C’est la tendance de 2020. Depuis le début du confinement en mars dernier, le télétravail occupe une place importante dans l’organisation professionnelle de 8,5 millions de Français en capacité d’exercer leur emploi de la maison.
Aujourd’hui, 40% d’entre eux souhaiteraient pérenniser la situation, à temps complet ou ponctuellement. Un réaménagement du quotidien en partie rendu possible par le développement de solutions dédiées au travail à distance telles que les plateformes de communication, les services de partage et les outils d’accès à distance.
Outils d’accès à distance : quelles possibilités ?
Il n’existe pas trente-six solutions pour accéder à des ressources distantes sans délai. De nombreuses entreprises mettent à disposition de leurs employés des serveurs auxquels ils se connectent pour récupérer, stocker et partager des documents, quels que soient l’appareil et l’endroit d’où ils travaillent. Dans la majorité des cas, l’accès à ces serveurs est protégé par des identifiants et requiert de passer par un VPN d’entreprise.
S’ils se présentent comme des solutions de dépannage convenables, les serveurs distants impliquent qu’on ait anticipé son absence. Il est nécessaire d’y avoir uploadé ses fichiers pour pouvoir y accéder de chez soi.
On voit dès lors les limites d’un tel dispositif se dessiner. Comment télétravailler convenablement en cas d’oubli ou d’impossibilité de se rendre sur site du jour au lendemain ? C’est ici qu’interviennent les logiciels de prise en main à distance comme Supremo.
Reposant sur un schéma traditionnel client-serveur, ces outils permettent d’afficher visuellement le bureau du PC distant et d’accéder à l’intégralité de ses espaces de stockages (disque dur local, réseau, disque dur externe et périphériques pluggés) sans avoir à saisir de commande dans une invite.
Les seuls prérequis à la mise en place de ce type de système consistent en l’installation préalable du logiciel serveur sur la machine distante et du logiciel client sur l’ordinateur depuis lequel on travaille. Il est également impératif que les deux PC soient connectés à Internet.
Outre l’accès à des données personnelles stockées sur un appareil inaccessible physiquement, la prise de contrôle à distance trouve ses avantages dans l’exécution de services et de solutions internes, impossibles à déployer de chez soi. Son recours outrepasse même le cadre professionnel et prouve sa grande utilité dans le cercle familial. Qui n’a jamais essayé d’aider par téléphone un proche désemparé face à son ordinateur ? Les concernés savent dès lors que la résolution de problèmes est toujours plus rapide et efficace quand on peut effectivement visualiser l’environnement où se posent les difficultés.
Qu’attendre d'un bon logiciel de prise de contrôle à distance ?
Toutes les solutions de commande à distance ne se valent pas et il convient de définir les critères qui permettront de se tourner vers tel outil plutôt que tel autre.
S’accommoder (de l’absence) des privilèges administrateur
La plupart des entreprises limitent drastiquement les droits des utilisateurs concernant la personnalisation de leur ordinateur professionnel. Sans privilèges administrateur, impossible d’installer un programme, quel qu’il soit. De deux solutions, la première : effectuer une demande d’exception auprès des services généraux. La seconde : opter pour un logiciel portable, au moins concernant la partie serveur.
Les utilisateurs bénéficiant de ces privilèges, en entreprise comme dans le cadre privé, peuvent également vérifier la prise en charge UAC (User Account Control) proposée, ou non, par les solutions de prise de contrôle à distance envisagées. Pour rappel, le support UAC d’un logiciel permet au client de se connecter au serveur distant en tant qu’administrateur et d’interagir avec les fenêtres de contrôle du compte utilisateur sur Windows. Une fonctionnalité salutaire lorsqu’il s’agit d’aider un proche à exécuter des actions nécessitant une élévation des droits admin.
Accès sans surveillance autorisé
Cette précision peut sembler évidente, mais elle n’en reste pas moins indispensable au bon déroulement de la prise de commande à distance : si l’on souhaite accéder à son PC de bureau à distance, c’est bien parce que l’on ne se trouve pas devant physiquement. Il est donc impératif de vérifier les possibilités d’accès sans surveillance proposées par les solutions envisagées. En d’autres termes, il faut que le logiciel sélectionné puisse fonctionner sans intervention humaine côté serveur (sortie de veille de la machine, autorisation de connexion).
Ne jamais transiger sur la sécurité
La connexion client-serveur s’établissant via le réseau Internet, il est impératif d’opter pour une solution offrant toutes les garanties nécessaires en matière de sécurité : chiffrement, identifiants, mot de passe. À défaut, on peut éventuellement se tourner vers l’utilisation d’un VPN. La connexion transitera alors par un tunnel chiffré. Mais il faut bien garder à l’esprit qu’un tel schéma occasionnera systématiquement des ralentissements souvent gênants.
Allier vie professionnelle et vie privée avec Supremo
Parmi tous les logiciels de prise de contrôle à distance respectant les critères susmentionnés, Supremo se démarque par sa polyvalence et sa flexibilité.
De la liberté d’exercer en toute sécurité
Dans le cadre du télétravail, Supremo s’applique à offrir une marge de manœuvre aussi souple que possible à ses utilisateurs. Accès sans surveillance, compatibilité UAC et chiffrement AES-256 garantissent des conditions optimales d’accès au bureau distant.
Mieux encore, le service propose quelques options complémentaires, atouts indéniables qui en font un allié de choix lorsque l’absence physique se fait inconvénient : transferts de fichiers ou encore partage d’écran en ligne pour les présentations à distance.
De la possibilité d’aider sans difficulté
Bien que les avantages professionnels soient également applicables à des interventions dans un cadre privé, on retiendra surtout Supremo pour sa légèreté et sa simplicité d’exécution. L’application portable s’exécute sans installation préalable et sans configuration du pare-feu. Une aubaine pour les utilisateurs perdus côté serveur. On retiendra également l’intégration d’un chat facilitant les échanges entre aidant et aidé qui peuvent désormais se passer du téléphone pour communiquer.
Des tarifs modérés
L’argument est de poids : Supremo est définitivement gratuit pour un usage personnel du logiciel.
Dans le cadre d’une utilisation professionnelle, en télétravail par exemple, il faudra souscrire un abonnement pour 3 mois (plan SOLO 33€ HT/plan BUSINESS 59€ HT) ou 1 an (plan SOLO 98€ HT/plan BUSINESS 178€ HT). Néanmoins, pour vous donner un aperçu des fonctionnalités du logiciel, Supremo offre à ses potentiels futurs abonnés 21 jours d’essai gratuits sans restriction (en savoir plus).
Un client pour tous les appareils
Supremo est un logiciel multiplateforme qui peut être installé sur des dispositifs Windows et macOS, offrant à ses utilisateurs la possibilité d’accéder à leur ordinateur distant même depuis un smartphone et / ou une tablette Android ou iOS.