Selon des sources industrielles évoquées par BFM Business, le portail serait disposé à garantir la somme de 100 000 euros par an aux 20 plus gros créateurs de contenus français. Il s'agirait d'une sorte de revenu minimal en échange d'un accord limitant leurs interactions avec des plateformes tierces. L'idée n'est pas neuve et a déjà été présentée aux auteurs américains.
YouTube s'intéresse de près à ces contenus dans la mesure où ils peuvent leur rapporter des revenus conséquents. A l'heure actuelle, un YouTubeur peut toucher 0,08 centimes d'euro par vidéo vue. Si ce montant peut tendre à diminuer, il permet à certaines chaînes connues de générer des montants conséquents.
A ce chiffre peut s'ajouter la part de la publicité vendue hors du réseau YouTube. Ces canaux s'avèrent généralement moins avares que la filiale américaine, ce qui pousse les créateurs à multiplier les sources de revenus.
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