Ce qui justifie le lancement de cette « JBL Charge » dans le cadre d'une compétition de sports extrêmes, c'est que cette enceinte présente la particularité d'être tropicalisée, c'est-à-dire qu'elle ne peut pas être immergée mais qu'elle résiste aux projections d'eau et à la neige.
Elle doit également son nom à son aptitude à recharger des périphériques connectés à son port USB standard, en puisant dans sa batterie de 6000 mAh qui lui confèrerait jusqu'à 12h d'autonomie en musique.
Cette nouvelle venue affiche par ailleurs les mêmes revendications que la plupart des enceintes autonomes. Avec ses deux petits haut-parleurs de 5 W chacun, sont évent bass reflex et son traitement numérique elle promet un son à la fois puissant et fidèle. Elle se connecte à une source musicale à l'aide d'une liaison Bluetooth (profil A2DP) ou d'une entrée à fiche 3,5 mm. Elle ne prend pas en charge le codec aptX, améliorant considérablement la fidélité de la transmission sans fil, et n'est pas dotée d'un micro, qui aurait permis d'effectuer des appels sur haut parleur.
L'enceinte nomade « JBL Charge » sera disponible en France dans les prochains jours au prix public de 150 euros, ce qui est sensiblement supérieur à la moyenne.