En parallèle, un mandat a été édité à l'encontre de l'auteur de Coreflood. Lors de son enquête préliminaire, les services fédéraux ont déjà noté que 29 noms de domaine sont utilisés par le réseau botnet afin de communiquer avec des serveurs.
Précisément, Coreflood agit comme un keylogger (il enregistre les informations notamment tapées sur le clavier), il dérobe les noms d'utilisateur, les mots de passe ainsi que d'autres informations privées et financières d'un utilisateur infecté.
Comme le note Computerworld, la Justice américaine précise que certains cyber-criminels ont utilisé ce malware pour prendre le contrôle sur des comptes bancaires afin de transférer des fonds sur d'autres comptes situés à l'étranger.