Par ce biais, il serait donc parvenu à obtenir des informations comme les e-mails ou les adresses de certains salariés. Il aurait également eu accès à des informations professionnelles comme le nom des partenaires de distribution et de vente de Barracuda (certains numéros de téléphone d'entre eux). Par contre, la société indique au Register qu'aucune information financière ne se trouvait dans les bases de données visitées.
Pour rappel, une injection SQL vise à exploiter une faille de sécurité d'une application interagissant avec une base de données. Lorsqu'une requête n'est pas prévue par un système, cette dernière peut en compromettre sa sécurité. Ce type de vulnérabilités s'avère donc relativement courante.