© Electronic Arts
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C'est un autre mastodonte du secteur du jeu vidéo qui serait sur le point d'être racheté par un membre des GAFAM. En effet, des observateurs pressentaient une acquisition d'Electronic Arts par Amazon.

Mais attention, car tout le monde ne semble pas avoir entendu le même bruit de couloir…

Un rachat impossible ?

En janvier dernier, Microsoft surprenait le monde en officialisant le rachat d'Activision Blizzard pour la bagatelle de 68,7 milliards de dollars. Le géant américain n'en était pas à son premier coup d'essai puisque ZeniMax Media (Bethesda Softworks) était également passé sous le pavillon de Xbox en 2021. Et comme nous le savons, tout va très vite dans l'industrie du gaming.

Selon un premier rapport communiqué par USA Today, Electronic Arts s'apprêtait à passer sous le commandement d'Amazon. L'officialisation devait même avoir lieu plus tard au cours de cette journée du 26 août 2022. Un véritable séisme qui permettrait au géant de la vente en ligne d'acquérir des licences majeures telles que Battlefield, Mass Effect, Dragon Age ou encore FIFA (qui deviendra EA Sports FC).

Une rumeur immédiatement démentie

Cependant, d'autres rumeurs sont venues contrecarrer le scoop révélé par USA Today. En effet, la chaîne CNBC prétend qu'Amazon n'a pas prévu de faire une offre pour racheter Electronic Arts. En mai dernier, un possible rachat d'EA avait déjà fait la une. Parmi les entreprises intéressées, on retrouvait par exemple Apple, Disney et bien évidemment Amazon. Mais rien de concret n'avait filtré à cette époque pas si lointaine.

Il faut dire que depuis maintenant plusieurs années, Amazon tente tant bien que mal de se faire une place au sein de l'industrie vidéoludique. Hélas, les échecs ont été nombreux… Donc, un hypothétique rachat d'Electronic Arts aurait permis à la firme fondée par Jeff Bezos de devenir un poids lourd dans ce secteur très concurrentiel.

Mais selon les dernières données en notre possession, le rachat d'EA par Amazon ne devrait finalement pas avoir lieu… Ce n'est peut-être que partie remise !

Sources : USA Today, Twitter