Digital nomads, voilà pourquoi vous avez besoin d'un VPN dans vos bagages !

Depuis la pandémie et la généralisation du distanciel, le télétravail a le vent en poupe. Tant et si bien que de nombreux salariés et micro-entrepreneurs ont décidé de fusionner vie professionnelle et bien-être personnel.

Appelés digital nomads, ils ne se contentent plus de travailler de la maison, mais explorent le monde, leur PC pro sous le bras. Un statut enviable qui nécessite toutefois de prendre des précautions concernant la rapidité, la sécurité et la confidentialité des informations privées comme des données d’entreprise.

Et pour cause ! Qui dit nomade dit principalement connexion à des hotspots publics souvent vulnérables et recours à des réseaux mobiles dont la couverture n’est pas toujours parfaitement opérationnelle. Sans parler des réservations de billets d’avion et de train à la dernière minute, voire de chambres d’hôtel, sur des plateformes peu scrupuleuses qui n’hésitent pas à gonfler leurs prix artificiellement pour pousser les internautes à l’achat immédiat, sans prendre le temps de comparer.

Afin de faire du digital nomadism une expérience plus agréable que contraignante, une solution tout-en-un s’impose : l’usage systématique d’un VPN. Explications.

Qu’est-ce qu’un VPN ?

Pour rappel, un VPN, ou réseau privé virtuel, est un dispositif intermédiaire dans le schéma d’une connexion Internet. Placé entre l’appareil connecté (ordinateur, smartphone, tablette, routeur, box) et les plateformes web consultées, il dévie le trafic par l’un de ses serveurs afin d’invisibiliser et chiffrer les données qui circulent en ligne.

De manière très concrète, les meilleurs VPN grand public comme NordVPN reposent sur une architecture client/serveur. Pour en profiter, les internautes souscrivent un abonnement auprès d’un fournisseur et installent une application sur leur PC ou leur appareil mobile, d’où ils se connectent à l’infrastructure administrée par l’entreprise VPN.

Derrière cette facilité de mise en œuvre déconcertante, les mécanismes techniques sont un poil plus complexes, mais témoignent de la sécurité renforcée du trafic. Pour résumer le processus, lorsque l’internaute se connecte à son VPN, ses paquets de données sont chiffrés localement, puis empruntent un tunnel, lui aussi chiffré à l’aide d’un protocole spécifique (le protocole VPN), isolé du reste du trafic Internet public.

Protégée de cette manière, la connexion peut difficilement être interceptée. Selon l’algorithme de chiffrement utilisé, elle est également illisible. En rebondissant sur l’un des serveurs VPN qui composent l’infrastructure réseau du fournisseur, elle est déchiffrée puis renvoyée sur le réseau Internet public, avec le reste des connexions HTTP/HTTPS standard, afin d’interroger les serveurs web initialement sollicités. Au passage, elle délaisse l’adresse IP originelle de l’utilisateur ou l’utilisatrice pour s’identifier sous le matricule du serveur VPN intermédiaire.

Dans cette configuration, la confidentialité des internautes est triplement respectée. D’une part, le FAI ne peut plus prendre connaissance des sites et pages web consultés, mais seulement de l’adresse IP du serveur VPN auquel s’est connecté l’abonné. D’autre part, les services et plateformes web ne connaissent plus l’identité réelle de l’internaute, dissimulée par l’IP du VPN. Il devient donc impossible de tracer ses activités en ligne et de générer un profil visiteur monétisable. Enfin, si le trafic venait à être intercepté par un tiers malveillant entre l’appareil et le point de connexion à Internet, il lui serait impossible de déchiffrer la connexion pour en exploiter les informations sensibles qu’elle véhicule.

Et quand on est digital nomad, sécurité, confidentialité, anonymat constituent la sacro-sainte triade, indispensable pour travailler les pieds en éventail sans se soucier d’autre chose que des fuseaux horaires et de la couleur du ciel.

Protéger ses données sur les réseaux Wi-Fi publics et/ou mobiles

Pour un digital nomad, amené à travailler dans des cafés, des hôtels, des espaces de coworking, des aéroports, voire sur la plage (chanceux !), la priorité consiste à sécuriser leur connexion aux réseaux Wi-Fi auxquels ils se connectent. Qu’ils soient publics ou semi-ouverts, les hotspots souffrent bien souvent d’une mauvaise configuration qui menace les données de trafic, et plus particulièrement les informations très sensibles comme les mots de passe, les identifiants bancaires ou les numéros de CB.

Pour compenser les vulnérabilités auxquelles sont exposés les Wi-Fi publics, et donc empêcher les hackers de siphonner vos données, la meilleure solution consiste à verrouiller l’accès au contenu du trafic grâce à un VPN.

Afin de garantir que la connexion sera à la fois impossible à intercepter et à déchiffrer, NordVPN s’astreint à combiner différentes technologies de sécurité.

L’algorithme de chiffrement, d’abord, pour rendre le trafic illisible. C’est l’AES-256 qui est ici utilisé, méthode de chiffrement dite militaire, réputée pour son inviolabilité.

Le protocole VPN ensuite. Afin d’éviter les conflits avec l’AES-256, NordVPN a pris soin d’intégrer des solutions compatibles, sans jamais négliger le degré de stabilité propre à chaque techno. On retrouve donc OpenVPN (TCP et UDP), aujourd’hui considéré comme LA référence en matière de sécurité des réseaux, ainsi qu’IKEv2/IPSec, recommandé pour les appareils amenés à basculer régulièrement d’un type de connexion à une autre, en particulier sur les réseaux mobiles (4G/5G). Enfin, NordLynx, basé sur WireGuard, couple la fiabilité d’OpenVPN à la rapidité d’IKEv2 pour offrir une expérience de navigation fluide et légère.

Contourner la censure d’État et les géorestrictions de contenus

Autre point important quand on passe sa vie en itinérance : trouver un VPN capable de contourner les géoblocages des plateformes de streaming et la censure d’État, à plus forte raison quand on doit rester informé dans le cadre de son métier, ou que l’on travaille beaucoup avec les réseaux sociaux.

Afin d’offrir un accès à un Internet libre et ouvert, NordVPN peut compter sur une très vaste infrastructure de plus de 5 500 serveurs, répartis dans 60 pays. Ici, le nombre de serveurs importe en ce qu’il garantit la bonne circulation des informations, quoi qu’il arrive. En effet, même si un équipement se retrouve sur liste noire d’un État ou d’une plateforme de streaming, d’autres serveurs pourront sans peine prendre le relais et passer outre les restrictions d’accès arbitraires imposées par des politiques totalitaires ou des services de sVoD.

En marge de son parc réseau très étoffé, NordVPN réserve un traitement spécifique à certains de ses équipements. C’est notamment le cas de ses serveurs obfusqués, capable de faire passer le trafic VPN pour du trafic HTTPS standard, et donc de contourner les pare-feux d’États les plus agressifs, comme le Grand Pare-feu de Chine, ou encore de ses serveurs Onion Over VPN qui font circuler la connexion sur le réseau Tor.

D’autres fonctionnalités comme le double VPN permettent aux internautes de brouiller l’origine de la connexion en faisant passer le trafic par deux serveurs VPN, tandis que les adresses IP dédiées offrent la possibilité d’accéder à des services réputés pour leurs mesures anti-VPN, comme les établissements bancaires par exemple.

Réaliser des économies

Être digital nomad, c’est aussi changer régulièrement de point d’ancrage. Quand on est amené à voyager régulièrement, selon ses envies, il est crucial de comparer les offres de transports et d’hébergements, même à la dernière minute, pour ne pas y laisser un rein.

Or, ce n’est plus un secret pour personne, de nombreuses plateformes de réservation en ligne n’hésitent pas à jouer la carte de l’urgence en gonflant artificiellement leurs tarifs entre deux visites. La responsable de cette mécanique trompeuse ? L’adresse IP, personnelle à chaque internaute et facilement traçable par les entreprises du web.

Parce qu’il dissimule votre adresse IP réelle et la remplace par l’une de ses 5 500 serveurs, NordVPN vous aide à contourner efficacement ces techniques commerciales douteuses et à réaliser de vraies économies. Mieux encore, parce qu’il permet de simuler votre géolocalisation dans une soixantaine de pays, il offre la possibilité de profiter de tarifs plus attractifs, basés sur votre position géographique.

De l’avantage des fonctionnalités additionnelles

On terminera enfin sur l’importance de bien étudier les fonctionnalités additionnelles, offertes en plus du simple VPN.

Qu’elles soient destinées à renforcer la protection des informations personnelles, le respect de l’anonymat ou ménager les performances de la connexion, les options complémentaires de NordVPN apparaissent comme de vrais atouts à ne pas négliger.

On pense, par exemple, à NordLocker, coffre-fort numérique chiffré qui permet d’accéder à des documents confidentiels depuis n’importe quel endroit, en toute sécurité, à son bloqueur de publicités et de suivi en ligne, à son bouclier anti-malwares, à son module de surveillance des fuites de données sur le dark web, à Incogni, outil de suppression des informations personnelles stockées dans les bases de données des annonceurs, ou encore au split tunneling, idéal pour améliorer les performances d’une connexion alourdie par le VPN sans transiger sur la sécurité des données les plus sensibles.

Vous voilà paré pour votre vie de digital nomad et continuer à voyager sans vous inquiéter de la sécurité de votre vie privée et professionnelle !