Arrivés au printemps sur le marché français, les premiers téléviseurs 3D souffrent en effet d'un handicap de taille : la nécessité de porter une paire de lunettes qui, synchronisées avec la dalle LCD, occulteront successivement chacun des deux yeux afin que puisse être retranscrit l'effet de relier induit par la stéréoscopie. Peu commodes, ces lunettes présentent de surcroit l'inconvénient d'être onéreuses, à parfois plus de 100 euros la paire, qui s'ajoutent au coût d'acquisition du téléviseur.
Nombreux sont donc ceux qui espèrent ou attendent l'avènement de TV 3D sans lunettes. A l'instar de certains de ses concurrents, Toshiba envisagerait un dispositif de type lenticulaire, au sein duquel de minuscules lentilles fixées à la surface de l'écran se chargent d'envoyer une image différente à chacun des yeux du spectateur. Un procédé déjà testé avec succès par certains, mais qui pour l'instant n'a jamais donné naissance à des produits viables commercialement dans le cadre d'une distribution grand public (voir par exemple notre reportage sur la TV 3D d'Alioscopy).
En attendant, Toshiba prépare le lancement de ses Regza 3D avec lunettes actives