En direct d'Hanovre : A l'occasion de l'édition 2010 du CeBIT, le hall dédié aux joueurs renferme quelques surprises... C'est ainsi que Mad Catz présente une souris conçue pour les joueurs et pour le moins innovante en terme de design. Surprenante, la souris offre un revêtement en caoutchouc dont la prise en main est bien moins désagréable que la forme peut le laisser présager. Le concept de cette souris R.A.T. qui ressemble a un écorché est de s'adapter à la taille et à la morphologie de la main du joueur. C'est précisément à ceci que servent les vis que l'on peut apercevoir.
Le modèle vedette que nous avons pu prendre en main est la R.A.T. 7. Elle est dotée d'un double capteur laser offrant une résolution de 5600 dpi, et supporte une vitesse de déplacement de 6 mètres à la seconde. Avec un châssis métallique, la souris dispose de poids que l'on peut insérer ou retirer pour rajouter jusqu'à 30 grammes. Les boutons de la souris permettent de changer sa résolution au vol alors que des
pilotes pour Windows XP,
Windows Vista et Windows 7 sont fournis. Seule petite ombre au tableau... le prix de cette souris filaire : 99,99 euros ! C'est tout de même fort dispendieux.
La fabricant annonce également des versions plus économiques avec les R.A.T. 5 et 3 alors qu'une version sans fil devrait voir le jour : il s'agit de la R.A.T. 9 dont le prix sera cette fois encore plus élevé : 129 euros TTC.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech.
Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels.
Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.