Alienware X51, Asus G20 : le match des PC gamer compacts

Frédéric Cuvelier
Publié le 10 février 2015 à 18h15
Il y a presque trois ans, Alienware surprenait son monde avec son X51, un PC pour joueur conçu pour rivaliser avec les consoles du point de vue du format. Depuis, cette machine a dû faire face à la concurrence. Celle du G20 d'Asus, une solution tout à fait comparable à celle d'Alienware.

Alors que le PC gamer est habituellement assimilé à un boîtier de grande taille, capable d'accueillir des configurations particulièrement musclées, articulées parfois autour de plusieurs cartes graphiques, Asus et Alienware font le choix de la compacité et de la discrétion.

Sans pour autant tomber dans l'excès : les dimensions des G20 et X51 ne peuvent être comparées à celles d'un Brix Pro, dont on a vu les limites en termes de performances et du point de vue des nuisances sonores.

Ces deux machines constituent ainsi un compromis différent, sans doute plus équilibré. LE compromis ? C'est ce que nous allons voir dans ce test comparatif.

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Un X51 passe-partout...

Ce qui distingue ces deux machines de PC plus traditionnels, c'est évidemment le format des boîtiers. Le X51 et le G20 sont, globalement, de grosses consoles. La Xbox One de Microsoft mesure 34,4 × 26,3 × 8 cm.

En comparaison, les dimensions du G20 sont de 35,8 x 34,0 x 10,4 cm, et celles du X51 sont de 34,3 x 31,8 x 9,5 cm. C'est certes un peu plus encombrant, mais de peu. Si bien que le X51 comme le G20 ont toute légitimité à prendre place dans un salon.

Le design Il y a donc grand intérêt pour Asus comme pour Alienware de fournir des PC au design capable de s'intégrer dans cette pièce. C'est le cas du X51, dont le boîtier sobre s'accommodera très bien d'une place près de votre téléviseur.

Pour rappel, nous décrivions en détail cette machine que nous testions il y a environ trois ans. Une éternité en high tech, et pourtant : seuls les composants ont évolué, et ni l'aspect extérieur ni l'agencement intérieur n'ont changé depuis.

Le X51 à côté d'un smartphone. Un peu plus gros d'une Xbox One, mais tellement plus compact qu'une tour traditionnelle.


On retrouve à l'avant les deux ports USB et la connectique audio, la façade glossy qui prend les traces de doigts et le lecteur optique au format slim dont l'entrée est protégée de la poussière par deux bandelettes de mousse.
Il est possible de placer le X51 sur la tranche (debout) ou couché sur l'une de ses parois. Petite coquetterie : la tête d'alien disposée en façade peut s'orienter à 90° selon la configuration choisie. Un élément qui s'illumine...
... tout comme les deux griffes positionnées sur les côtés de la machine. Pour ce faire, vous pouvez le logiciel fourni par Alienware et choisir la couleur qui vous convient le mieux.
La connectique à l'arrière de la machine, composée de deux ports USB 3.0, six entrées USB 2.0, une sortie HDMI 1.4, des sorties audio numériques et analogiques et un port Ethernet Gigabit, alors que la connectivité est complétée par un module compatible avec la norme Wi-Fi 802.11ac et le Bluetooth 4.0.
Dans un format aussi compact, impossible d'inclure l'alimentation dans le boîtier. Alienware a donc déporté cet élément d'une taille... imposante ! A lui seul, il pèse plus d'un kilogramme, et même 1,5 Kg avec les câbles. Mais contrairement à une alimentation classique, celle-ci est totalement silencieuse.


Un G20 plus criard

En revanche, nous avons le G20 pour la première fois entre les mains, et force est de constater que dans l'esprit, les deux boîtiers se ressemblent fort dans leur conception.

L'Asus G20, à côté du même smartphone. Légèrement plus haut, plus profond et plus large que le X51, il est aussi plus racé.


Moins passe-partout que le X51, le G20 est plus dessiné, plus anguleux, plus agressif.
Cette impression est accentué par le contraste créé par le châssis rouge, en rupture avec les parois latérales noires qui l'encadrent..
En façade, on découvre une connectique sans surprise et par ailleurs identique à celle du X51 : deux ports USB, une entrée micro et une sortie casque.


On retrouve également un lecteur optique au format slim, tout comme sur la machine d'Alienware.
A l'arrière, 6 ports USB (dont deux à la norme USB 3.0), une entrée Ethernet Gigabit, la traditionnelle connectique audio et une sortie HDMI.


Notez, dans la partie inférieure de cette face arrière, la présence de deux connecteurs secteur.
Le G20 d'Asus est en effet alimenté non pas par un, mais deux blocs externes que le constructeur a regroupé via deux éléments de caoutchouc.


L'un de ses blocs est utilisé par la carte graphique, l'autre vient fournir en énergie le reste de la machine. Le tout est particulièrement encombrante, sans parler de la nécessité de disposer de deux prises électriques.


Cependant, et contrairement au X51, le G20 n'est pas prévu pour être positionné à l'horizontale, les parois latérales ne se prêtant pas à l'exercice. Dommage, car le GR8 d'Asus, autre machine compacte et moins ambitieuse, est dotée de cette faculté.

On regrettera également l'encombrement généré par les deux blocs d'alimentation. Un choix qui se défend toutefois : avec

Deux machines, mais de nombreuses configurations

Le X51 et le G20 sont des machines déclinées dans différentes configurations. Sur le PC d'Alienware, la version « de base » est dotée d'un Core i3, d'une GeForce GTX 745, de 6 Go de mémoire vive et d'un disque dur d'une capacité de 1 To. La version la plus évolué, celle que nous testons, est équipée d'un Core i7-4790, de 16 Go de DDR3, d'un disque dur de 1 To associé à un SSD de 256 Go, et d'une Radeon R9 270 d'AMD ou GeForce GTX 760 Ti, le tout pour 1 454 euros (et même 1 534 avec la carte NVIDIA). Sachez que vous pouvez également passer à une GeForce GTX 750 Ti pour la configuration de base.

Contrairement à Alienware, le PC d'Asus a récemment été mis à jour par la marque, qui a introduit dans ses propositions les GTX 970 et 980 de NVIDIA, en plus des GeForce de la série 700. C'est d'ailleurs une GTX 780 qui officie dans notre exemplaire de test. Côté processeur, vous disposez d'un choix allant du Core i3-4150 au Core i7-4790, soit celui qui prend place dans notre X51 tout comme dans le G20 que nous a prêté Asus.

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Vous pouvez disposer, là aussi, de 6 à 16 Go de mémoire vive, et le stockage peut prendre la forme d'un duo RAID 0 de 256 Go / HDD d'une capacité de 3 To. Dans notre cas, nous il s'agit de la version G20AJ-FR015S, qui équipée d'un disque dur de 1 To, d'un SSD de 128 Go et de 12 Go de mémoire vive. Pour un prix de vente d'environ 1 500 euros, soit un tarif approchant les 1 450 euros de la configuration du X51. Si cette version spécifique n'est plus en vente (après une vie commerciale de seulement deux mois...), Asus n'a fait évoluer que la carte graphique, le châssis et la plupart des composants restant identiques.

Évolutivité : oui, dans une moindre mesure

L'une des questions primordiales quand on s'intéresse à ce genre de machines très compactes, c'est celle de l'évolutivité. Cette dernière peut être perçue sous deux aspects : celui de la performance, et celui du silence.

Pour ce qui est de la vélocité de la machine, il est possible dans un cas comme dans l'autre de modifier le processeur, tout en restant dans le cadre du LGA1150, et en espérant qu'aucun des deux constructeurs n'aura opéré de limitations quant à cet éventuelle modification. Une mise à jour vers un CPU Broawell nécessiterait par exemple une mise à jour. De quoi voir progresser les performances.

De même, vous pouvez changer un disque dur pour un SSD (et ainsi gagner en silence), ou encore un SSD pour un modèle plus récent. Ou faire du RAID 0. Du point de vue du stockage, les possibilités sont nombreuses, même s'il faudra vous « contenter » de deux unités, que ce soit pour la machine d'Alienware ou pour celle d'Asus.

Concernant la mémoire vive, il est envisageable de faire évoluer ces machines. Mais attention : selon les configurations, les deux slots sont équipés et il faudra renouveler l'ensemble du kit. De plus, la mémoire utilisée ici est de la SO-DIMM, celle que l'on trouve sur les PC portables.

Il est également possible de monter en gamme au niveau de la carte graphique, avec quatre contraintes toutefois :
  • conserver un design de référence. Les modèles custom trop ésotériques, dont les dimensions varient de celles des cartes proposées par les constructeurs, ne pourront s'intégrer ;
  • veiller à choisir une carte dont la longueur n'excède pas 26,5 cm sur le G20, 24,5 cm pour le X51 ;
  • opter pour un modèle dont l'alimentation ne nécessite pas plus de deux connecteurs six broches ;
  • ne pas dépasser la puissance maximale supportée par les blocs d'alimentation qui sont associés à ces machines, à savoir 330 W pour le X51, et 410 W (dont 230 W dédiés à la carte graphique) pour le G20.
Ce changement de carte peut améliorer les performances de votre machine, mais peut également avoir des bienfaits du point de vue des nuisances sonores, puisque les nouvelles générations de GPU chauffent moins (en théorie), et n'ont donc pas besoin d'un refroidissement aussi intensif.

Du point de vue du silence en revanche, les petits gains apportés par le changement de GPU et le remplacement d'un HDD par un SSD sont les seuls leviers à actionner. Il est en effet quasiment inenvisageable de modifier un système de ventilation plus proche de celui d'un PC portable que celui d'une tour classique.

Enfin, si toutes ces opérations sont possibles, il conviendra de s'armer d'un peu de patience tant la compacité du matériel rend toute transformation complexe. Sans oublier qu'un tel changement durant la période de garantie annulera automatiquement cette dernière.

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Impossible d'évoquer deux machines pour joueurs sans vérifier leurs performances, notamment face à des jeux récents. Mais commençons par confronter nos deux PC compacts à deux tests synthétiques, 3DMark et Unigine.

Pour rappel, les configurations de nos deux machines de test :

Pour le X51 d'Alienware :
  • Processeur Intel Core i7-4790,
  • 8 Go DDR3-1600,
  • AMD Radeon R9 270 2 Go GDDR5

Pour le G20 d'Asus :
  • Processeur Intel Core i7-4790,
  • 16 Go DDR3-1600,
  • NVIDIA GeForce GTX 780 3 Go GDDR5


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Dans un cas comme dans l'autre, le G20 et sa GeForce GTX 780 font mieux que le X51 qui, pour rappel, est doté d'une Radeon R9 270 d'AMD. L'écart est ici de près de 71 % sur 3DMark, et se limite à 27 % sous Unigine.

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Bioshock, testé ici avec le niveau de détails maximum et en Full HD, met logiquement en avant la machine d'Asus, avec un écart là aussi très conséquent, de l'ordre de 56%.

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Hitman : Absolution est moins sévère avec la machine d'Alienware, qui propose des performances tout de même inférieures de 35 % à celles d'Asus.

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Sous Battlefield 4, en mode Ultra, même résultat : le G20 domine largement son adversaire du jour pour un score supérieur de près de 65 %.

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L'écart est tout aussi significatif sous The Crew, sur lequel nous avons appliqué toutes les fioritures possibles. Il atteint tout de même 73 % sur ce titre.

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Far Cry 4 est finalement le jeu sur lequel la machine à l'alien s'en sort le mieux. La différence entre les deux PC n'est en effet ici que de 9 %, à l'avantage néanmoins du G20.

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Call of Duty ramène cependant le X51 à la dure réalité : avec un score inférieur de 54 % par rapport au G20, le PC d'Alienware montre ses limites.

Températures et nuisances sonores

Les scores dans les jeux sont une chose, mais il est impossible de les dissocier des performances en termes de refroidissement, et donc de nuisances sonores.

Ces deux paramètres sont particulièrement importants dans le cadre de machines aussi compactes destinées à trouver une place dans le salon.

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Pour refroidir le processeur de sa machine, Asus a prévu un radiateur assez imposant en partie inférieure. Deux ventilateurs sont juxtaposés à cet élément afin de faire circuler l'air au travers de cette surface d'échange.

La carte graphique, positionnée en partie supérieure, ne bénéficie pas d'un dispositif complémentaire au design de référence : un unique ventilateur est donc chargé d'évacuer l'air chaud du GPU.

La conception aérée de la coque du G20 lui permet de faire circuler l'air de bas en haut, même si la compacité du boîtier n'aide évidemment pas à une circulation optimale.

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Le principe est exactement le même sur le X51, du moins au niveau des ouvertures en parties haute et basse. Pas d'entrée d'air en revanche par l'avant, alors qu'Alienware a choisi de placer d'un côté le ventilateur du processeur, et de l'autre (vers la seconde paroi latérale), celui de la carte graphique.

Notez l'utilisation d'un airduct de la part du constructeur. Un dispositif destiné à emporter l'air chaud vers l'arrière de la machine, mais qui peut également se montrer efficace pour diminuer les nuisances sonores générées par le ventilateur du processeur.

Comment se comportent donc ces deux machines en termes de capacité de refroidissement ? Pour le savoir, nous avons réalisé un relevé de températures avant et après notre série de tests, dans une pièce dont la température oscillait entre 22 et 24°C.

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Les deux processeurs étant strictement identiques, on peut conclure d'après ce graphique que le système de refroidissement du X51 est légèrement plus efficace que celui du G20, du moins en charge. Mais l'information la plus rassurante concerne la bonne capacité de nos deux machines pour maintenir des températures acceptables, et ces 70°C n'ont rien d'inquiétant.

Concernant le GPU, si les températures au repos sont tout à fait acceptables, elles sont plus préoccupantes en charge, du moins concernant le X51. La Radeon R9 270 atteint quasiment 90°C, et les risques de throttling (abaissement des fréquences pour éviter un trop fort échauffement) existent bel et bien, même si nous n'avons pas observé ce phénomène durant nos tests.

Ici, c'est le système de refroidissement du X51 qui est selon nous en cause, la Radeon R9 270 n'ayant pas pour réputation d'être une carte qui chauffe beaucoup.

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Si le GPU du X51 chauffe un peu plus, c'est peut-être aussi parce que le petit ventilateur chargé d'extraire la chaleur du GPU (et du disque dur, au passage) fonctionne à une vitesse raisonnable, ce qui permet à la machine d'Alienware de se montrer moins bruyante que sa concurrente.

Moins bruyante n'est pas inaudible, loin s'en faut, et en dépassant assez largement les 50 décibels, on ne peut clairement pas parler de silence. Au repos, les résultats sont nettement plus convaincants : il faut s'approcher des machines pour distinguer le bruit émis par la ventilation.

Conclusion

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Nous posions en introduction la question suivante : ces deux machines compactes pour joueurs constituent-elles le compromis idéal ? En restant pragmatiques, la réponse est non. Les nuisances sonores en charge demeurent conséquentes, et malgré le souffle généré à l'intérieur de la machine, les températures sont plus élevées que dans une tour plus classique.

Mais si l'on rapporte ce bruit et ces nuisances sonores à la compacité de boîtiers par ailleurs séduisants et bien finis, la prouesse est enthousiasmante. Les améliorations en termes de rapport performances / consommation des composants, qu'il s'agisse du processeur ou de la carte graphique, font qu'il est désormais possible d'allier compacité et performances.

Ce constat est particulièrement vrai pour la machine d'Asus : le X51 d'aujourd'hui est bien plus efficace que celui d'il y a quelques années, mais Alienware devrait sérieusement penser à muscler le jeu au niveau du choix de la carte graphique. Problème : la marque est contrainte par une capacité d'accueil limitée. Il faudra que le constructeur revoit sa copie pour accueillir des cartes plus puissantes, et donc plus longues.

Le G20 d'Asus nous a, quant à lui, séduits. Par son design, ses performances, la qualité de construction (tout aussi sérieuse que chez Alienware), ou encore la mise à jour rapide de la machine pour accueillir les derniers composants. Même le prix est à l'avantage d'Asus. Seuls ses encombrants blocs d'alimentation constituent un point noir. Mais en résumé, si nous devions vous conseiller une machine compacte et conçue pour le jeu, nous n'hésiterions pas une seconde et choisirions le G20.

Toutefois, sur l'aspect esthétique ne vous préoccupe guère, vous pouvez toujours choisir d'attendre la concurrence d'un MSI avec son Nightblade ou de monter vous-même une configuration mini-ITX, qui vous coûtera sûrement moins cher. Nous reparlerons d'ailleurs de cette dernière option dans un dossier à venir très prochainement.

Alienware X51

5

Les plus

  • Conception / Finition
  • Performances convenables
  • Relativement évolutif
  • Silencieux au repos

Les moins

  • Peut mieux faire en jeu
  • Flux d'air perfectible
  • Bruyant en charge

Performances6

Refroidissement6

Silence6

Prix4


Asus G20

8

Les plus

  • Conception / Finition
  • Performances intéressantes
  • Relativement évolutif
  • Silencieux au repos

Les moins

  • Flux d'air perfectible
  • Bruyant en charge
  • Pas de position allongé
  • Blocs d'alimentation encombrants

Performances8

Refroidissement6

Silence4

Prix6

Frédéric Cuvelier
Par Frédéric Cuvelier

Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.

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