bureaux recouverts d'une plaque de verre.

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En mettant de côté la technologie Darkfield, que reste-t-il à la Performance Mouse MX ? C'est là toute la question ! Car si le moteur optique de la nouvelle souris impressionne, on ne peut pas en dire autant du reste. Face à la MX Revolution, la Performance Mouse MX marque même le pas avec plusieurs régressions. Il y a tout d'abord le sujet de la molette qui perd son automatisme, un choix pour le moins discutable. Mais il y a aussi, le passage d'une batterie Lithium-Ion à un accu rechargeable, sans base de recharge ! Difficile dès lors de savoir où traine le câble pour recharger sa souris, sauf à le ranger après chaque utilisation.

Bref si nous apprécions largement cette nouvelle Performance Mouse MX, Logitech a encore de la marge pour l'améliorer à l'avenir. En attendant pour tous ceux qui disposent d'un bureau en verre, et qui sont réfractaires aux tapis de souris, c'est tout simplement la seule souris optique à acheter ! Celle-ci a tout de même un prix assez élevé : 99,99 euros TTC pour le lancement.

Logitech Performance Mouse MX

4

Les plus

  • Fonctionne sur le verre (vraiment)
  • Design particulièrement réussi
  • Richesse des boutons

Les moins

  • Suivi sur le verre améliorable
  • Plus d'automatisme de la roulette
  • Absence de Lithium-Ion et de chargeur
  • Plus qu'une seule roulette...

0

Confort9

Précision7

Boutons6



Julien Jay
Par Julien Jay

Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.

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