Google veut rassurer une Europe qui s'interroge sur le respect du droit d'auteur à l'ère numérique. Ainsi, les livres toujours commercialisés au sein de l'UE ne seront pas considérés comme des œuvres dites orphelines ou épuisées outre-Atlantique, sauf si les ayants droit donnent leur autorisation au moteur de recherche et spécialiste des liens sponsorisés.
Par ailleurs, Google a déclaré lundi devant la Commission européenne que deux personnes non américaines compteront parmi les 8 membres du conseil d'administration mis en place de le cadre du règlement de différend signé en octobre 2008 entre Google Books et deux sociétés américaines d'auteurs et d'éditeurs : l'Authors Guild et l'Association of American Publishers.